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Le truc le plus efficace et le moins dispendieux pour perdre du poids

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui rappelle à tous et toutes l’existence d’un truc quasi infaillible pour perdre du poids, en plus d’être extrêmement peu coûteux.

Il s’agit tout simplement de boire de l’eau.

Ce n’est certainement pas la première fois que vous entendez le principe, mais une nouvelle étude sur le sujet vient corroborer ce fait : boire au moins un litre d’eau par jour permet de perdre du poids de façon appréciable.

L’étude en provenance de Virginia Tech démontre que les sujets ayant consommé deux verres d’eau avant les repas ont perdu jusqu’à quatre livres de plus que les autres. On explique le phénomène par plusieurs raisons, à commencer par une plus grande dépense énergétique et une sensation de satiété accrue.

N’oublions pas également que lorsque vous buvez de l’eau, un geste efficace en soi, vous n’êtes pas en train de consommer la tonne de sucre contenue dans les jus de fruits et les boissons gazeuses!

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Ces produits santé qui vous font grossir

Des experts de Tesco publient une liste de produits qui sont, selon eux, susceptibles de vous faire grossir et de ruiner votre régime minceur, et ce, malgré leur réputation « santé ».

Ce serait le cas notamment du fameux jus de fruits, souvent vendu en concentré ou en mélange sucré, qui fait exploser le compteur des calories! De plus, les jus de fruits communément retrouvés en magasins ne contiennent aucune fibre, ce qui laisse le champ libre au sucre pour vous attaquer de plein fouet et vous rendre léthargique à certains moments de la journée, selon le Daily Mail (UK).

Même chose en ce qui concerne l’huile d’olive, qui se retrouve également sur cette infâme liste. Bien qu’elle soit vantée et qu’elle possède véritablement plusieurs propriétés bienfaitrices pour la santé, l’huile d’olive arrive également avec son bagage calorique… un montant approximatif impressionnant de 50 calories par cuillère à thé!

Pour compléter cet ultime triumvirat des aliments maudits sur cette liste, les experts jettent un dernier blâme à l’endroit des yogourts et des biscuits « faibles en gras », qui contiendraient souvent plus de calories que les formules originales.

Manifestement, l’ère moderne et l’obsession alimentaire qui la caractérise ouvrent la porte à toute une série de mythes et de stratégies marketing qui laissent souvent le consommateur dans la confusion et le noir le plus total.

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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?
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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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Des objectifs moins précis pour une perte de poids plus efficace

Il est plus facile de gagner du poids que d’en perdre, une autre ironie de la vie, c’est bien connu.

Cependant, perdre quelques kilos pourrait s’avérer moins ardu ou en tout cas moins stressant, en se fixant des objectifs plus larges. C’est ce que croient plusieurs chercheurs américains, notamment un groupe formé de spécialistes de la Floride et de Saint-Louis.

Mené par Maura L. Scott et Stephen M. Nowlis, le conseil de chercheurs propose des conclusions en matière d’alimentation et de perte de poids dans une étude rapportée ici par Top Santé.

Pour une fois, les spécialistes ne font pas la morale et n’y vont pas de grands sermons, mais prônent plutôt une approche calme et réaliste de la perte de poids. Ils avancent qu’il serait plus facile de maigrir lorsqu’on se fixe des objectifs variables, en plus de permettre une plus grande satisfaction et une meilleure estime de soi.

Ainsi, au lieu de se dire « Je dois perdre 10 livres », il faudrait plutôt se dire « Je vais essayer de perdre de 5 à 15 livres ».

En coupant quelques sucreries et en améliorant nos habitudes d’exercice physique progressivement, sans se stresser davantage, il est fort probable qu’un palier sera atteint.

Par contre, avec un objectif trop rigide, il est plus difficile d’y parvenir et plus facile de se décourager, puis d’abandonner!

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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Le thé vert pourrait contribuer à la perte de poids et au contrôle de la glycémie

Santé Log rapporte une étude coréenne qui cible deux vertus bien précises du fameux thé vert, déjà abondamment reconnu pour ses bienfaits sur la santé.

Cette fois, on parle de son impact sur le contrôle du poids et de la glycémie, indiquant ainsi que les personnes diabétiques et celles en surpoids pourraient bénéficier grandement de l’ajout de cette boisson à leur régime alimentaire.

Voici donc de nouvelles données qui s’ajoutent aux précédentes concernant le thé vert, à qui l’on accorde déjà des propriétés qui préviendraient de plusieurs maladies graves ou chroniques et du cancer.

Ce sont des tests effectués sur des rongeurs par des chercheurs de l’University School of Medicine Keimyung, publiés par la suite dans les Archives of Pharmacology, qui ont révélé la capacité de ce thé à réguler plus facilement les taux de glycémie dans le sang, en plus de favoriser une perte de poids.

De plus, une autre étude récente donne quant à elle raison à des recherches précédentes qui donnaient au thé vert la faculté de prévenir la maladie d’Alzheimer.

Il n’y a donc vraiment plus de raison pour ne pas essayer d’intégrer le thé vert à son régime alimentaire… sauf le goût, peut-être.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »

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L’effet « Biggest Loser » fonctionne vraiment

Une étude en provenance des États-Unis pose la question suivante : « Devrait-on créer des incitatifs aux personnes qui doivent perdre du poids? », afin de lutter plus efficacement contre l’obésité.

C’est que d’après les observations effectuées par les chercheurs du Michigan en tête de cette étude, les chiffres démontrent que des incitatifs à la perte de poids sont efficaces, tout autant que l’effet de compétition.

Un effet que l’on pourrait qualifier « d’effet Biggest Loser », en lien avec la populaire émission de téléréalité qui met en vedette des gens aux prises avec des problèmes de poids extrêmes et qui doivent compétitionner entre eux.

Les chercheurs américains ont donc créé un système de récompense financière pour un groupe donné, en le sous-divisant pour tester les effets à court et à long terme. Un autre groupe devait également tenter de perdre du poids, mais sans incitatif financier.

Résultat? Le groupe qui devait s’affronter en plus d’avoir la chance de gagner de l’argent a perdu jusqu’à près de dix livres de plus que les autres!