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On se remet à l’exercice? Évitez les blessures

Le temps des fêtes est le moment idéal pour décider de se remettre en forme. D’abord parce que les kilos en trop sont fréquents en cette période de l’année où il fait bon vivre, et aussi parce que la nouvelle année apporte son lot de promesses et résolutions.

L’une des résolutions les plus populaires est de retrouver la forme en se remettant à l’activité physique. S’il s’agit d’une très bonne idée, il faut aussi éviter les blessures qui surviennent trop souvent lorsque l’on reprend du service physique.

C’est ce que rappelle www.nlm.nih.gov, qui y va de certains conseils pour ceux qui veulent entamer 2013 du bon pied… sans le briser.

Donc, on suggère de consulter son médecin de famille avant d’entreprendre des activités physiques intenses, afin d’avoir un bilan de santé et quelques conseils.

On rappelle l’importance de porter des protections, comme un casque lorsque vous êtes sur patins, à vélo ou en ski.

Il est primordial d’effectuer des réchauffements avant de se lancer dans une activité. Des réchauffements adéquats préviennent de beaucoup les risques de blessures.

Il faut s’hydrater abondamment et ne pas pousser trop fort lorsqu’on ressent de la fatigue. Allez-y progressivement et donnez-vous du temps. On suggère des séquences de 10 à 20 minutes pour commencer, puis augmentez lorsque vous vous sentez bien et à l’aise.

Joyeuses fêtes et bonne année en santé!

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Les dangers de l’hiver pour le coeur

Plusieurs études sont venues prouver que les efforts physiques soudains et difficiles durant la période hivernale, comme le pelletage, peuvent mener à des incidents cardiaques.

Malgré tout, le débat fait toujours rage dans les chaumières, les uns prônant l’importance de l’activité physique, les autres mettant en garde contre les efforts soudains comme le fait de pelleter la neige hors de sa cour.

Voilà une nouvelle étude qui vient corroborer la version qui met en garde contre le pelletage et les autres efforts hivernaux, rapporte www.nlm.nih.gov.

De plus, on note cette fois une nouvelle explication scientifique qui parle de la réaction du corps humain au froid, qui ajoute aux risques de crise cardiaque ou d’accident cardiovasculaire.

« Quand la température tombe durant les mois d’hiver, les risques de crise cardiaque augmentent. Les vaisseaux sanguins se rétrécissent pour prévenir les pertes de chaleur du corps. C’est une réponse naturelle de l’organisme qui peut placer les gens avec des problèmes cardiaques ou qui sont engagés dans des activités physiques à risque d’un incident cardiaque », explique la Dre Holly Andersen, du Ronald O. Perelman Heart Institute.

On suggère de bien s’étirer et de réchauffer son corps avant de brandir sa pelle, et de porter un foulard sur le nez et la bouche pour réchauffer l’air que vous respirez.

Évitez de lever la pelle, mais poussez plutôt la neige. Prenez plusieurs pauses et ne vous surmenez pas, afin de profiter de l’hiver en santé!

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Maigrir avant Noël, c’est encore possible!

Si vous êtes découragé de ne pas entrer dans le complet ou la robe que vous prévoyiez porter lors du temps des fêtes, ne sombrez pas dans la déprime, il est encore possible de perdre du poids d’ici Noël.

Il peut être effectivement démotivant de constater un gain de poids à l’approche des fêtes, surtout en sachant que le passage obligé vers la nouvelle année comprendra son lot de buffets, de viandes, de sucreries et d’alcool.

Et c’est d’ailleurs cet élément (l’alcool) auquel vous devrez tenter de résister d’ici Noël, selon ce que suggère topsante.com. C’est bien connu, l’alcool est très calorique et peut aussi donner des impressions d’avoir faim, alors que ce n’est pas vraiment le cas.

Il faudra aussi « couper dans le gras » et arrêter les viandes. Il est préférable d’opter pour les poissons, riches en oméga-3 et moins caloriques, ainsi que le poulet.

Le sucre s’avère votre principal ennemi. Malheureusement, tant de choses sur le marché en contiennent! Il vous faudra bien lire les étiquettes et faire les bons choix.

Doit-on vraiment vous rappeler que la clé du succès réside dans les fruits et légumes?

Et, bien sûr, tout cela devrait être accompagné d’activités physiques. La combinaison des deux permet assurément une perte de poids, en peu de temps.

Il est donc encore possible de réaliser un miracle de Noël!

 

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La litière de votre chat pourrait affecter votre comportement

Tous les amoureux des félins et propriétaires de chats voudront sans doute lire cette nouvelle. Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les germes contenus dans la litière de votre chat, et plus particulièrement ceux contenus dans les « cadeaux » laissés dedans, pourraient avoir des effets néfastes sur le cerveau.

Par conséquent, ces effets pourraient bien jouer sur le comportement des maîtres. C’est du moins ce que conclut une étude sur le sujet, publiée dans la plus récente édition du journal PLoS Pathogens.

Ainsi, on apprend que c’est ce processus qui mène à la toxoplasmose, une maladie déclenchée par une exposition massive à ces germes. Si cette maladie est somme toute bien connue, il en va autrement de ses effets sur le cerveau et sur le comportement.

C’est que selon l’étude, de 30 à 50 % des propriétaires de chats seraient déjà infectés par la toxoplasmose, mais le système immunitaire serait en mesure de contrer la maladie dans la grande majorité des cas.

Donc, dans sa forme indétectable commune, la toxoplasmose pourrait mener à de la schizophrénie ou encore à une dépression.

De plus, on a constaté des changements comportementaux chez certains, qui devenaient subitement plus extrovertis qu’à l’habitude, par exemple. De l’agressivité, des envies de prendre des risques et d’autres symptômes du genre sont aussi observables chez certains sujets.

On suggère de bien nettoyer la litière de votre animal et de le faire souvent, en plus de garder la toilette féline dans une zone réservée et recluse du reste de la maison.

La toxoplasmose peut être fatale chez les gens qui ont un système immunitaire déficient.

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Le déficit d’attention à l’origine de plusieurs autres problèmes de santé?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que les troubles de déficit d’attention et d’hyperactivité pourraient bien mener à d’autres problèmes de santé ultérieurement.

On explique que les enfants qui souffrent de ces troubles et qui voient les symptômes perdurer durant la vie d’adulte sont sujets à divers problèmes de santé mentale et physique.

On note d’abord ceux qui découlent du stress, les gens souffrant de déficit d’attention ayant souvent des pointes d’angoisse ou d’anxiété plus fréquentes que les autres.

L’étude en question est le résultat d’analyses sur différents patients sur une période de 30 ans. On a constaté que les sujets cibles développaient souvent des problèmes au travail, financiers ou encore sociaux.

L’intégration en société serait nettement plus difficile avec un trouble de déficit de l’attention, ce qui pourrait mener à une dépression ou des désordres antisociaux importants.

De plus, tout le stress découlant de ces problèmes indirects liés au déficit d’attention et à l’hyperactivité pourrait mener à des troubles physiques comme des problèmes cardiovasculaires.

Cependant, les chercheurs spécifient qu’aucune cause à effet directe n’a été prouvée jusqu’à maintenant.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.

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L’exercice à jeun serait plus efficace pour la perte de poids

Lorsque vient le temps de commencer un programme d’exercice, comme la course à pied, le moment de la journée où faire cadrer ces activités est souvent un problème. Les journées vont vite et l’action ne manque pas, surtout si vous avez une famille.

Si votre but est de perdre du poids, une nouvelle étude pourrait bien venir trancher le débat et vous faire faire votre jogging dès le lever. En effet, selon santelog.com, l’étude rapporte que la course matinale, à jeun, est la plus efficace pour perdre des kilos, ou à tout le moins ne pas en prendre.

Cette affirmation provient des chercheurs de Glasgow, en Écosse, à l’origine de l’étude publiée dans la plus récente édition du British Journal of Nutrition. L’étude suivait dix adultes masculins en surpoids (28 ans de moyenne), et on mesurait les impacts d’un exercice physique à différentes étapes de la journée.

Les résultats sont clairs, la dégradation des graisses est plus élevée à jeun que plus tard dans la journée, après un repas ou un petit déjeuner. La dépense énergétique est également plus élevée avant de manger, constatent les chercheurs.

Les tests semblent donc concluants, mais les spécialistes tiennent à rappeler que de faire de l’exercice est l’objectif ultime, peu importe le moment de la journée.

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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.

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La nutrition automnale pour garder la forme

L’automne n’est pas la saison préférée de tout un chacun, malgré ses couleurs flamboyantes. De fait, plusieurs personnes ressentent les effets de la dépression saisonnière, entre autres à cause du manque de lumière progressif.

D’autres ressentent de la nostalgie simplement parce qu’ils doivent faire le deuil de l’été, alors que certaines personnes ont de véritables maux qui surviennent lors de la période automnale.

Si plusieurs pilules, gélules et boissons énergisantes existent sur le marché, et qu’il peut être tentant d’en consommer lorsqu’une baisse d’énergie se fait sentir aux abords de l’automne, topsante.com suggère qu’il peut vraisemblablement s’agir d’un mal « placebo », psychologique, qui s’apparenterait plus à de la nostalgie qu’à une réelle fatigue.

Il est donc conseillé de ne pas consommer ces produits en trop grande quantité, tout comme les suppléments de vitamines. Ces derniers sont cependant conseillés, modérément, pour ceux qui ressentent véritablement un effet physique dû au manque de lumière (plus vrai vers le mois de novembre).

On conseille aux gens sensibles à ces phénomènes automnaux de faire de l’exercice, de manger des fruits et légumes et de pratiquer des activités qui les passionnent. Bref, de prendre du temps pour soi et de s’occuper de son corps.

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Les traumatismes de l’enfance modifient à jamais le cerveau

Une toute nouvelle étude dévoile que les sévices, physiques ou psychologiques, pendant l’enfance, ainsi que la pauvreté ou le manque d’éducation des parents sont tous des facteurs qui modèlent le cerveau de l’enfant. Ils touchent les circuits nerveux et donnent lieu à des désordres émotifs et psychologiques.

Cette découverte a été présentée lors du Neuroscience 2012, la rencontre annuelle mondiale la plus élaborée quant à la science et la santé du cerveau.

Les conséquences, donc, vont des maladies mentales aux troubles cardiaques, en passant par la mémoire et les fonctions cognitives associées au stress.

Lors d’une conférence de presse, le Dr Bruce McEwen, spécialiste du stress et de ses effets sur le cerveau à la Rockefeller University, a déclaré : « […] cette étude révèle les régions spécifiques affectées par les traumatismes vécus durant l’enfance. »

Le Dr McEwen affirme ainsi que de nouveaux traitements, mieux adaptés, pourront être développés pour les gens atteints de ces maladies mentales, à la suite de cette découverte.