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Trucs et Bricolages

Comment faire de la peinture maison non toxique pour les enfants

Vos petits artistes ont envie de peindre? Inutile de courir au magasin pour vous procurer de la peinture. Vous pouvez la fabriquer avec eux! Une belle activité tant à la maison qu’à la garderie ou à l’école!

Cette peinture maison n’est pas toxique du tout et ne coûte presque rien. Vous avez déjà tout ce qu’il faut à la maison!

Ingrédients:

2 tasses (500 ml) de farine

1/2 tasse (125 ml) de sel

1/4 de tasse (65 ml) de sucre

2 tasses (500 ml) d’eau

Du colorant alimentaire, couleurs au choix

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Préparation:

  1. Mélanger tous les ingrédients secs.
  2. Ajouter lentement l’eau en remuant. 
  3. Ajouter le colorant alimentaire.

C’est tout!

Préparez autant de couleurs que vous voulez et créez de magnifiques oeuvres!

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Les traumatismes de l’enfance reliés à une éventuelle psychose

Selon Medical News Today, ces psychoses sont dues à des anomalies du cerveau, changements physiologiques apportés par les traumas vécus surtout pendant la petite enfance.

La recherche se base sur 125 autres études effectuées dans les 10 dernières années. Elle réfute la pensée traditionnelle selon laquelle les différences du cerveau observées chez les sujets atteints de schizophrénie n’ont rien à voir avec le vécu de l’individu.

En fait, les mêmes anomalies observées chez le schizophrène ont été détectées chez les enfants ayant subi des agressions et/ou négligences importantes.

Les spécialistes du Royaume-Uni, de la Norvège et des États-Unis ont uni leurs forces pour éplucher 10 ans de données et ont conclu : « Les gens aux prises avec une psychose devraient recevoir de l’aide psychologique spécifiquement adaptée à leurs besoins et leurs difficultés, en relation avec ce qu’ils ont vécu ». Ils croient fermement que les changements apportés au cerveau sont réversibles.

Le professeur John Read a ajouté qu’il espérait ainsi que les spécialistes s’intéressent désormais plus au vécu de leurs patients, plutôt que de « traiter leur mal-être et leurs symptômes comme une maladie que l’on peut supprimer avec de la médication ».

Les résultats seront publiés dans la revue bimensuelle Neuropsychiatry.

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Le pouvoir des mots chez les jeunes enfants

Ce sont des psychologues qui ont été les premiers à étudier le développement du langage de la petite enfance, basé sur les échanges verbaux entre parents et enfants. La recherche de Todd Risley et Betty Hart remonte aux années 1960.

Psychology Today rapporte que les données ont été si longues à compiler que ce n’est qu’en 1995 que les résultats ont été publiés sous forme de livre (Meaningful Differences in the Everyday Experience of Young American Children).

À l’époque, l’objectif n’était pas bien cerné. Cependant, des chercheurs ont constaté aujourd’hui que les résultats démontraient clairement une amélioration importante du vocabulaire, de la communication, puis de l’intelligence globale des enfants qui avaient des parents plus volubiles.

Malheureusement, ce n’est pas donné à tout parent d’avoir un vocabulaire digne d’un grand orateur. Par contre, vous avez avantage à fournir le plus de vocabulaire possible à votre enfant, dès ses premiers mois de vie.

Plus vous communiquerez avec lui, que ce soit en voiture, à la maison ou au supermarché, que vous chantiez des chansons, récitiez des fables ou discutiez de la journée, plus nombreux seront les moments précieux pour son apprentissage.

Entre la naissance et la 9e année des enfants ayant participé à l’étude de Risley et Hart, ceux dont les parents étaient moins bien scolarisés ou peu enclins à la conversation avaient entendu près de 30 millions de moins de mots que leurs pairs.

Un écart stupéfiant, mais un facteur qui expliquait à lui seul la réussite des uns et les échecs des autres dans de nombreux cas.

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Le poisson pour une bonne santé pulmonaire

On lit dans Acta Paediatrica que l’intégration du poisson dans l’alimentation des bébés de moins de neuf mois aurait un impact sur leur santé pulmonaire. Si un bébé mange du poisson avant d’avoir atteint neuf mois, il serait moins enclin à avoir une respiration sifflante durant la petite enfance.

Toutefois, selon la même étude, un bébé y serait plus vulnérable s’il a pris des antibiotiques à large spectre durant sa première semaine de vie. La prise de paracétamol durant la grossesse augmenterait aussi les risques.

Des chercheurs suédois ont fait ces associations après avoir analysé les réponses à un questionnaire de 4171 familles. On devait répondre aux questions lorsque l’enfant ciblé était âgé de 6 mois, de 12 mois, puis de 4 ans et demi.

On tentait, par cette étude, de définir des facteurs de risque, d’une part, et protecteurs, d’autre part, de la respiration sifflante. Ce problème de santé est très répandu chez les jeunes enfants, et une meilleure compréhension de ses mécanismes sous-jacents aiderait à mieux le régler, en plus de médicaments plus efficaces.

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Aliments solides : qu’en pensent les parents?

Nous découvrons les résultats d’une vaste étude quant à l’introduction des aliments solides durant la petite enfance sur Medscape. Cette recherche s’est accomplie par sondage auprès de 2068 parents de bébés âgés de 4 à 35 mois.

Mentionnons que des effets sur la santé à long terme ont maintes fois été relevés, en association avec le moment de l’intégration des aliments solides dans le régime des bébés.

On apprend donc que 62 % des parents ont répondu avoir intégré les aliments solides dans le régime de leur bébé lorsque celui-ci a eu entre 4 et 6 mois.

Il appert aussi que 92 % des parents dont le bébé avait entre 4 et 9 mois avaient entamé une discussion sur le sujet avec le pédiatre. Cette discussion a été associée avec le moment de l’introduction.

Parallèlement, la discussion avec le pédiatre et le soutien de ce dernier quant à la poursuite de l’allaitement s’est avérée décisive quant au report de l’introduction des aliments solides après le moment recommandé (on conseille parfois le lait maternel seulement jusqu’à six mois).

Plusieurs mères ont toutefois avoué avoir intégré ces aliments avant le temps conseillé.

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La pression des autres commence tôt

On apprend dans Child Development que la pression exercée par nos pairs s’entame dès la petite enfance. Après avoir suivi 96 enfants (filles et garçons) de 4 ans, des chercheurs des Pays-Bas ont remarqué que notre jugement était déjà influencé par le point de vue des autres durant la petite enfance.

En observant ces enfants d’âge préscolaire au sein d’un groupe, ils ont noté que leur opinion se conformait au jugement de la majorité, lorsqu’ils étaient confrontés à une situation donnée.

Il semble que ce conformisme détienne un rôle clé dans l’acquisition d’un répertoire comportementale de groupe. En d’autres mots, dès la petite enfance, lorsque nous sommes confrontés à une idée qui va à l’encontre de nos croyances et de nos valeurs, nous suivons quand même très souvent le point de vue de la majorité.

Pour tirer ces conclusions, on a procédé à deux expérimentations. Dans la première, on demandait l’avis des enfants quant à des situations présentées dans des livres. Au cours de la deuxième, ils devaient observer des images d’animaux à la lumière et à la pénombre, puis répondre à une question.

Dans les deux cas, les enfants en venaient souvent à revoir ou à façonner leur réponse en fonction de celle du groupe. Ces résultats s’expliquent par le fait que le conformisme a des raisons sociales. On tente, par exemple, d’éviter les conflits au sein d’un groupe en agissant ainsi.

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La petite enfance devant la télévision

Des experts viennent de se prononcer quant à l’écoute de la télévision chez les très jeunes enfants, lit-on dans Pediatrics. Les bébés de moins de deux ans ne devraient pas être exposés à la télévision ou d’autres médias semblables.

Sinon, leurs parents devraient faire en sorte que cette exposition soit limitée autant que possible. On insiste sur le fait que la meilleure façon pour que notre enfant ait un développement optimal de son cerveau est de jouer tout en évitant la télévision.

On reconnaît une fois de plus les recommandations émises il y a déjà une dizaine d’années sur le sujet, selon lesquelles les effets d’une telle exposition chez les tout-petits sont plus négatifs que positifs.

En moyenne, un enfant de moins de deux ans écouterait une à deux heures de télévision ou de média électronique par jour. De plus, près du tiers des enfants de trois ans aurait un appareil dans leur chambre.

Les spécialistes mentionnent aussi que même si certaines vidéos destinées aux bébés sont vantées comme étant éducatives, rien n’en accorde l’évidence.

Le jeu libre est encore reconnu comme plus bénéfique pour le développement du cerveau, car il permet entre autres de créer, d’apprendre à résoudre des problèmes et de développer le raisonnement et certaines aptitudes motrices.

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Déceler le TDAH plus tôt

Un diagnostic de trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) pourrait être posé dès l’âge de quatre ans, lisons-nous sur Medical News Today. Jusqu’ici, le TDAH pouvait être clairement reconnu lorsqu’un enfant avait atteint six ans.

Quant aux soins apportés à ces enfants, on misera maintenant sur des techniques de gestion du comportement; l’approche par médicaments ne serait conservée que pour des enfants plus âgés.

La prescription de médicaments demeure toutefois une avenue possible, advenant le cas où un enfant ne répondrait pas du tout à l’intervention comportementale. On pense ici au Ritalin, mais cette approche est encore un sujet de controverse. Le cas d’enfants présentant des symptômes moyens à sévères devrait donc être réévalué.

Le diagnostic pour des enfants de quatre ans est donc maintenant envisageable. Ces nouvelles conclusions comprennent aussi des lignes à suivre quant aux enfants qui présentent un comportement hyperactif ou impulsif, sans répondre entièrement aux critères du TDAH.

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Constat surprenant sur les garderies multiculturelles

Publiée dans l’European Journal of Developmental Psychology, une recherche menée par les universités Concordia et de Montréal vient contredire certaines découvertes précédentes quant aux différences ethniques chez les jeunes enfants.

Après avoir observé sur le terrain 30 jeunes enfants – des Canadiens français et des Canadiens asiatiques – provenant de 6 garderies de la région de Montréal, les chercheurs ont pu constater que ceux-ci avaient plus tendance à interagir avec des compagnons de la même ethnie qu’eux.

Ce constat était valable tant chez les enfants d’origine asiatique que canadienne-française. De plus, lorsqu’on plaçait des enfants d’ethnies différentes ensemble, ils préféraient jouer seuls.

Des études précédentes avaient démontré que durant la petite enfance, on préférerait jouer avec un compagnon du même groupe ethnique que nous. Cette fois par contre, on contredit des conclusions précédentes en avançant que des conflits peuvent naître entre des enfants de même ethnie lorsqu’ils se retrouvent avec des compagnons multiculturels.

Certaines particularités comportementales ont par ailleurs été remarquées chez les petits Canadiens français et les Canadiens asiatiques. La raison en serait, comme il a déjà été relevé, que l’expression de soi et l’implication sociale sont très prisées dans la culture canadienne, alors que la retenue et la coopération le sont dans la culture asiatique.

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Le réel pouvoir de l’éducation

On peut lire dans Science les résultats d’une étude s’étant étalée sur un quart de siècle et ayant porté sur plus de 1 400 personnes. Menée par l’Université du Minnesota, elle a démontré les effets notables d’un programme éducatif entamé dès la petite enfance.

Dans le cadre de cette étude longitudinale, on a pu constater que les participants qui avaient suivi le programme en question dès l’âge de trois ans avaient atteint une meilleure qualité de vie quelques années plus tard.
 
Précisément, lorsque la procédure était entamée durant la petite enfance, les participants avaient tendance, une fois à l’âge adulte, à voir atteint des degrés de scolarité plus élevés et plus d’aptitudes pour le travail. Ils profitaient même d’une meilleure couverture d’assurance pour leur santé.
 
À l’inverse, ces mêmes personnes accusaient des taux plus faibles de criminalité, ce qui comprenait les arrestations, les incarcérations et les problèmes de consommation.

Tout porte à croire que l’éducation des tout-petits est primordiale et qu’il y a encore lieu d’améliorer les façons de faire actuelles. Il s’agit par ailleurs de l’une des plus importantes études ayant porté sur ce sujet que l’on ait menées jusqu’ici.