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La caféine pourrait bien vous rendre trouillard

Voici une nouvelle qui en surprendra plus d’un, et qui fera certes sourire plusieurs grands consommateurs de café.

C’est que la National Sleep Foundation vient de faire paraître une série de symptômes qui peuvent accompagner une trop grande consommation de caféine, et l’un de ceux-là est la peur.

www.nlm.nih.gov parle de « trouille », un sentiment relatif à la peur, mais aussi apparenté à l’angoisse et l’anxiété. On suggère d’abaisser sa consommation de café si l’on est sujet à ce genre de réactions négatives.

Aussi, on rappelle qu’un trop-plein de caféine peut aussi mener à de l’irritabilité, des étourdissements, des nausées, des maux de tête et de l’insomnie.

L’association parle également des risques de palpitations cardiaques, ou encore carrément de l’accélération du rythme du cœur. Aussi, une trop grande consommation de caféine peut mener à des problèmes de motricité, certaines personnes subissant soudainement des problèmes de coordination.

La déshydratation et des passages à la salle de bains plus fréquents sont à prévoir. On peut compenser la déshydratation par une consommation accrue d’eau, mais le meilleur moyen demeure encore de boire moins de café.

Plusieurs associations et spécialistes s’accordent pour dire qu’on ne devrait pas dépasser trois cafés par jour, en moyenne.

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Les mathématiques peuvent vous faire mal

Les mathématiques peuvent vous faire mal… et ce n’est pas une figure de style. Selon santelog.com, qui rapporte une étude américaine (Chicago), des chercheurs ont établi que les mathématiques ou certaines sciences peuvent causer de véritables maux aux gens qui ne se sentent pas à la hauteur.

Cette réaction en déclenche une autre d’anxiété, que le cerveau peut matérialiser en véritables douleurs physiques. Il s’agit du même genre de réaction que lorsqu’une personne subit un rejet social ou se retrouve en situation de danger, toujours selon le site.

Le simple fait d’être obligé de résoudre des équations peut enclencher ce processus chez ceux qui n’ont pas la bosse des mathématiques.

Ces réactions d’angoisse ou d’anxiété qui se métamorphosent en douleur physique existent déjà, selon les chercheurs. Cela dépend de la personne et de ses peurs, mais l’appréhension peut mener au mal.

Ces données permettent de mieux comprendre certains comportements humains, puisqu’il semble évident qu’une personne va tenter d’éviter toute situation qui le place dans ce genre de situation extrême.

On peut remarquer ce phénomène, dans le cas qui nous concerne, chez les gens qui fuient tout type de calcul mental ou tout genre de problème mathématique, et ce, tout au long de leur vie.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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La dépression fait craindre la discrimination

Beaucoup de gens hésiteraient à demander de l’aide lorsqu’aux prises avec des symptômes indiquant une dépression nerveuse, craignant le jugement et la discrimination d’autrui, affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Les recherches démontrent que 79 % des gens qui souffrent de dépression pensent devoir faire face à une forme de jugement ou de discrimination durant le processus.

L’étude, publiée en Angleterre, utilisait des questionnaires afin d’amasser de l’information sur la discrimination que vivent les gens atteints de dépression, et ce, dans 35 pays différents. Le nombre total de gens sondés dépasse le millier.

Les réponses aux questionnaires révèlent des statistiques troublantes. En effet, 34 % des patients disent avoir été évités par des proches, 37 % affirment que la peur de se faire juger les a empêchés de créer des liens solides ou une relation intime avec une autre personne, et 25 % disent avoir évité de travailler, de peur de faire face à de la discrimination.

Par contre, plusieurs patients qui anticipaient le jugement des autres ne l’ont pas vraiment expérimenté, poursuit l’étude. Il s’agit donc d’une peur fondée, mais qui s’avère moins lourde en réalité.

71 % affirment vouloir ou avoir gardé le diagnostic pour eux-mêmes, ce que les spécialistes déconseillent vivement. Les gens qui croient vivre une dépression doivent s’exprimer et rechercher de l’aide rapidement.

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Nouvelles quotidiennes

Québec présente La Marche Macabre

Une activité intéressante et parfaite pour l’Halloween commence dès aujourd’hui (19 octobre) à Québec, annonce Quoifaireaquebec.com.

Il s’agit de La Marche Macabre, une randonnée pédestre envoûtante qui se déroule sur les plaines D’Abraham, site enchanteur s’il en est un. Il s’agit d’un circuit interactif où les participants auront la chance de vivre l’expérience en compagnie de La Corriveau, pendue sur ces mêmes plaines à la suite des accusations de meurtre.

Une trame parfaite pour accompagner les marcheurs, qui tenteront de survivre à cette randonnée. L’histoire des plaines d’Abraham regorge d’événements sordides, macabres et sanglants, ce que votre guide vous fera sans doute un grand plaisir de vous rappeler.

Entre autres phénomènes, vous serez confrontés aux légendes de la dame blanche, de la pierre blanche, des châtiments militaires, des chasses au trésor et de Jeanne d’Arc.

Les organisateurs préviennent les participants d’être prudents, de ne fixer personne dans les yeux et de crier au voleur en cas de panique. Aussi, on rappelle (à la blague, vous l’aurez compris) que si vous croisez sur votre route une personne qui n’a pas d’ombre, c’est qu’elle a vendu son âme au diable.

Vraiment un événement unique, original et angoissant, parfait pour l’Halloween.

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Serrer son nouveau-né pour renverser les effets de stress prénatal

Cependant, si l’on se fie à une étude menée dans les universités de Liverpool et au King’s College à Londres, une solution simple et efficace a des effets positifs remarquables.

Selon eurekalert.org, les mères qui caressent ou frottent le corps de leur nouveau-né dans les premières semaines de vie renversent le processus de stress vécu pendant la grossesse. Donc, par exemple, en caressant la tête, le dos ou les bras du nouveau-né, les cellules associées enregistrent l’information et diminuent ou éliminent le sentiment de peur ou d’agressivité.

Des chercheurs du monde entier ont déjà fait état des conséquences postnatales du stress pendant la grossesse chez l’enfant. Or, cette nouvelle étude s’est attardée sur la solution à ce problème.

D’ordinaire, les enfants développent un comportement d’agressivité, d’instabilité émotionnelle ou de peur à la suite d’une grossesse où la mère vit un stress en permanence ou une dépression. La solution présentée jouerait donc directement sur le mécanisme émotionnel de l’enfant.

La Dre Helen Sharp, de l’University of Liverpool’s Institute of Psychology, Health and Society, explique : « Nous poursuivons notre étude sur le développement continu de l’enfant, à la suite des gestes de réconfort et d’affection prodigués par la mère. Nous voulons être certains que les effets ne s’estompent pas avec le temps ».

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Exprimer ses émotions atténue les peurs

Contrairement à la méthode traditionnelle qui veut que l’on minimise ou même que l’on nie nos peurs, les exprimer verbalement permet de mieux les contrôler.
 
88 phobiques des araignées ont participé à une expérience. Selon le Psychological Science,ils devaient s’approcher le plus près possible d’une tarentule vivante. Un groupe exprimait ses émotions clairement avec des mots francs, comme il le sentait, et l’autre groupe devait relativiser la situation, par exemple en se disant que la tarentule était plus petite et donc sans danger.
 
Une semaine plus tard, on a retenté l’expérience. Étonnamment, les personnes du premier groupe se sont approchées beaucoup plus près de la tarentule. Plus elles avaient employé des mots négatifs du genre « terrifiante », plus elles pouvaient s’approcher de l’insecte.
 
Il est donc impératif d’être attentif au moment présent et de se permettre de vivre pleinement une expérience, selon les chercheurs.

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Accoucher serait un traumatisme pour la mère

En fait, plus d’une femme sur trois aurait si peur de l’accouchement que cette expérience se révèlerait être un traumatisme aussi intense que celui vécu par les victimes d’attaques terroristes.

La douleur de l’accouchement serait l’un des facteurs de ces symptômes de stress post-traumatique expérimentés par plus de 26 % des femmes ayant pris part à la recherche. D’autres résultats de l’étude mentionnent qu’uniquement 3,4 % des répondantes souffraient de réel stress post-traumatique.

Les symptômes d’un tel choc consistent en des difficultés à parler de l’accouchement, des flashbacks du travail et la peur d’avoir un autre enfant.

De plus, selon les chercheurs, plus la douleur était vive durant l’accouchement, plus le risque de stress post-partum est élevé.

Toutefois, 80 % des femmes ayant subi ce stress important avaient choisi un accouchement sans antidouleur, par voie naturelle. Les experts suggèrent donc de confier vos craintes à votre médecin afin qu’il puisse mieux vous conseiller.

Rappelons que 10 % des femmes françaises sombrent dans une dépression post-partum, et plusieurs d’entre elles ne seront jamais décelées.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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A-t-on réellement un 6e sens ?

Ce sixième sens en question nous permettrait de percevoir inconsciemment une réalité, une menace ou un danger.

L’expérience rapportée par le Current Biology montre que le sentiment de peur serait présent même s’il n’y a aucune menace consciente.

Deux visages de peur ont été montrés à 38 personnes ayant en moyenne 24 ans. Celles-ci ne voyaient les visages que d’un seul œil et parfois on leur donnait une petite décharge électrique au même moment. Mais la moitié du groupe pouvait voir des images distrayantes de leur autre œil en même temps.

Pour mesurer le sentiment de peur, les scientifiques ont mesuré la sueur au bout des doigts des participants. Le sentiment de peur était présent chaque fois qu’un des visages était montré et il se produisait la même chose avec les images distrayantes.

Ainsi, même en l’absence de décharge, donc en l’absence de menace consciente, le sentiment de peur demeurait présent. Seulement, il s’estompait plus rapidement chez les participants qui avaient aussi regardé des images plus distrayantes.

Cette découverte mène non seulement à une meilleure compréhension de nos réactions face aux dangers, mais pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements des stress post-traumatiques et des troubles anxieux.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La peur du noir encore à l’origine de bien des problèmes d’insomnie

La phobie de l’obscurité est un facteur méconnu de l’insomnie, d’autant plus que pour de nombreux adultes, c’est difficile à admettre.
 
Bien que les traitements contre l’insomnie soient efficaces, tous les gens n’y répondent pas de la même manière. En outre, les chercheurs mentionnent que lorsque ce trouble du sommeil est causé par la peur du noir, il doit être traité différemment.
 
L’étude menée par la Ryerson University à Toronto, et présentée lors du congrès Sleep de l’Associated Professionnal Sleep Societies, a mesuré ce facteur de l’insomnie par le clignement des yeux des personnes en réponse à des bruits soudains durant la nuit.
 
Ceux qui n’ont pas cette phobie et qui ne sont pas insomniaques n’ont eu aucune réaction. Chez les autres, la réaction était d’autant plus intense que l’obscurité était profonde.
 
Cette observation peut mener à de nouvelles thérapies pour les personnes qui ont peur du noir, afin de conduire à de meilleurs résultats.