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Attention aux insecticides près des femmes enceintes et des enfants

Plusieurs femmes enceintes et nouvelles mamans ne seraient pas assez conscientes des effets des pesticides. Il n’est pas suffisant de les placer hors de la portée des enfants. Leur simple utilisation est aussi fort néfaste.

Un article publié dans le journal Science of the Total Environment explique les répercutions. Il est entre autres mentionné qu’en utilisant des insecticides dans et autour de la maison, les femmes attendant un enfant augmentent le risque de leur bébé de développer un cancer infantile tel qu’une leucémie, d’avoir des troubles neurologiques et de développement du fœtus.

Les auteurs de la recherche attribuent aussi un des problèmes au fait que comme les bébés respirent plus près du sol, qu’ils sont généralement attirés vers les plantes et les jardins, et que leur système immunitaire et de désintoxication naturelle n’est pas encore très fort, ils sont souvent surexposés à ces produits chimiques.

Les chiffres découverts au cours de la recherche étaient troublants quant à la quantité de femmes utilisant ces produits, mais elle a été réalisée en Espagne, où les températures sont plus clémentes que dans notre pays et où il y a plus d’infestations d’insectes.

Ces chiffres ne sont donc pas révélateurs des gens de chez nous, mais peu importe d’où l’on vient, l’utilisation de produits plus naturels est on ne peut plus recommandée.

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Les pédiatres lancent un message clair : il faut protéger les enfants des pesticides

« Les enfants sont en contact avec des pesticides de façon quotidienne et sont particulièrement vulnérables à ceux-ci et à leur toxicité », a affirmé l’auteur du rapport, le Dr James Roberts, selon MedPageToday.

Le rapport note plusieurs sources communes de pesticides : les insecticides contenus dans la maison, les médicaments contre les puces et les tiques pour les animaux, les pesticides utilisés sur les terrains privés ainsi que les résidus provenant de l’agriculture.

Les médecins ont ajouté que l’apport en pesticides le plus important provenait de la nourriture. Un régime alimentaire biologique permet ainsi de « réduire la métabolisation des pesticides de manière radicale et immédiate », ont indiqué les pédiatres, en se basant sur les résultats d’une étude récente.

Les médecins sont peu souvent capables de bien reconnaître une intoxication aux pesticides, a également signifié le rapport, qui présente certains symptômes et traitements précis.

L’association médicale a donné ses recommandations au gouvernement américain, suggérant de meilleures lois sur l’étiquetage et de plus grands efforts pour surveiller la situation sur le plan national.

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La polémique concernant les produits bios fait rage

De plus en plus de gens se tournent vers les produits alimentaires biologiques depuis quelques années. Le nombre de gens résistant à l’idée est tout aussi nombreux, et la polémique entourant le concept bio fait toujours rage.

Une super étude sur le sujet risque d’alimenter les débats, puisqu’elle conclut que les aliments biologiques ne seraient pas « meilleurs » que les autres sur le plan nutritionnel, selon Lanutrition.fr.

Voilà qui a de quoi surprendre et qui mettra sans le doute le feu aux poudres dans le camp des pro-bio, qui vantent constamment les mérites de ces produits.

Les chercheurs ont donc sélectionné 237 études sur le sujet et analysé les résultats. Ils concluent qu’aucun effet significatif ne distingue l’agriculture biologique de l’agriculture conventionnelle, excepté le fait que les produits ne contiennent pas ou peu de pesticides.

Aussi, les aliments biologiques contiendraient moins de bactéries résistantes aux antibiotiques. Des avantages, certes, mais qui ont moins de poids que ce nous aurions pu croire. De plus, les aliments « normaux » contenaient en majorité des résidus de pesticides sous les normales obligatoires en alimentation.

Le bio serait un choix idéal pour les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées aux prises avec des problèmes de santé chroniques.

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Une cour sécuritaire pour vos enfants

L‘American Academy of Pediatrics suggère quelques trucs pour prévenir de malheureux accidents pour les parents dont les enfants jouent autour de la maison.

D’abord, assurez-vous que votre cour ne contient aucune plante pouvant être dangereuse ou poison pour vos tout-petits.

Aussi, créez un périmètre pour vos enfants. Si vous ne voyez pas votre cour de la maison, il est recommandé de s’assurer que quelqu’un surveille vos bambins pendant qu’ils jouent.

Apprenez à vos enfants de ne pas cueillir de fruits et ne rien manger qui provient d’une plante sans votre approbation.

Lorsque vous utilisez des pesticides ou des engrais sur votre pelouse, ne laissez pas vos enfants jouer durant 48 heures sur les zones où vous en avez appliqué.

Finalement, il n’est pas recommandé de laisser votre enfant monter sur une tondeuse ou le laisser trop approcher d’un barbecue en marche.

Rappelons que si vous avez une piscine, des précautions supplémentaires doivent être prises. Assurez-vous que le drain est protégé. Les enfants peuvent être coincés dans le drain par un membre de leur corps, mais aussi par leur maillot de bain. Cela peut alors entraîner des blessures ou encore la noyade.

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Lien reconnu entre la maladie de Parkinson et les pesticides

Le monde nous apprend que le lien entre la maladie de Parkinson et l’usage de pesticides vient d’être officiellement reconnu.
 
Ainsi, le Parkinson est maintenant une maladie reconnue pour les agriculteurs qui, une fois diagnostiqués, pourront obtenir un soutien financier en raison de leur incapacité à poursuivre leur travail.
 
Depuis des années, on tente de faire reconnaître ce lien possible entre les pesticides et le développement de la maladie de Parkinson, en plus de demander le retrait des produits dangereux sur le marché.
 
« Les tableaux évoluent au fur et à mesure des connaissances de la science. Or, la plupart des pathologies liées aux pesticides apparaissent de manière différée, dix, vingt, voire trente ans après le début de leur usage. Dans la médecine du travail, on a commencé à parler de l’amiante dans les années 1960, et ce produit n’a été mentionné dans ces tableaux qu’en 1998 pour les cancers. Il n’est donc pas exclu que d’autres pathologies émergent et soient reconnues dans les années à venir », explique le médecin du travail national adjoint à la Mutuelle de la santé des agriculteurs (MSA), Yves Cosset.
 
De par leur métier, les agriculteurs sont le plus à risques de développer la maladie de Parkinson, en raison des pesticides utilisés sur leurs terres.
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Autisme : des produits chimiques en cause?

Dans le but de trouver les causes environnementales possibles d’augmenter les risques d’autisme et autres troubles neurologiques chez les petits, un rapport de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine a été publié dans la revue Environmental Health.

La National Academy of Sciences affirme que 3 % de tous les troubles neurocomportementaux chez les enfants, tels que le trouble du spectre autistique (TSA) et de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH), sont dus à des expositions à des produits toxiques dans l’environnement.

Un autre 25 % serait causé par des interactions entre les facteurs environnementaux et génétiques.

Pour les chercheurs de cette étude, il est clair que le facteur héréditaire demeure l’une des causes principales des troubles neurologiques du développement.

Toutefois, ils croient que les causes environnementales jouent un rôle également, rôle qui pourrait être « potentiellement évitable », disent-ils.

Les 10 premiers produits toxiques montrés du doigt sont le trihydrate d’acétate de plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organophosphorés, les pesticides organochlorés, les perturbateurs endocriniens, les gaz d’échappement des automobiles, les hydrocarbures aromatiques polycycliques, les retardateurs de flamme (brome) et les composés perfluorés.

Mentionnons qu’une autre étude qui se retrouve dans la même édition de la revue a tenté de prouver que le tabagisme durant la grossesse accentuait les risques de syndrome d’Asperger.

Aux États-Unis, de 400 000 à 600 000 enfants sur 4 millions de naissances sont atteints d’un trouble neurocompotemental.

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Des pesticides peuvent déclencher des infections pulmonaires chez les enfants

Un centre de recherches environnementales en Espagne a recueilli les échantillons sanguins d’un groupe de femmes enceintes qui avaient été exposées à trois sortes de polluants différents.

Lorsque l’enfant a eu un an, les mères ont été contactées par les experts. Sur 1342 enfants, environ 35 % d’entre eux avaient déjà développé une quelconque infection pulmonaire.

Certains bébés auraient même été plus souvent malades, car les mères avaient été davantage exposées aux DDE et pesticides.

Le DDE est le plus persistant de tous les métabolites de DDT. Le DDT, quant à lui, est un insecticide synthétique toxique surtout utilisé en agriculture.

Seuls 30 % des enfants qui ont été concernés par une faible dose de DDE ou rien du tout ont développé un problème de respiration.

Autrefois, le DDT était largement utilisé pour tuer les moustiques et prévenir les épidémies de paludisme. Son utilisation a été remise en question dans les années 1960 et a été interdite aux États-Unis en 1973. Rappelons que ces produits de dégradation continuent tout de même à vivre dans l’environnement pendant des centaines d’années.

Les personnes exposées à de grandes quantités de DDT peuvent ressentir des tremblements, convulsions, sueurs, céphalées et vomissements. Il semblerait que ces symptômes disparaissent lorsque la personne n’est plus exposée aux pesticides.

Selon les experts, il est difficile d’éviter les produits chimiques comme le DDT et DDE, qui se retrouvent majoritairement aujourd’hui dans la graisse animale. Ils conseillent cependant à la population de se tourner vers un régime plus équilibré et de prioriser les fruits et légumes à certaines viandes, produits laitiers ou poissons.

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Les aliments bios contiennent moins de pesticides

Dinde bio ou ordinaire pour Noël? À la vue de ces résultats, vous ne devriez pas hésiter!

En moyenne, des repas quotidiens composés d’aliments biologiques contiennent 223 fois moins de pesticides que des mets dits normaux, selon une étude de Générations futures publiée en exclusivité par le quotidien français Le Parisien/Aujourd’hui en France.

Les résultats de cette étude font froid dans le dos et devraient relancer l’industrie bio, alors que l’on a relevé 37 résidus chimiques dans les fruits et légumes non biologiques.

L’année dernière, l’association Générations futures avait passé au peigne fin les repas quotidiens d’un enfant de dix ans. Plus d’une centaine de résidus chimiques avaient été trouvés.

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Niveau de pesticides inquiétants dans les aliments

La présence de résidus de pesticides dans les aliments a de quoi inquiéter. Cette fois, c’est un rapport européen qui sonne l’alarme.
 
Selon les chiffres de 2009, les aliments biologiques analysés en France ne contenaient que 2 % de résidus de pesticides. Par contre, les fruits et légumes provenant de l’agriculture intensive sont plutôt 37,74 % à être contaminés, rapporte Générations Futures.
 
Le plus inquiétant a surtout été de constater que bon nombre d’aliments contenaient de 2 à 23 résidus de pesticides différents. 25 % des échantillons analysés en faisaient partie.
 
Ce sont les raisins qui semblent être les plus affectés avec une contamination à 75 % pour un résidu de pesticide, alors que 58 % en avaient plusieurs.
 
Bien que le rapport se soit penché sur des données en Europe, la tendance semble être la même dans le reste du monde, puisque des études précédentes soulevaient de réelles inquiétudes à ce sujet.
 
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La pollution cause des anomalies

Des chercheurs américains et chinois présentent un constat alarmant quant à l’exposition à la pollution durant la grossesse. Ils ont établi, à la suite d’une étude s’étant faite dans une région rurale de la Chine, que l’exposition à des agents polluants et à des pesticides augmentait de 450 % les risques d’anomalie de naissance.

Précisément, les risques de spina-bifida et d’anencéphalie (absence de cerveau) se trouvent ainsi multipliés.

Deux pesticides ont été identifiés en concentrations élevées dans le placenta de nouveau-nés atteints d’une anomalie et de fœtus morts nés. Ils avaient longtemps été soupçonnés de causer des anomalies, mais la preuve n’en avait pas toujours été faite.

Il s’agit de l’endosulfane et du lindane. Le premier est en voie d’être interdit au Canada et dans plusieurs autres pays, et le deuxième l’est déjà ici et dans plus de 50 autres pays. On l’emploie encore, en petites concentrations, dans certains médicaments.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans Proceedings of the National Academy of Sciences.