Vendredi dernier (24 septembre), sept associations artistiques néo-zélandaises ont demandé officiellement à leurs membres de ne pas travailler avec l’équipe de Jackson. Comingsoon affiche aujourd’hui la réponse publique du réalisateur à cette requête.
D’après ces regroupements, leurs membres ne devaient pas participer aux deux volets du prochain film de Peter Jackson, The Hobbit, en raison des conditions de tournage, en partie parce que les acteurs allaient être engagés sans que les conditions de leur charte soient respectées.
Dans son annonce, le réalisateur, qui rappelle ne pas être avocat, soutient que toute cette manoeuvre vient de la Media Entertainment and Arts Alliance (MEAA), le syndicat australien, qui tente d’avoir plus de pouvoir dans le milieu cinématographique de la Nouvelle-Zélande.
Prenant parole en tant que réalisateur néo-zélandais, et non en tant que membre de Warner Bros. ou de New Line Cinema, Jackson se défend bien, soulignant toutes les batailles juridiques qu’il a dû affronter pour tourner et assurant qu’il n’a rien à se reprocher ni à cacher.
Par ailleurs, il mentionne dans cet écrit que Disney ne tourne même plus en Australie à cause de trop grandes frustrations vécues avec la MEAA.