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Quoi manger avant, pendant et après l’exercice

Beaucoup d’informations circulent concernant l’exercice physique et le type de nutrition à observer. Aussi, lorsqu’on décide de se mettre en forme, il peut devenir difficile de savoir quoi manger et quand le faire.

Voici donc quelques conseils pour adapter vos repas et boissons en fonction du moment de la journée et de la période d’exercice.

Selon conseilsnutrition.tv, on suggère que les glucides sont primordiaux avant de commencer l’activité physique, puisqu’ils sont les carburants du muscle. Ainsi, les fruits séchés, les barres tendres et les bananes sont de bons choix.

Durant l’activité, on recommande de boire de l’eau simplement, pour ne pas ingérer des calories que nous tentons de perdre. Si l’activité dépasse 60 minutes, on peut commencer à penser à consommer une boisson sportive (Gatorade, Powerade).

Après l’activité, il est de mise de redonner des glycogènes à l’organisme et de s’hydrater. L’idée est de combiner glucides et protéines. Donc, un yogourt avec une pomme serait un exemple parfait de collation.

On vante également les mérites du lait au chocolat, qui contient le bon ratio de glucides et de protéines (3 glucides pour 1 protéine).

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Conseils pratiques pour bien s’échauffer avant l’exercice

Il est bien connu que l’échauffement tient un rôle important dans l’activité physique. Bien s’échauffer, c’est préparer son corps à ce qui l’attend, et ainsi éviter les chocs et les blessures.

Beaucoup de blessures pourraient être évitées simplement par de petits gestes, expliqués ici. D’abord, il est important de préparer son corps par des mouvements simples, qui demandent peu d’efforts, rapporte nlm.nih.gov.

L’American Council on Exercise propose d’inclure des mouvements d’aérobie qui vont aider à réchauffer les muscles que vous utiliserez plus tard lors du véritable exercice physique.

Ensuite, on suggère de pratiquer des exercices de flexibilité, des étirements, mais tout en douceur. Le but est d’étirer vos muscles doucement, pour que ceux-ci soient à leur plein potentiel lors de l’effort. Ainsi, priorisez les membres qui seront sollicités davantage.

Puis, essayez d’effectuer une version plus lente et plus facile de l’exercice que vous allez faire. Par exemple, si vous faites de la bicyclette, roulez très doucement pendant un moment, afin d’habituer votre corps. Il en va de même pour les sports et la course à pied.

Finalement, réchauffez-vous à un niveau qui ne vous fait transpirer que légèrement, sans ressentir de fatigue. Vous serez fin prêt pour la pratique de votre activité physique de prédilection.

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Pour vous sentir mieux, cessez de mentir

Pour vous sentir mieux physiquement et mentalement, cessez de dire des mensonges, petits ou grands.

C’est ce que dévoile une étude de l’Université Notre Dame, dont les résultats ont été présentés à la convention American Psychological Association.

110 personnes de 18 à 71 ans ont participé à cette petite étude.

Elles ont été divisées en deux groupes. Pour le premier groupe, on leur a donné comme consigne de cesser tous mensonges, petits ou grands pendant dix semaines. Elles pouvaient toutefois éviter une question, garder un secret ou omettre de dire la vérité.

Le deuxième groupe n’a reçu aucune indication particulière, mais comme le premier groupe, les personnes devaient noter le nombre de mensonges dits et la nature de ces derniers.

Chaque participant a été soumis à un détecteur de mensonges une fois par semaine, en plus d’être questionné sur son bien-être physique et mental. Après dix semaines, le groupe qui devait s’abstenir de dire des mensonges avait vu son bien-être physique et mental s’améliorer grandement. Ils étaient moins tristes, avaient moins de soucis mineurs et moins de maux de tête également.

Pour les chercheurs, il est clair que nous pouvons améliorer notre bien-être général de façon très simple.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les enfants en forme seraient meilleurs à l’école

C’est ce que révèle une étude de l’American Psychological Association présentée lors de sa 120e Convention annuelle.

« La forme cardiorespiratoire était le seul facteur que nous avons trouvé qui avait un impact sur les notes en mathématiques et en lecture chez les garçons et les filles », selon le coauteur de la recherche, le professeur de psychologie à la University of North Texas, Trent A. Petrie.

L’étude a également étudié l’effet de l’estime de soi, du soutien social, du statut socioéconomique et de l’autoévaluation des habiletés scolaires de l’enfant sur le rendement pédagogique.

En plus de la forme cardiorespiratoire, le soutien social était aussi associé à de meilleurs résultats scolaires. En outre, chez les fillettes, les experts ont constaté qu’un indice de masse corporelle plus élevé contribuait à de meilleures notes en lecture.

Rappelons qu’il est important pour les enfants de faire du sport. L’exercice peut améliorer la pensée des enfants en augmentant la circulation du sang et de l’oxygène au cerveau. Il peut aussi aider à augmenter les niveaux de noradrénaline et les endorphines pour diminuer le stress et ainsi améliorer l’humeur.

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La violence psychologique aussi nocive que la violence physique

C’est ce que croit l‘American Academy of Pediatrics selon un article publié dans la revuePediatrics du mois prochain.

La violence psychologique peut prendre plusieurs formes, comme la dépréciation de l’enfant, le dénigrement, la terrorisation, l’exploitation, l’indifférence émotionnelle ou encore la corruption de l’enfant au point de le mettre en danger, selon l’une des auteures de la recherche, Dr. Harriet MacMillan.

Selon elle, cette forme de violence ne doit pas être ignorée.

« Crier après un enfant chaque jour, lui donner le message qu’il est une personne terrible et que le parent regrette de l’avoir mis au monde est un exemple d’une interaction potentiellement très dommageable », explique-t-elle.

Les conséquences de ce type de violence peuvent se traduire par des problèmes du développement et de l’éducation ou encore un comportement dérangeant, entre autres.

De plus, le Dr. MacMillan signale que les effets de la violence psychologique durant les trois premières années de la vie peuvent être particulièrement profonds.

Rappelons toutefois que des interventions positives et un milieu de vie sain peuvent faire en sorte de transformer la vie d’un enfant qui a été négligé.

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Quelle sorte de relations amoureuses auront les enfants maltraités?

C’est ce qu’avancent les chercheurs de l’Université Ben-Gourion du Néguev qui ont examiné la stabilité et la satisfaction des relations intimes que pouvaient avoir de jeunes adultes qui ont été maltraités durant l’enfance.

Parus dans le Journal of Social & Clinical Psychology, les résultats suggèrent que la détérioration d’un couple, le déraillement dans les relations interpersonnelles et plus particulièrement les relations amoureuses seraient notamment dus à l’autocritique constante que ces gens font.

« Les participants à l’étude ont eu une très forte tendance à se dénigrer, et cela porte atteinte à leur satisfaction dans une relation », croient les chercheurs.

Il a également été démontré que certaines personnes étaient atteintes de symptômes de trouble de stress post-traumatique (SSPT) en raison de la violence psychologique qu’ils ont subie. Cet état d’âme n’aide guère à la situation de vivre à deux et comprendre autrui, déduisent les experts.

La maltraitance d’un enfant peut se traduire par des cas de sévices sexuels et physiques, de violence psychologique et de négligence.

Les chercheurs estiment que les comportements de stress et de dénigrement sont susceptibles d’empirer à mesure que les gens vieillissent.

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Les bébés sont de petits génies grâce à leur vue

Tous les nouveau-nés seraient de petits génies en mathématiques, physique et géométrie, affirme l’étude de la Dre Elizabeth S. Spelke de l’Université Harvard, rapportée dans le New York Times.

Ces fabuleuses capacités innées se développeraient davantage dès les premiers mois de vie grâce au sens de la vue, déclare la spécialiste, qui a analysé le comportement de nourrissons devant différentes situations.

Ainsi, il serait facile pour les petits Einstein de comprendre que les objets sont indépendants les uns des autres.
 
Si un objet est caché, le bébé le cherchera des yeux. S’il a déjà vu l’objet au préalable, il sera capable de le recréer dans sa tête. Ils savent également qu’il est impossible pour un objet ou un être de passer à travers les murs.
 
Quant aux mathématiques et probabilités, dès les premiers mois, l’enfant est capable de déduire qu’il y a plus de chances qu’une personne pige un objet majoritaire dans une boîte. Pour exemple, si la boîte contient 80 % de balles blanches et 20 % de balles rouges, si l’adulte devant lui pige au hasard une balle rouge, le bébé aura une réaction d’étonnement et de surprise.
 
Les bébés sont capables également de percevoir les trajectoires empruntées par des personnes ou des objets. S’ils sont piégés dans un espace restreint ou qu’on leur bloque le chemin, les marcheurs à quatre pattes trouveront facilement un autre passage.
 
Il a également été prouvé que les bébés sont sensibles au langage utilisé dans leur environnement. Un petit qui naîtra parmi des francophones portera donc moins d’attention à un anglophone qui sera dans son entourage.
 
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Les déménagements nuisent à la santé des enfants

Une étude écossaise publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health suggère que plusieurs déménagements, avant l’âge de 18 ans, peuvent créer le blues de la maison.

Cela peut engendrer un impact sur la santé physique, de la détresse psychologique globale et peut augmenter la probabilité qu’un enfant consomme des drogues illicites.

La garde partagée, due aux nombreux divorces au cours des dernières années, n’a d’ailleurs pas aidé la situation.

Pour en arriver à ces conclusions, pendant une vingtaine d’années, 850 jeunes personnes ont été suivies.

Il semblerait que les enfants qui avaient 4 frères et sœurs ou plus avaient plus de chances de garder le même domicile jusqu’à 18 ans. Ceux qui avaient trois frères et sœurs ou moins, ou encore des parents célibataires ou des beaux-parents, déménageaient beaucoup plus souvent.

Le changement d’école fréquent serait l’un des principaux motifs du développement d’une mauvaise santé chez les jeunes. Ceux qui avaient déménagé trois fois ou plus étaient d’ailleurs deux fois plus à risque d’avoir consommé des drogues illicites, et près de trois fois plus susceptibles d’avoir eu des pensées suicidaires que ceux qui étaient restés dans la même maison.

Les spécialistes rappellent que le déménagement n’est pas toujours une expérience positive et que cela peut s’avérer stressant, surtout pour les enfants. Un soutien doit être donné à ces derniers, au cours d’une délocalisation de la famille, afin de s’assurer que d’importants liens sociaux et les relations avec les professionnels de santé ne soient pas brisés.

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Les bébés naissent avec une connaissance de la physique

Bien que les nourrissons puissent sembler des créatures sans défense qui ne font que manger, pleurer et dormir, une chercheuse de l’Université du Missouri affirme que les cerveaux infantiles sont équipés de la connaissance de « physique intuitive ».

C’est en mesurant le regard d’un enfant lorsqu’il est présenté à des scénarios différents que nous pouvons savoir que les bébés naissent avec des attentes sur les objets autour d’eux.

« L’enfant raffine et développe ses connaissances et capacités au fil du temps », a déclaré Kristy vanMarle, une professeure adjointe au Département des sciences psychologiques.

Les preuves de la physique intuitive surviennent chez les nourrissons dès l’âge de deux mois — le plus jeune âge auquel les tests peuvent se produire. À cet âge, les nourrissons comprennent que les objets non attachés peuvent tomber et que les objets que l’on cache existent toujours.

Dès cinq mois, ils assimilent que le sable ou l’eau ne sont pas solides, et dès 10 mois, les enfants choisissent toujours une plus grande quantité lorsque deux différentes quantités de substance alimentaire leur sont présentées.

Les chercheurs croient que la majorité des interactions quotidiennes d’un adulte avec le monde est automatique et que les nourrissons ont cette même capacité. Voilà l’importance pour les parents de jouer et parler avec les bébés et d’interagir avec eux grâce à des objets.

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.