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Les étirements avant l’activité physique remis en question

C’est plutôt étonnant de voir les étirements être remis en question dans le cadre d’un programme d’activité physique, mais l’étude dévoilée ici semble pourtant très sérieuse.

Elle est de plus publiée par le New York Times, avant d’être rapportée par Top Santé, ce qui ajoute à l’intérêt de la chose.

Selon cette recherche en provenance de Croatie, donc, les étirements seraient à déconseiller avant le sport, car ils n’auraient que très peu (ou pas) d’impact sur la prévention des blessures et ne feraient qu’enlever de précieuses énergies aux sportifs et athlètes, en fin de compte.

On parle aussi d’une réduction de la force musculaire de 5 %, toujours selon l’étude publiée initialement dans The Journal of Strength and Conditioning Research.

Attention cependant, on tient à rappeler qu’il existe une différence entre étirement et réchauffement, le deuxième conservant l’appui des spécialistes en tête de la recherche.

Or, c’est justement l’une des causes de la confusion, beaucoup de sportifs croyant à tort qu’étirement et réchauffement sont une seule et même chose.

On suggère de garder les étirements pour la fin de l’activité physique, un moment qui serait beaucoup mieux choisi pour étirer ses muscles.

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Retrouvez la forme physique et mentale après l’accouchement

L’arrivée d’un bébé rime avec prise de poids, fatigue, inquiétudes et stress. Pour éviter d’en faire votre cercle vicieux, le site The Conversation vous indique comment y remédier en 4 étapes.

La routine – un jour à la fois : Évitez de penser au résultat que vous souhaitez atteindre. Chaque jour est un nouveau départ. Vous devez vous fixer des objectifs simples et réalisables. Que ce soit faire une marche de 15 minutes avec bébé ou apprendre une nouvelle recette santé. Inévitablement, vous reprendrez le contrôle peu à peu sur votre corps et votre esprit.

Allez-y lentement, mais sûrement : Rien ne sert de vous lancer à corps perdu dans une diète draconienne. C’est prouvé, vous risquez de reprendre ainsi votre poids et de créer des carences à votre organisme. Votre corps n’a pas changé en 24 h. Donnez-lui donc une chance de reprendre du poil de la bête, mais à un rythme raisonnable.

Sortez de vos pantalons en molleton : Il est prouvé que lorsqu’on se sent belle et attirante, le mental suit et prend de l’assurance. Ainsi, laissez vos pantalons « mous » de côté et faites un brin de toilette, maquillez-vous et coiffez-vous. Même votre conjoint ressentira votre changement d’état d’esprit.

Communiquez avec d’autres nouvelles mères : Évitez de créer un groupe qui se complaira dans les discussions négatives ou dépressives. Échangez des trucs, des anecdotes, des idées pour vous entraider, faire de l’exercice et regagner de l’énergie et de la confiance en vous. L’effet de groupe est un excellent catalyseur.

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Nouveau traitement thérapeutique : la gratitude

C’est tout un constat auquel arrivent plusieurs chercheurs et spécialistes, rapporte le site web officiel de la fameuse Clinique Mayo, alors que l’on croit pouvoir confirmer les bienfaits thérapeutiques de la gratitude.

Oui! Le simple fait d’être content ou reconnaissant des choses que l’on obtient ou qui nous arrivent pourrait bien avoir un impact sur notre santé physique et mentale.

En fait, on croit que cette action, ou cette réaction, permet entre autres d’améliorer l’humeur et la compassion envers les autres, en plus d’optimiser l’énergie vitale et le système immunitaire. On noterait aussi une plus grande résilience chez les gens empreints de gratitude.

« Sans la gratitude, le bonheur est impossible », s’avance même à dire le Dr Amit Sood, directeur des recherches à la Clinique Mayo.

Ce dernier suggère par ailleurs de commencer à rédiger vos émotions de gratitude dans un journal, si vous avez du mal à l’exprimer autrement. Toutes les façons sont bonnes de traduire cette émotion, qui serait une véritable clé vers une meilleure santé générale et un meilleur équilibre émotionnel.

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Les boissons énergisantes n’augmentent pas les capacités cognitives

Plusieurs grandes compagnies de boissons énergisantes, de plus en plus populaires, utilisent dans leur mise en marché des éléments qui laissent croire que la consommation de ces boissons augmente les capacités cognitives.

Certains de ces produits laissent miroiter une amélioration de l’énergie physique, mais aussi mentale, une affirmation qui n’a pas de fondement, suggèrent des chercheurs du Texas qui se sont penchés sur la question en analysant les réactions de cyclistes.

Leurs conclusions, que rapporte Medical News Today, font état d’une amélioration minime ou inexistante des capacités cognitives lors de la consommation d’une boisson énergisante.

Ils confirment cependant certaines vertus en ce qui concerne les capacités physiques, bien que l’on conseille vivement de ne pas en abuser ou de développer un besoin envers ces produits.

Les recherches, publiées dans le Journal of Caffeine Research, ne semblent pas complètes, ce qui indique que des contre-études sont attendues sur le sujet, car même les améliorations physiques reconnues par certains spécialistes sont mises en doute par d’autres.

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L’optimisme et les taux de cholestérol : cause à effet?

Les gens de plus de 40 ans qui voient la vie d’un bon œil pourraient améliorer leur bon taux de cholestérol dans le sang, suggère une nouvelle étude.

C’est ce que rapporte The National Library of Medicine, qui prétend qu’il est possible de tracer un lien entre le cholestérol et le fait d’être positif à 40 ans.

Les tests effectués démontreraient en effet que les personnes à mi-chemin dans leur vie qui ont d’excellents résultats en matière de cholestérol dans le sang ont bel et bien une vision plus légère et enjouée de la vie en général… ou serait-ce l’inverse?

« Il s’agit d’une nouvelle pièce de preuve qui suggère que la santé psychologique et la santé physique sont interreliées, et que voir le monde de façon optimiste peut avoir des effets tangibles sur la santé », résume l’auteure de l’étude, Julia Boehm, de la Harvard School of Public Health de Boston.

Des propos qui laissent croire que non seulement un bon taux de cholestérol dans le sang peut améliorer l’attitude, mais que l’inverse serait aussi vrai.

D’autres tests doivent être effectués sur le sujet, car les chercheurs ne veulent pas trop s’avancer sur les effets possibles d’une attitude positive sur l’organisme. Une cause à effet reste à prouver.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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Les femmes en symbiose avec leur corps seraient en meilleure santé mentale

Une étude britannique, rapportée par Santé Log, dévoile des statistiques intéressantes concernant les femmes et la relation qu’elles entretiennent avec leur corps.

On apprend donc que celles qui sont le plus en phase et en symbiose avec leur corps affichent également une plus grande confiance et une meilleure santé mentale.

Effectuées à l’Université de Londres par une équipe de spécialistes, ces recherches démontrent que de connaitre, comprendre et écouter ses réactions corporelles permet de se sentir mieux sans sa peau.

On parle notamment du rythme cardiaque, qui est d’une importance capitale et qui s’avère ignoré par bon nombre de femmes. En écoutant et en analysant son rythme cardiaque, les chercheurs affirment que l’on devient alors « à l’écoute de son corps ».

Ensuite, ces mêmes chercheurs ont tenté d’établir une corrélation entre la capacité des sujets à écouter leur corps et celle de déterminer des « réalités » de celui-ci, comme des mensurations, des symptômes de maladie, etc.

Manifestement, celles qui voient leur corps comme un « objet », et non comme un organisme vivant qui nécessite non seulement des retouches cosmétiques, mais aussi des soins de santé physique et mentale, ont plus de chances de développer des problèmes comme l’anorexie et d’autres désordres.

Celles en phase avec leur corps (et leur cœur) seraient donc plus à même de bien s’occuper d’elles-mêmes, et par conséquent d’afficher une meilleure santé mentale.

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.

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Les 18-34 ans sont les plus stressés

On apprend via The National Library of Medicine que les jeunes adultes forment la génération la plus stressée en ce moment.

En effet, selon le site de l’association, les 18-34 ans seraient plus stressés que la moyenne générale de la population. C’est un rapport de l’American Psychological Associationqui prétend ce fait, un rapport qui tente aussi d’en expliquer les raisons.

D’abord, il semble que la course capitaliste incessante soit la toute première raison de ces pointes de stress, puisque l’argent et l’emploi semblent être au cœur des priorités de cette génération.

« Manifestement, il y a un nombre de facteurs de pression auxquels les jeunes font face et qui explique ces pointes de stress. Ces individus grandissent dans une ère économique sans précédent. Cela coïncide avec la fin de leurs études, alors qu’ils essaient de s’établir dans la société. Trouver un emploi, fonder une famille et rembourser les dettes étudiantes contractées sont des éléments stressants. Ils ont aussi du mal à se trouver des emplois, avec des taux de chômage sans précédent », résume avec brio Norman Anderson, chef de la direction de l’American Psychological Association.