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Des grossesses contagieuses chez les amies de longue date

Certaines grossesses seraient souvent « contagieuses » chez certaines femmes, rapporte The National Library of Medicine, alors qu’une nouvelle étude intéressante sur le sujet vient d’être publiée.

Les chercheurs italiens de l’Université de Milan estiment que pour les femmes qui voient une de leurs amies de longue date tomber enceinte, les risques de celles-ci de tomber enceinte seraient de beaucoup multipliés.

« Notre étude démontre que “l’effet amie” a une forte et significative influence sur les femmes. Il est intéressant de noter que les amies du secondaire peuvent jouer un rôle important dans les décisions de fertilité bien longtemps après la fin de l’école », explique le coauteur de l’étude, Nicoletta Balbo.

Balbo et son équipe ont étudié et sondé près de 2000 femmes américaines sur une période de près de vingt ans, entre 1990 et 2009.

Du côté des hommes, cependant, il semble qu’il soit beaucoup plus difficile de tracer de telles corrélations, notamment parce que les données sont plus difficiles à recueillir, selon les chercheurs milanais.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Sociological Review.

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La PAI : un phénomène rare mais sous-estimé

Si vous êtes une jeune femme aux prises avec de sérieux problèmes de maux de ventre ou que vous connaissez une personne dans votre entourage qui éprouve ce genre de problème de santé, et que plusieurs diagnostics et traitements se sont avérés vains, il serait possiblement utile de vous familiariser avec la PAI, ou la porphyrie intermittente aiguë.

Phénomène rare mais sous-estimé, note Top Santé, la PAI s’attaque surtout aux jeunes femmes de 15 à 35 ans, à cause de leurs hormones, et toucherait tout de même une femme sur 75 000 dans le monde, apprend-on.

« Il faut dire que les douleurs abdominales orientent les médecins, le plus souvent et à juste titre, vers des pathologies médicales ou chirurgicales moins rares. Or, si des médicaments inadaptés sont prescrits pour soulager la douleur, le risque de survenue de complications devient plus important », notent certains experts, qui souhaitent voir les patients et médecins se sensibiliser au phénomène.

Détectable par un simple test d’urine, la porphyrie intermittente aiguë demeure traitable, selon les informations proposées, et serait surtout déclenchée par une variation (ou un traitement) au niveau des hormones, du stress ou une alimentation trop riche en calories.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des douleurs abdominales ou au ventre et qu’aucune solution n’a porté des fruits, on suggère de s’informer auprès de son médecin concernant la possibilité d’un diagnostic de porphyrie intermittente aiguë.

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23 septembre : Pic de naissances spectaculaire

Le 23 septembre marque le début d’une période faste en matière de naissances, selon Top Santé, un phénomène qui s’appuie sur une logique simple.

En effet, si on remonte dans le temps en calculant une moyenne de huit mois et trois semaines, on arrive précisément à la période du temps des fêtes et au 31 décembre!

Les fêtes de fin d’année seraient le moment propice à la procréation, comprend-on des statistiques proposées, des chiffres qui se basent sur des observations effectuées en France.

Cependant, il semble que ces naissances, qui bondissent subitement par trois fois, ne sont malheureusement pas toutes désirées…

« Certes, les couples cherchant à concevoir sont probablement plus nombreux à être réunis au moment du 31 décembre. Ils sont donc plus nombreux à avoir des rapports sexuels. Mais les fêtes de fin d’année représentent aussi une période de fragilité pour les femmes qui prennent un contraceptif oral », peut-on lire dans les conclusions de l’étude.

Des décisions et des omissions qui résultent d’une grande consommation d’alcool et d’une désinvolture plus marquée, selon les chercheurs.

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Espérance de vie : Découvrez le phénomène de l’ampoule

Le Daily Mail (UK) rapporte de nouvelles statistiques concernant la longévité, la santé, le vieillissement et la mort.

D’abord, les chercheurs de l’Université Harvard constatent bel et bien une longévité accrue, ce qui signifie que l’on vit plus longtemps, tout simplement. De plus, autre bonne nouvelle, non seulement nous vivons plus longtemps, mais il semble que la maladie soit de moins en moins fréquente.

Il n’y a pas si longtemps, on s’attendait à voir les six ou sept dernières années d’une vie se terminer dans la maladie et la souffrance. Ce ne serait plus nécessairement le cas, selon le professeur David Cutler.

« Avec l’exception de la dernière ou des deux dernières années, les gens sont plus en santé qu’ils ne l’étaient auparavant. Par conséquent, la période de temps associée à la maladie ou à une santé pauvre se retrouve compressée juste à la fin de la vie. Nous nous étions habitués à voir des gens très, très malades pour les six ou sept dernières années de leur vie, ce qui s’avère beaucoup moins commun », explique Cutler, enthousiaste.

Cependant et en conclusion, ce que ces données signifient est que les humains vont avoir tendance à « s’éteindre » plus abruptement, spontanément, sans souffrir sur de longues périodes. On baptise pour l’instant ce phénomène celui de « l’ampoule ».

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Manger sainement ne veut pas dire manger plus

The National Library of Medicine rapporte une constatation frappante qui ressort d’une étude en nutrition, effectuée par des chercheurs français du centre de recherches scientifiques.

L’étude fait état d’un phénomène remarqué chez plusieurs personnes qui décident de manger plus sainement, ces dernières croyant à tort que le fait de choisir des aliments santé permet d’en manger plus. Manger mieux, donc, mais manger plus n’est pas une bonne approche en alimentation, selon les spécialistes impliqués dans l’étude.

Car souvent, si les aliments choisis sont effectivement meilleurs pour la santé de l’organisme, ils ne sont que très rarement moins caloriques. La même prise de poids est donc à prévoir si on double les portions, un phénomène que semble ignorer une bonne partie de la population.

« Les gens croient que les aliments santé sont moins caloriques. Ils ont donc tendance à en consommer plus », résume le professeur Pierre Chandon.

La Dre Cliodhna Foley Nolan va plus dans sa réflexion, affirmant : « La nourriture est vendue comme étant plus santé pour une raison, parce que les producteurs croient, avec raison, que ces étiquettes vont nous influencer à acheter le produit et à en manger plus ».

Un mythe qu’il faut absolument renverser, s’accordent pour dire tous les spécialistes impliqués dans cette recherche.

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Un phénomène rare lié à l’obésité, la dépression et les troubles d’attention

Des chercheurs ont découvert une mutation génétique qui serait liée à plusieurs problèmes de santé et maladies mentales modernes, comme l’obésité et la dépression, selon www.nlm.nih.gov.

De fait, il semble que certaines personnes procèdent, sans le vouloir, à un « effacement » de ce qu’on appelle le facteur neurotrophique du cerveau, ou BDNF en anglais.

Ce comportement est une mutation et pourrait entraîner certains dérèglements biologiques liés aux problèmes d’obésité, de dépression, d’anxiété et de trouble de l’attention.

Le facteur neurotrophique du cerveau joue un rôle important dans le développement du cerveau et de ses capacités.

Ces résultats sont le fruit d’une étude qui ciblait 65 000 personnes à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe. Les patients visés montraient des problèmes de poids, d’humeur, de retard intellectuel ou de trouble de l’attention.

Du lot, les chercheurs de l’Université McGill ont réussi à trouver cinq cas d’effacement du facteur neurotrophique du cerveau, ce qui vient confirmer leur théorie.

Bien entendu, vu le nombre de cas limités, on comprend qu’il s’agit d’un phénomène rare.

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Prévenir le racisme à la source

Selon des chercheurs de l’Université du Queensland en Australie, les enfants pourraient apprendre à devenir racistes.

Au contraire, si on leur présente des photos de personnes de différentes ethnies, ils les différencieraient mieux, les rendant ainsi moins enclins à différencier et discriminer les autres ethnies plus tard dans leur vie.
 
Ce phénomène, déjà bien remarquable chez les adultes, s’appelle l’effet de l’autre race. Il constitue une conséquence de l’expérience que vit une personne en côtoyant d’autres ethnies dans son milieu de vie.
 
On a donc exposé 32 bébés caucasiens de 6 mois à 6 photos de visages, pour 8 différents ensembles de photos au total. La moitié du groupe était exposée à des visages chinois et l’autre à des visages caucasiens.
 
Le résultat a été probant. À neuf mois, on a présenté les photos une nouvelle fois aux bébés. Ceux qui avaient vu des visages chinois étaient capables de différencier les ethnies, alors que les autres ne le pouvaient plus.

Exposer les enfants très tôt à différentes ethnies préviendrait donc le phénomène de l’autre ethnie en poussant son développement à la base.