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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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Le thé vert pourrait contribuer à la perte de poids et au contrôle de la glycémie

Santé Log rapporte une étude coréenne qui cible deux vertus bien précises du fameux thé vert, déjà abondamment reconnu pour ses bienfaits sur la santé.

Cette fois, on parle de son impact sur le contrôle du poids et de la glycémie, indiquant ainsi que les personnes diabétiques et celles en surpoids pourraient bénéficier grandement de l’ajout de cette boisson à leur régime alimentaire.

Voici donc de nouvelles données qui s’ajoutent aux précédentes concernant le thé vert, à qui l’on accorde déjà des propriétés qui préviendraient de plusieurs maladies graves ou chroniques et du cancer.

Ce sont des tests effectués sur des rongeurs par des chercheurs de l’University School of Medicine Keimyung, publiés par la suite dans les Archives of Pharmacology, qui ont révélé la capacité de ce thé à réguler plus facilement les taux de glycémie dans le sang, en plus de favoriser une perte de poids.

De plus, une autre étude récente donne quant à elle raison à des recherches précédentes qui donnaient au thé vert la faculté de prévenir la maladie d’Alzheimer.

Il n’y a donc vraiment plus de raison pour ne pas essayer d’intégrer le thé vert à son régime alimentaire… sauf le goût, peut-être.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »

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L’effet « Biggest Loser » fonctionne vraiment

Une étude en provenance des États-Unis pose la question suivante : « Devrait-on créer des incitatifs aux personnes qui doivent perdre du poids? », afin de lutter plus efficacement contre l’obésité.

C’est que d’après les observations effectuées par les chercheurs du Michigan en tête de cette étude, les chiffres démontrent que des incitatifs à la perte de poids sont efficaces, tout autant que l’effet de compétition.

Un effet que l’on pourrait qualifier « d’effet Biggest Loser », en lien avec la populaire émission de téléréalité qui met en vedette des gens aux prises avec des problèmes de poids extrêmes et qui doivent compétitionner entre eux.

Les chercheurs américains ont donc créé un système de récompense financière pour un groupe donné, en le sous-divisant pour tester les effets à court et à long terme. Un autre groupe devait également tenter de perdre du poids, mais sans incitatif financier.

Résultat? Le groupe qui devait s’affronter en plus d’avoir la chance de gagner de l’argent a perdu jusqu’à près de dix livres de plus que les autres!

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L’huile de canola et ses multiples vertus

Des chercheurs canadiens et américains se sont concertés afin d’analyser les bienfaits de l’huile de canola, au détriment d’autres corps gras. Comme on le pensait, on rapporte d’abord que l’utilisation de cette huile permettrait une perte de poids plus rapide et plus efficace.

Mais il y a plus, rapporte Science Daily, puisque les chercheurs nord-américains croient également que l’huile de canola permettrait de réduire les risques de développer un syndrome métabolique.

Ce dernier peut prendre la forme de plusieurs troubles et symptômes et se définit comme « une série de problèmes de santé ayant en commun un mauvais métabolisme corporel ».

Plusieurs spécialistes sont encore réticents à accepter le syndrome métabolique comme une maladie unique reconnue, mais tous semblent s’entendre pour dire que les huiles végétales, comme celle de canola, permettent bel et bien de réduire les risques de développer plusieurs problèmes de santé liés à ce fameux syndrome métabolique.

« Les gras retrouvés dans ces huiles végétales permettent de réduire le gras abdominal, ce qui permet aussi de réduire les risques associés aux facteurs et symptômes du syndrome métabolique », résume Penny Kris-Etherton, professeure à la Penn State University.

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Moins manger grâce à un nouveau type d’intervention

The National Library of Medicine rapporte qu’une nouvelle technique développée dans le cadre de la lutte à l’obésité permettrait à certaines personnes de manger moins ou d’avoir moins faim, selon les conclusions des chercheurs de la New York Cardiovascular Research basés à New York.

Il s’agit d’une intervention peu invasive, mais qui aurait déjà fait ses preuves lors des premiers essais cliniques. Cinq patients ont pour l’instant testé l’opération, et ils ont en grande majorité perdu du poids, parfois jusqu’à 45 livres.

La technique propose de bloquer une artère située dans l’estomac, empêchant ainsi un certain apport sanguin vers l’organe, un processus qui produit une hormone que l’on dit « responsable » de la faim.

Moins de sensation de faim, donc, pour les patients qui subiraient l’intervention et qui pourraient ainsi avoir un meilleur contrôle sur ce qu’ils mangent.

Présenté lors du congrès annuel de l’American College of Cardiology, ce rapport soulève l’optimisme de plusieurs chercheurs, mais il faudra attendre des tests plus poussés pour parler d’une véritable percée.

« Si des études plus larges et aléatoires démontrent des résultats similaires, ceci pourrait s’avérer une méthode alternative simple à la chirurgie de l’estomac que l’on connait en ce moment. »

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Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Le vin rouge et l’ouïe

Une étude américaine rapportée par Top Santé révèle que le vin rouge pourrait posséder des vertus cachées qui protègeraient l’ouïe.

En effet, les chercheurs de l’hôpital Henry Ford, à Detroit, constatent que certaines composantes du vin rouge seraient bénéfiques à l’audition chez l’homme, notamment le resvératrol, un antioxydant.

Ces conclusions étonnantes sont le fruit d’un travail en laboratoire de sept semaines, période au cours de laquelle les chercheurs ont observé les réponses auditives de rats, dont certains recevaient des doses de resvératrol.

Ceux qui étaient au contraire placés sous une simple solution saline voyaient leurs capacités auditives baisser de façon plus évidente que ceux qui recevaient l’antioxydant.

Le Dr Michael Seidman, de l’équipe en tête de l’étude, résume : « Notre dernière étude met l’accent sur le resvératrol et ses effets sur les réactions du corps à la suite d’un traumatisme. On pense que ces réactions sont la cause de nombreux problèmes de santé comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, le vieillissement et la perte d’audition ».

Le constat va donc plus loin que l’impact du vin sur l’ouïe, car on ouvre la porte à un possible effet préventif des maladies dégénératives et cognitives.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.