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La jeunesse tumultueuse de Dwayne « The Rock » Johnson

Dwayne « The Rock » Johnson n’a semble-t-il pas toujours été l’homme rangé que l’on connaît. En fait, la star de 42 ans a vécu des années sombres et tumultueuses au cours de son adolescence, rapporte BANG Media International.

L’acteur aurait en effet été arrêté à plusieurs reprises dans sa jeunesse, au moins huit fois, alors qu’il s’est retrouvé impliqué dans un gang de voleurs, selon ses propos recueillis lors d’une entrevue accordée au magazine Muscle and Fitness.

« À 14 ans, j’ai commencé à m’entraîner. C’est aussi à 14 ans que j’ai commencé à me faire arrêter pour des bagarres, des vols et tout un tas de trucs stupides que je n’aurais pas dû faire. Malgré tout, je trouvais toujours le temps en après-midi d’aller taper dans le sac. Je construisais mon corps, parce qu’encore, c’est cette mentalité d’éviction. Mais je me mettais quand même dans le trouble. J’ai été arrêté huit ou neuf fois avant l’âge de 17 ans », révèle Dwayne Johnson.

Celui qui n’était pas forcé d’admettre ce lourd passé révèle également que son gang s’en prenait aux touristes de passage à Hawaii, là où Johnson a grandi.

Le lutteur devenu acteur admet que l’activité physique a contribué à lui faire reprendre le droit chemin, avec la suite spectaculaire que l’on connaît maintenant.

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Keira Knightley était anxieuse et se prenait trop au sérieux

Keira Knightley y va de quelques révélations dans une entrevue accordée au Daily Mirror. Elle admet s’être inquiétée de manière exagérée concernant son apparence et s’être prise trop au sérieux durant de nombreuses années.

« Est-ce que j’ai perdu des rôles à cause de mon physique? Oui. Est-ce que j’ai eu des rôles grâce à mon physique? Oui. Qu’est-ce que je peux faire? Je ressemble à ce que je ressemble. »

« J’étais exagérément inquiète jusqu’à l’âge de 25 ans, et je me prenais bien trop au sérieux. Les critiques me faisaient mal personnellement, et je ne savais pas comment ouvrir de manière émotionnelle (pour jouer), et me créer une carapace en même temps afin que les critiques ne me fassent pas de mal », explique Keira Knightley, dont le physique alimente constamment la presse à potins.

La star de The Imitation Game affirme qu’à un certain point, à la mi-vingtaine, l’inquiétude a soudainement fait place au calme et à la résilience.

?« Il y a ce genre de moment où tu te dis que tu n’as aucun contrôle, que tu ne peux rien faire pour ça », déclare l’actrice.

En terminant, Knightley déconseille vivement aux jeunes actrices de se « googler » elles-mêmes, une habitude malsaine qu’elle aurait entretenue durant un bon moment, et qui peut faire très mal à l’estime de soi.

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Keira Knightley était anxieuse et se prenait trop au sérieux

Keira Knightley y va de quelques révélations dans une entrevue accordée au Daily Mirror. Elle admet s’être inquiétée de manière exagérée concernant son apparence et s’être prise trop au sérieux durant de nombreuses années.

« Est-ce que j’ai perdu des rôles à cause de mon physique? Oui. Est-ce que j’ai eu des rôles grâce à mon physique? Oui. Qu’est-ce que je peux faire? Je ressemble à ce que je ressemble. »

« J’étais exagérément inquiète jusqu’à l’âge de 25 ans, et je me prenais bien trop au sérieux. Les critiques me faisaient mal personnellement, et je ne savais pas comment ouvrir de manière émotionnelle (pour jouer), et me créer une carapace en même temps afin que les critiques ne me fassent pas de mal », explique Keira Knightley, dont le physique alimente constamment la presse à potins.

La star de The Imitation Game affirme qu’à un certain point, à la mi-vingtaine, l’inquiétude a soudainement fait place au calme et à la résilience.

?« Il y a ce genre de moment où tu te dis que tu n’as aucun contrôle, que tu ne peux rien faire pour ça », déclare l’actrice.

En terminant, Knightley déconseille vivement aux jeunes actrices de se « googler » elles-mêmes, une habitude malsaine qu’elle aurait entretenue durant un bon moment, et qui peut faire très mal à l’estime de soi.

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Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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L’exercice avant l’école, bénéfique pour les enfants avec un TDAH

Ceux qui souffrent de TDAH, enfants comme adultes, ont beaucoup de difficulté à être attentifs, à éviter les comportements impulsifs ou à diminuer leur fébrilité.

Selon une recherche effectuée par l’Université d’État du Michigan et celle du Vermont, des activités d’aérobie avant l’école aideraient à diminuer les symptômes en classe, tout comme à la maison.

« Des études suggèrent que l’activité physique peut avoir un effet positif sur les enfants qui souffrent de TDAH », indique Alan Smith du département de kinésiologie.

La présente recherche a démontré une amélioration substantielle des fonctions cérébrales des enfants avec TDAH lorsqu’ils faisaient de l’exercice avant les cours. Ils avaient de meilleures aptitudes tant en mathématiques qu’en français.

Pour en arriver à cette conclusion, 200 enfants du primaire et d’âge préscolaire ont été séparés en deux groupes. Le premier faisait quotidiennement des exercices avant l’école, contrairement au second groupe. L’étude a duré 12 semaines.

« Même si beaucoup de questions demeurent en suspens, l’activité physique apparaît comme une méthode d’intervention prometteuse », a souligné Smith.

Science World Report mentionne que la recherche se retrouve dans le Journal of Abnormal Child Psychology.

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Stimuler une partie du cerveau pour améliorer la motivation sportive?

Ne serait-ce pas là l’intervention médicale la plus utilisée si celle-ci était permise au grand public? Les experts de l’institut de recherche pour enfants de Seattle ont justement découvert une petite région du cerveau qui motive un être à faire des activités physiques.

L’habenula est similaire chez les rongeurs et les humains. Elle comprend des fonctions de base qui régulent l’humeur et la motivation. Il s’agit donc d’une région qui détermine spécifiquement le désir d’exercice, informe le Dr Eric Turner.

« Les segments responsables de la motivation à l’activité physique étaient jusqu’à présent mal compris. Désormais, nous pouvons chercher une façon de manipuler ce désir en touchant uniquement la partie du cerveau concernée. »

Des souris modifiées génétiquement ont été testées, mentionne Headlines & Global News, et il s’est avéré qu’avec cette région du cerveau inhibée, elles sont devenues léthargiques.

Au contraire, celles dont l’habenula a été stimulée se sont transformées en ferventes de la roue d’exercice.

L’étude a été publiée dans le Journal of Neuroscience.

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Ryan Seacrest est un fanatique de la mise en forme

Ryan Seacrest ne veut plus revivre les affres de sa jeunesse et entend bien tout faire pour y parvenir.

On apprend en effet de la bouche du célèbre animateur et spécialiste en Top 40 qu’il était jadis un enfant plutôt grassouillet, des souvenirs qui ne sont pas tous heureux.

Seacrest est donc désormais un fanatique de la mise en forme et se soumet à un régime strict, rapporte BANG Media International.

« Je me souviens avoir été un enfant assez gras, et ce que ça me faisait ressentir. Ma mère me préparait mon lunch, et je la suppliais de mettre un sandwich supplémentaire. Je mangeais des nachos après l’école, et j’aimais les petits roulés suisses. Parfois, quand je regarde dans le miroir, je vois encore cet enfant. Alors, je suis maintenant hyper-obsédé par l’exercice », révèle l’animateur.

Ryan Seacrest est bien entouré pour garder le cap, lui qui fréquente maintenant l’entraîneuse et mannequin Shayna Taylor.

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Les enfants en forme sont-ils plus intelligents?

Une précédente étude a déjà prouvé que la matière grise, zones du cerveau importantes pour la mémoire et l’apprentissage, est plus développée chez les enfants qui sont en forme physiquement et qui bougent régulièrement, révèle Science World Report.

Pour la première fois, des chercheurs de l’Université de l’Illinois ont exploré comment l’aérobie et la mise en forme pouvaient avoir un lien avec certaines voies tracées par la matière blanche dans le cerveau des enfants.

En examinant l’apport d’eau dans les tissus cérébraux chez 24 enfants âgés de neuf et dix ans, les scientifiques ont découvert que chez les enfants en forme, une fois de plus, il y avait une différence. Les régions de la matière blanche reliées à l’attention et la mémoire étaient mieux approvisionnées.

Selon des études antérieures, l’activité physique apporte des bienfaits à la matière blanche du cerveau adulte. Désormais, les experts ont prouvé que le cerveau profite de ces bienfaits tout au long de sa vie.

La recherche a été publiée dans la revue Frontiers in Human Neuroscience.

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La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.