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La peur des clowns pourrait devenir un trouble sérieux

La peur des clowns se nomme la coulrophobie. Coulro vient du grec ancien et désignait les gens qui marchaient sur la scène. Les symptômes de la coulrophobie sont la transpiration, la peur, les nausées, l’augmentation du rythme cardiaque, l’envie de crier et de pleurer ainsi que la colère.

Certaines personnes savent pourquoi les clowns les effraient, mais d’autres l’ignorent.

Le psychologue et directeur de la North Shore Stress and Anxiety Clinic de Vancouver, Rami Nader, croit que cette peur pourrait venir du fait que le coulrophobe ne peut voir qui se cache derrière le masque du clown.

« Vous ne pouvez pas voir le visage et vous ne pouvez pas savoir quelle est la signification derrière le masque, même s’il y a quelque chose à propos de ce masque qui est rigolo », affirme-t-il.

Aussi, il ajoute que les personnes souffrant de ce type de phobie ne devraient pas faire rire d’elles ou être forcées à aller vers les clowns. Cela pourrait causer une aggravation de leur traumatisme, qui peut même dégénérer et évoluer en maladie mentale.

Traiter la coulrophobie est comme traiter n’importe quelle phobie; il s’agit de remonter dans la vie du patient et de déterminer ce qui peut déclencher cette peur.

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La peur des clowns pourrait devenir un trouble sérieux

La peur des clowns se nomme la coulrophobie. Coulro vient du grec ancien et désignait les gens qui marchaient sur la scène. Les symptômes de la coulrophobie sont la transpiration, la peur, les nausées, l’augmentation du rythme cardiaque, l’envie de crier et de pleurer ainsi que la colère.

Certaines personnes savent pourquoi les clowns les effraient, mais d’autres l’ignorent.

Le psychologue et directeur de la North Shore Stress and Anxiety Clinic de Vancouver, Rami Nader, croit que cette peur pourrait venir du fait que le coulrophobe ne peut voir qui se cache derrière le masque du clown.

« Vous ne pouvez pas voir le visage et vous ne pouvez pas savoir quelle est la signification derrière le masque, même s’il y a quelque chose à propos de ce masque qui est rigolo », affirme-t-il.

Aussi, il ajoute que les personnes souffrant de ce type de phobie ne devraient pas faire rire d’elles ou être forcées à aller vers les clowns. Cela pourrait causer une aggravation de leur traumatisme, qui peut même dégénérer et évoluer en maladie mentale.

Traiter la coulrophobie est comme traiter n’importe quelle phobie; il s’agit de remonter dans la vie du patient et de déterminer ce qui peut déclencher cette peur.

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Les médecins ont peur de l’obésité infantile

Diabète de type 2, hypertension, obésité… des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans et qui atteignent même les bébés aujourd’hui.

Il est très difficile pour les médecins de savoir quoi faire quand un bébé aussi jeune que deux ans est obèse et souffre de problèmes de santé reliés au surplus de poids.

C’est ce qu’a dévoilé à Radio-Canada le Dr Pierre Geoffroy de Toronto, qui s’inquiète pour les jeunes, mais aussi pour les médecins qui font face à l’épidémie d’obésité.

« Les médecins, nous sommes habitués de penser à un diagnostic. Tandis que l’enfant qui vient avec un problème d’obésité, ce n’est pas quelque chose qui nous vient facilement, car c’est un nouveau problème », explique-t-il.

Depuis 2008, le Dr Geoffroy tente de venir en aide du mieux qu’il peut aux professionnels de la santé en leur donnant une formation sur cette réalité déconcertante.

« Honnêtement, je ne peux pas voir comment les médecins que nous avons aujourd’hui vont pouvoir continuer à prendre soin de tous les gens qui vont avoir des séquelles comme le diabète de l’embonpoint chez les jeunes et les personnes très âgées », fait-il valoir.

À l’aube d’un nouveau dépôt budgétaire en Ontario, le monde médical met de la pression et espère que des choix financiers soient faits pour contrer l’obésité chez les jeunes, afin que les choses changent réellement. Il rappelle au gouvernement sa récente promesse révélant son projet de réduire de 20 % l’obésité infantile d’ici 2017.

Rappelons que l’obésité en Ontario, non loin de chez nous, a coûté à la province 4,5 milliards de dollars en frais directs et indirects en 2009.

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Quand les mathématiques effraient le cerveau des enfants

Il semblerait que la même partie du cerveau qui répond à des situations effrayantes, comme de voir une araignée ou un serpent, montre aussi une réponse et une activité cérébrale rapide et accrue chez les enfants souffrant d’anxiété devant des problèmes de mathématiques, révèlent les scientifiques de l’École de médecine de l’Université Stanford.

Cette activation de cette partie du cerveau causerait également une baisse d’activité dans d’autres régions cérébrales, qui impliquent par exemple la résolution de problèmes, expliquent les chercheurs dans la revue Psychological Science.

Pendant que des enfants âgés de 7 à 9 ans effectuaient des additions et des soustractions, leur cerveau était étudié avec l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle.

Chez les enfants avec une haute angoisse des mathématiques, les analyses ont démontré une activité accrue dans l’amygdale, centre du cerveau principalement lié à la crainte, et aussi dans une section de l’hippocampe, une structure du cerveau qui aide à former de nouveaux souvenirs. La diminution de l’activité dans plusieurs régions du cerveau associées à la mémoire au travail et au raisonnement numérique a été décelée également.

Selon les experts, l’angoisse des mathématiques est neurobiologique et semblable à d’autres types d’anxiété ou de phobies. Ils confirment que ce n’est pas parce qu’un enfant a l’angoisse de cette matière scolaire qu’il ne sera pas bon avec les chiffres.

Toutefois, il a été prouvé qu’à long terme, ces jeunes ne développaient pas le goût particulier de poursuivre dans cette voie ou ne désiraient tout simplement pas s’ouvrir à des classes plus avancées en mathématiques.

Des études supplémentaires chez des jeunes plus âgés seront nécessaires pour identifier la base neurologique de l’angoisse des mathématiques et ainsi développer de nouvelles stratégies pour s’attaquer au problème.

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La peur des piqûres inspire une échelle des sentiments

L’outil d’évaluation favorise les jeunes à communiquer leurs sentiments, et aide ainsi les spécialistes à mieux cerner et comprendre la détresse qui les envahit et faire en sorte que l’enfant ne traîne pas avec lui cette phobie une bonne partie de sa vie.

Meghan McMurtry, professeure adjointe de psychologie à l’Université de Guelph, affirme que certaines recherches démontrent un lien entre les craintes des aiguilles à l’enfance et l’évitement de possibles soins médicaux au cours des années plus tard.

Elle explique que la peur est subjective, et si elle n’est pas bien exprimée, il est difficile de découvrir l’histoire qui l’entoure. Puisque les enfants ont souvent un vocabulaire restreint, l’échelle des sentiments vient à leur secours.

Celle-ci est conçue de cinq visages différents sans cheveux ne représentant aucun sexe et aucun âge. Les visages ont un regard vide à très effrayé.

L’outil est utilisé par des professionnels de la santé qui conseillent, lorsque l’enfant a une peur bleue des seringues, de l’aider à respirer profondément, lui changer les idées avec une conversation divertissante, une peluche ou encore lui présenter une vidéo amusante.

Les chercheurs ont montré l’échelle de la peur à 100 enfants, âgés de 5 à 10 ans, après qu’ils aient eu une prise de sang. Les enfants plus âgés ont exprimé leur crainte autant que les plus jeunes, un élément qui a d’ailleurs surpris les chercheurs.

Le nombre de fois que les jeunes ont eu une prise de sang n’a pas eu d’incidence, ce qui prouve que l’expérience des piqûres ne pousse pas nécessairement à l’amélioration de la situation.

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Certaines méthodes peuvent réduire la peur de l’hôpital chez les enfants

Des recherches à l’Académie Sahlgrenska de l’Université de Göteborg, en Suède, ont en effet démontré que le dialogue et des dessins pouvaient aider les enfants à surmonter cette expérience pénible.

Pendant l’étude, le modèle appelé « le dialogue périopératoire » (PD) a été testé avec succès auprès des petits.

« La recherche a montré que les enfants qui avaient reçu des soins selon le modèle PD avaient de faibles niveaux de stress après la chirurgie, comparativement à ceux qui avaient eu des soins traditionnels », a notamment affirmé l’un des chercheurs.

Ce modèle comprend, entre autres, des visites préventives à la clinique afin que l’enfant puisse rencontrer un visage familier avant la procédure.

Les dessins peuvent être utilisés pour faciliter le dialogue avec les enfants qui doivent subir une chirurgie. Il s’agit d’un bon moyen pour eux de se faire comprendre. Par exemple, une mauvaise utilisation de l’espace sur une page peut être synonyme d’une augmentation de l’anxiété chez eux.

Afin d’éviter la peur et l’anxiété, il est important de mener un dialogue continu avec les enfants, et il est primordial d’utiliser leur langage. Les sédatifs ne doivent pas être donnés systématiquement.

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Les peurs maternelles du voisinage

Une recherche des universités Rice et Stanford fait état d’une réalité de plusieurs mères, quoiqu’elle soit surprenante. Il semble que le voisinage encourage ou non une mère à laisser ses enfants jouer dehors.

En d’autres mots, la pauvreté environnante pousserait une maman à retenir ses enfants à la maison. Les chercheurs suggèrent cette tendance comme l’une des causes de la baisse de popularité du jeu extérieur des dernières décennies, lit-on dans Family Relations.

De plus, selon leurs observations, le statut économique, l’éducation, l’emploi et la santé physique et mentale influencent les peurs de la mère. La même chose a donc été remarquée quant à la perception que cette dernière a de son voisinage.

Les femmes qui vivent au sein d’un voisinage où sont partagées les mêmes valeurs seraient, à l’inverse, plus enclines à laisser leurs enfants jouer dehors.

On suppose que le lien existant entre cette peur et la pauvreté serait dû aux facteurs qu’on lui associe, par exemple, le manque d’aires de jeux et la criminalité. Les perceptions de la mère joueraient donc un rôle prédominant, et leur peur ne serait pas complètement rationnelle.

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La peur de mourir aggrave les problèmes cardiaques

Après une crise cardiaque, de nombreuses personnes ont peur de mourir, mais cela affectera grandement leur guérison.
 
En fait, lorsqu’une personne a des problèmes cardiaques, sa peur de mourir peut aggraver son état.
 
Selon l’European Heart Journal, des chercheurs de Londres ont analysé le cas de 208 personnes avec des maladies cardiaques. Ils ont noté qu’un niveau élevé de crainte de la mort aggravait leur condition.
 
Cela est causé par le stress provoqué par cette peur, qui augmente les composés chimiques THF-alpha. Ces derniers sont reconnus pour endommager le cœur et augmentent donc les risques de problèmes cardiaques.
 
Les personnes devraient à tout prix essayer d’éliminer cette peur de subir une crise cardiaque si elles ne veulent pas en avoir une.
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L’arachnophobie est acquise durant l’enfance

Une revue scientifique vient de démontrer que les enfants et les bébés peuvent apprendre rapidement à avoir peur des araignées et des serpents.

Des études précédentes avaient démontré que les humains et les singes se transmettent plus facilement la peur d’un animal dangereux que celle d’une espèce sans danger.

La présente recherche, parue dans Current Directions in Psychological Science, montre une autre cause de la sélection naturelle.

Dans l’une des recherches en question, on a fait regarder à des bébés de sept mois une vidéo représentant un animal dangereux tel un serpent, puis une autre avec un animal sans danger comme un éléphant. Au même moment, on a fait entendre une voix joyeuse ou une voix apeurée aux tout-petits.

Les enfants ont regardé la vidéo du serpent plus longtemps lorsqu’ils entendaient la voix apeurée, mais sans démontrer de signes de la peur.

On a donc conclu que nous avons bel et bien des réflexes de détection pour ce genre d’animal et une capacité de les associer avec des impressions de dégoût et de répulsion.

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Le cerveau des adolescents ne connaît pas la peur

Après des tests sur des souris, des chercheurs des universités de Cornell et Brown ainsi que de la faculté de médecine de l’Université de New York ont découvert qu’à l’adolescence, les peurs ne sont plus enregistrées dans le cerveau. Cela expliquerait pourquoi les adolescents adoptent parfois un comportement téméraire.
 
On a placé des souris adolescentes devant des situations où elles auraient dû se figer sur place pour manifester leur peur. Il s’agissait de situations vécues à leur jeune âge, comme de petits électrochocs. Pourtant, les souris ados ne présentaient que peu de réactions et leur activité cérébrale était moins forte dans les deux régions du cerveau qui régissent la peur.
 
« Bien que les souvenirs des peurs contextuelles ne s’expriment pas au début de l’adolescence, ils réapparaissent ensuite lorsque la souris sort de cette période. Du point de vue de l’évolution, une suppression provisoire de ce type de craintes durant l’adolescence s’avère une adaptation fort utile au moment où la souris doit s’aventurer hors du nid », mentionnent les chercheurs.
 
Des études plus approfondies sur le sujet seront effectuées dans l’espoir que nous puissions un jour traiter les phobies, les crises d’angoisses ou encore le syndrome post-traumatique.