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Adieu les couches, bonjour petit pot!

C’est du moins ce qu’assure Rachael Forder, créatrice de LumiPotti -formation du petit pot en Angleterre.

Sur le site Female First, la professionnelle explique qu’il est difficile de savoir quand votre enfant sera prêt à faire place au changement. L’expérience peut être vécue entre 18 mois et 3 ans.

Forder affirme qu’aller sur le petit pot donnera à votre enfant un sentiment de maîtrise de son corps et consiste en une étape clé du développement. Toutefois, elle n’hésite pas à dire que cela exigera de la patience, mais cela devrait aller mieux au bout d’environ 3 semaines de tentatives assidues.

En résumé, elle suggère comme première étape de placer le petit pot à un endroit visible et accessible pour l’enfant. Celui-ci se promènera sans couches ni pantalons à la maison. Si un enfant ne s’est jamais mouillé les pieds avec son urine, il ne pourra pas comprendre l’importance d’aller sur le petit pot selon la spécialiste.

Rappelez la présence du petit pot aussi souvent que possible et à des moments stratégiques de préférence : après les repas, avant le dodo, etc. Le parent doit encourager l’enfant et manifester sa déception, sans se choquer.

Soyez assuré de communiquer vos efforts aux responsables du service de garde pour travailler de concert et si cela ne fonctionne pas, réessayez quelques semaines plus tard.

Cliquez ici pour connaître sa théorie complète et ses trucs détaillés.

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Leçon du petit pot pour les enfants les plus têtus

Parentingsquad.com vous apporte l’avis d’une mère qui a suivi les conseils d’une amie.

Cessez de parler du petit pot

Les encouragements, les félicitations, les récompenses, rien n’y fait. Même si vous avez un aîné, il refuse de suivre ses pas. Éliminez totalement le petit pot de votre vocabulaire. Remettez des couches et attendez. Message : Tu décideras toi-même quand tu seras prêt.

Parlez de la différence entre être un bébé et un grand garçon ou une grande fille

Si vous avez un bébé à la maison, ce sera plus facile. Sinon, prenez l’exemple du bébé d’une amie. Soupirez en mentionnant tout haut que les bébés ne peuvent pas écouter la télévision, manger de la crème glacée, caresser le chat ou jouer à cache-cache. Message : Être un bébé, c’est nul.

Soyez impassible

Lorsque les 2 premiers messages seront assimilés, il y a de fortes chances pour que votre enfant têtu prenne les devants et vous démontre qu’il est capable d’utiliser le petit pot. Une tape dans le dos, un léger « bravo » feront l’affaire. Plus de récompenses. Message : Tu le fais pour toi-même et non pour maman et papa.

Certains enfants sentent le besoin d’être indépendants. Plus tard, cet entêtement pourrait bien se transformer en qualités comme la persévérance et la volonté. Ne l’oubliez pas.

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Forcer à faire pipi dans le pot pourrait causer des dommages

Selon l’urologue pédiatrique Steve Hodges, professeur à l’Université Wake Forest en Caroline du Nord, l’incitation précoce au pot peut conduire à plus d’accidents sanitaires, car la vessie n’est pas toujours assez forte.

En fait, il semblerait que la vessie a besoin de trois à quatre ans pour être complètement formée, et les couches seraient un bon moyen à long terme pour sa croissance maximale.

La constipation, des dommages aux reins et des infections urinaires peuvent être entrainés par une démarche hâtive et précoce « de la couche au petit pot » parce que les tout-petits se retiennent souvent plus qu’ils ne le devraient, par peur de se faire chicaner ou d’échouer dans le processus de propreté.

Le Dr Hodges croit fermement que « les enfants de moins de trois ans ne devraient pas gérer leurs propres habitudes sanitaires ». Il ajoute que « les bébés doivent expérimenter par eux-mêmes le processus d’élimination et ainsi comprendre et utiliser de manière judicieuse leurs organes ».

Selon le spécialiste, pour se vanter ou par peur du jugement d’autrui, les parents sont trop axés sur la réussite du pot. Pour le bien de leur enfant, les parents devraient lui donner une certaine marge de manœuvre

Les visites chez le médecin pour la constipation chez les enfants ont quadruplé durant la dernière décennie, selon le Journal de Neurogastroentérologie. Un million de visites annuelles dans les cliniques pédiatriques aux États-Unis sont enregistrées pour des cas d’infection urinaire chez les fillettes.

Selon l’Association nationale pour la continence aux États-Unis, cinq millions d’enfants mouillent leur lit, dont environ 20 % encore à l’âge de cinq ans.