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Moi non plus!: Deux nouveaux personnages s’ajoutent à la série

La deuxième saison de Moi non plus! est présentement en tournage. La série qui met en vedette Catherine-Anne Toupin et Vincent Leclerc accueillera deux nouveaux personnages, joués par Vincent Graton et Chantal Baril.

Moi non plus! sera diffusée sur Noovo dès l’automne prochain.

Vincent Graton et Chantal Baril s’ajoutent à la distribution

Souvenons-nous que l’histoire suit Sarah (Toupin), qui se retrouvera au centre d’un scandale qui lui fera tout perdre, notamment son poste de ministre de l’Éducation. Pour redorer son image, elle acceptera un poste de coanimatrice à la radio aux côtés de son éternel détracteur, Christian Lamontagne (Vincent Leclerc), et leur relation souvent conflictuelle se transformera en grande complicité.

Les autres comédiens et comédiennes qui se joignent à Catherine-Anne Toupin et à Vincent Leclerc sont Pierre CurziChristiane PasquierFrédéric PierreAlice PascualShelby Jean-BaptisteSarah-Maxine Racicot ainsi que Dylan Walsh.

Voici la description de ces nouveaux personnages :

Le Dr Valcoeur (Graton) est un thérapeute qui viendra en aide à Sarah, qui tentera de se remettre de son choc post-traumatique. Le docteur possède une habileté à lire ses interlocuteurs de façon très exacte.

Josée (Baril) est l’assistante du Dr. Valcoeur depuis une dizaine d’années. La jeune sexagénaire, toujours de bonne humeur, fait la connaissance de Léopold, lors d’une visite de Sarah à la clinique. Une grande complicité se développe entre eux, rapidement.

Rappelons qu’en juillet dernier, Catherine-Anne Toupin a divulgue comment ce projet télé dans lequel elle tient le rôle principal est né. En entrevue avec le magazine 7 Jours, elle a abordé sa nouvelle comédie dramatique.

« Je vous explique la genèse du projet : j’ai eu envie d’écrire sur la polarisation, un enjeu de société majeur. Et comme c’est un sujet incisif, pourquoi ne pas en parler sous le couvert de l’humour? », indiquait-elle.

« Sarah décide d’aller affronter son intimidateur médiatique. Ils ont une conversation musclée, dont la directrice de la station de radio, qui est aussi la mère de Christian Lamontagne, est témoin. Elle décide que la politicienne déchue ferait une superbe coanimatrice pour l’émission de radio de son fils », a résumé la comédienne.

Puis, de son côté, Vincent Leclerc a mentionné, en mars dernier, avoir pris du repos pendant l’hiver : « J’ai pris plusieurs mois de congé cet hiver. J’étais vraiment claqué! À mon horaire, il y avait eu les tournages des Pays d’en haut, puis de Sortez-moi de moi, où l’on traitait de santé mentale. J’ai enchaîné avec un rôle où il y avait de la violence conjugale dans Plan B et j’ai finalement tourné ma première grosse comédie, Moi non plus!, avec Catherine-Anne Toupin. Sans oublier des tournages américains l’automne dernier », a-t-il partagé.

C’est lorsque le comédien a remarqué des changements dans son humeur qu’il a ressenti le signal d’alerte : « Ça commençait à paraître dans mon attitude, et je ne voulais pas que ça affecte mon travail. J’avais le grand luxe de pouvoir prendre plusieurs mois de congé durant la saison hivernale, ce que j’ai fait. Je me sens maintenant bien ».

« Je viens d’avoir des nouvelles concernant deux beaux petits rôles dans des projets anglophones. C’est un bon retour pour moi. Le moral est bon, la santé aussi », a mentionné Vincent Leclerc, en faisant référence aux tournages de Moi non plus! qui recommencent bientôt.

« Ce n’est pas que je me lasse de mes collègues, mais j’aime rencontrer des gens avec lesquels je n’ai jamais travaillé. Ça cause parfois de la nervosité comme lors des premiers jours d’école. C’est le fun de continuer à se challenger un peu, de ne pas rester dans ses pantoufles », a-t-il ajouté.

On compte les dodos jusqu’à la diffusion de la deuxième saison de Moi non plus! Et vous?

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Moi non plus de retour pour une deuxième saison

Bonne nouvelle pour les admirateurs et admiratrices de la série Moi non plus, celle-ci est renouvelée pour une deuxième saison! La saison 2 sera diffusée sur Noovo dès l’automne prochain.

En mai dernier, Noovo annonçait la production de sa toute nouvelle comédie dramatique intitulée ... Moi non plus. Et c’est Catherine-Anne Toupin qui y tiendra la vedette, en plus de la coécrire avec Karina Goma.

Avez-vous hâte de retrouver Sarah?

L’histoire suit Sarah (Toupin), qui se retrouvera au centre d’un scandale qui lui fera tout perdre, notamment son poste de ministre de l’Éducation. Pour redorer son image, elle acceptera un poste de coanimatrice à la radio aux côtés de son éternel détracteur, Christian Lamontagne (Vincent Leclerc), et leur relation souvent conflictuelle se transformera en grande complicité.

Les autres comédiens et comédiennes qui se joignent à Catherine-Anne Toupin et à Vincent Leclerc sont Pierre CurziChristiane PasquierFrédéric PierreAlice PascualShelby Jean-BaptisteSarah-Maxine Racicot ainsi que Dylan Walsh.

Rappelons qu’en juillet dernier, Catherine-Anne Toupin a divulgue comment ce projet télé dans lequel elle tient le rôle principal est né. En entrevue avec le magazine 7 Jours, elle a abordé sa nouvelle comédie dramatique.

« Je vous explique la genèse du projet : j’ai eu envie d’écrire sur la polarisation, un enjeu de société majeur. Et comme c’est un sujet incisif, pourquoi ne pas en parler sous le couvert de l’humour? », indiquait-elle.

« Sarah décide d’aller affronter son intimidateur médiatique. Ils ont une conversation musclée, dont la directrice de la station de radio, qui est aussi la mère de Christian Lamontagne, est témoin. Elle décide que la politicienne déchue ferait une superbe coanimatrice pour l’émission de radio de son fils », a résumé la comédienne.

Rappelons qu’en septembre 2020, Catherine-Anne Toupin a recu pour la deuxième une belle distinction venant du public, soit le prix Artis. C’est Patrice Bélanger qui lui a remis, lors de son talk-show estival Sucré Salé.

Loin de s’y attendre, la comédienne, qui a remporté le prix du meilleur rôle féminin dans une comédie grâce à la série Boomerang, était complètement sous le choc. C’est que l’émission dans laquelle elle donnait la réplique à son amoureux Antoine Bertrand a pris fin en décembre dernier au terme de cinq belles saisons.

Heureusement pour elle, ce dernier avait été mis au courant de la surprise et avait pu préparer des remerciements d’avance. C’est donc avec le public et Patrice Bélanger que Catherine-Anne Toupin a découvert ce que lui avait écrit Antoine Bertrand, et comme vous vous en doutez sûrement, c’était hilarant! C’est une chance, car cela a permis à sa douce de sécher ses larmes par le rire.

« Premièrement, bravo aux animateurs du gala de ce soir qui font un travail formidable […]! Et que dire du tapis rouge? Un mot pour le décrire : inexistant! », a d’abord lu en rigolant Catherine-Anne Toupin, avant de devoir se féliciter pour ses qualités et avertir Patrice Bélanger qu’il devait essayer de contenir son attirance pour son sex appeal ». 

Et vous, avez-vous hâte de retrouver Sarah, le personnage de Catherine-Anne Toupin?

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Pleins Écrans: Alexa-Jeanne Dubé s’ouvre sur son plus récent court métrage, Joutel

La comédienne et réalisatrice Alexa-Jeanne Dubé a frappé fort avec son court métrage Joutel, mettant en vedette Pierre Curzi, sa conjointe Marie Tifo ainsi que Peter James. D’ailleurs, le film que la comédienne a également scénarisé a été sélectionné pour lancer le festival Pleins Écran, qui a lieu du 12 au 23 janvier 2022 sur Instagram, et ce, totalement gratuitement!

Joutel est un hommage à la mort qui présente comment elle est perçue par des gens qui entreprennent le chemin de la fin de vie. Même si le sujet et les images sont plutôt sombres, la morale du film est enrichissante et met en lumière la vulnérabilité réelle et abstraite qu’est la mort. Le tout est excessivement bien ficelé et vaut assurément le détour!

Le synopsis de Joutel, que l’on peut retrouver sur le site web officiel de H264, va comme suit : « Alors que Gérard trouve un raton laveur mort sur le terrain de sa maison, le vieil homme se retrouve étrangement bouleversé et confronté à sa propre disparition. Obsédé par la carcasse, Jocelyne sent le désespoir de son homme grandir, un sentiment qui résonne curieusement chez elle. Après une nuit de réflexion, ils décident d’aller enterrer le raton laveur sur le terrain de leur ancienne demeure à Joutel, une ville minière fantôme fermée depuis 1998. Une fois sur les lieux, ressemblant davantage à des ruines aux allures de forêt boréale, Jocelyne plonge dans une nostalgie profonde. C’est là, lors d’un pique-nique morbide pour enterrer la bête, qu’ils feront la rencontre d’un être mystique qui les mènera à faire la paix avec leurs démons intérieurs ».

Crédit:Via H264distribution

Nous avons eu la chance de nous entretenir avec la comédienne et réalisatrice Alexa-Jeanne Dubé et ce fut un réel plaisir.

Quelle a été votre inspiration principale pour ce film

Mes grands-parents. Non pas, parce qu’ils ont un rapport avec une ville fantôme. Simplement, je les vois vieillir et [… ] évidemment, rendu à un certain âge, on peut avoir des questionnements face à la mort, au sens de la vie, à ce qu’on lègue, finalement. C’est vraiment parti d’eux; de les voir un peu plus mélangés, se poser des questions et de ne pas nécessairement être 100% serins avec leur vieillissement. […] Aussi, je suis allé interviewer plein de personnes âgées entre 75 et 100 ans, afin de discuter avec elles, leur rapport avec la mort. Ç’a été super enrichissant. […] C’est un sujet qui m’intéressait, mais la manière dont je l’ai campé, je suis vraiment partie de mon imagination. J’ai pris connaissance de Joutel. Je trouvais le parallèle entre la mort et une ville fantôme intéressant. […] Une ville fantôme était le lieu parfait pour incarner ce sentiment fantomatique.

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Quelles ont été les réactions de Pierre Curzi et de Marie Tifo lors de leur première lecture de ton scénario?

Vraiment positives. Au fond, je les avais approchés, une fois que le scénario était écrit. Je voulais qu’ils jouent les personnages et ils ont beaucoup aimé. Eux-mêmes se sont reconnu à travers ces questionnements dignes de l’ordre de la crise existentielle.  […] Pour moi, il y a réellement un parallèle à faire entre l’adolescence et la fin de vie. C’est-à-dire qu’en début de vie, beaucoup de gens vivent une crise existentielle […] Dans la vie adulte, comme il y a le travail et les projets, on est un peu plus loin de cette espèce de vertige là … qui finalement, revient, en fin de parcours, quand tout est terminé et où l’on se retrouve avec ce même vide. Ces thèmes venaient vraiment leur parler. On a eu plein de discussions sur ça. C’est pour ça qu’ils ont accepté.

Quel est le plus grand challenge que vous avez rencontré lors des tournages?

D’aller tourner à Joutel, c’était quand même ambitieux : évidemment, comme c’est une ville fantôme, il fallait arriver avec une génératrice, amener un buffet pour l’équipe, installer des toilettes. […] Comme les rues sont encore là, on pouvait circuler, mais il n’y avait rien d’autre. Il n’y avait aucune ville à moins d’une heure de route. Mais nous étions tout de même vraiment bien préparés.

Est-ce que vous avez l’intention de poursuivre dans le cinéma de genre?

Le côté un peu fantastique est pour moi un genre d’extension poétique. C’est quelque chose qui m’intéresse. Je suis en train de développer un autre court métrage qui a un peu ce genre-là sans que ce soit un film de genre […], mais il y a un monstre dans le film, alors j’aime beaucoup faire côtoyer ce genre d’univers. Je n’irai jamais à 100% dans du fantastique, mais j’aime bien en insérer un peu.

Quel film a fait en sorte que vous êtes réalisatrice aujourd’hui?

Je l’ai un peu découvert à travers ma carrière d’actrice. À force de tourner dans des courts métrages, de rencontrer de jeunes cinéastes, c’est comme ça que j’ai eu envie de créer. J’avais souvent beaucoup d’opinions sur les scénarios. J’ai réalisé que j’étais vraiment impliqué dans l’oeuvre et pas seulement dans la performance. […] C’est vraiment plus parti de mon parcours que d’une oeuvre extérieure.

Par rapport à votre âge, que représente la mort pour vous?

La mort m’a toujours troublé. Vers six ans, quand j’ai réalisé que j’allais mourir, ça m’a carrément angoissé, je me souviens très bien de ce moment. J’ai toujours eu un rapport non serein avec la mort. C’est vraiment quelque chose qui me fait peur dans ma vie, de façon périodique. J’ai des périodes où on dirait que j’y pense beaucoup. Je pense au fait que le temps passe tellement vite, que l’on va mourir bientôt. À l’absurdité du fait que l’on meurt. Au côté spirituel. C’est vraiment quelque chose qui me travaille. Je pense que ça va me faire peur et m’intriguer toute ma vie.

Quelle scène vous a-t-elle le plus marqué lors des tournages?

Toutes les scènes ont été marquantes à leurs façons… Mais c’est certain que la scène finale à Joutel, avec la lumière qui apparait derrière les acteurs, où l’étranger arrive en fauteuil roulant… C’est une scène que l’on a tournée surtout en plan large, on était donc très reculé et on voyait la scène se défiler littéralement sous nos yeux. On avait vraiment l’impression de vivre ce moment-là, très étrange, sortie de l’ordinaire, dans cette réelle ville fantôme […] C’est la dernière scène du film qu’on a tourné.

Joutel ouvre la 6e édition du festival, qu’est-ce que ça représente pour vous? Est-ce que ça vous met un peu de pression?

J’ai reçu cette nouvelle comme un honneur. C’est certain que des gens auront peut-être une certaine opinion, parce que c’est mon film qui a été choisi. Ils se diront peut-être « pourquoi lui? Pourquoi pas un autre? » Rendu-là, ça ne m’appartient pas et je le vois vraiment comme un honneur. Aussi, je sais que les gens qui l’ont choisi, c’est parce qu’ils l’aiment vraiment. […] Au début, le lancement devait se faire en présentiel, au cinéma Beaubien. […] Mais avec la pandémie, je ne vais même pas tant me rendre compte que les gens le regardent, comme le festival est en ligne, haha!

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La bande-annonce du nouveau film mettant en vedette Patrice Robitaille est arrivée

Le film Une révision, réalisé par Catherine Therrien, produit par Denise Robert et écrit par Louis Godbout et Normand Corbeil, débarquera en salle partout au Québec dès le 4 novembre prochain et la bande-annonce a été révélée.

Le drame mettant en vedette Patrice RobitailleNour BelkhiriaRose-Marie PerreaultAnne-Élisabeth Bossé, Rabah Aït OuyahiaÉdith CochranePierre CurziGabriel SabourinMichel Laperrière et plusieurs autres, raconte l’histoire d’un professeur de philosophie (Robitaille) aimé de tous, qui, suite à un désaccord avec une étudiante (Belkhiria), mènera toute une bataille quant à l’éthique de son cours, mais aussi de ses valeurs.

Catherine Therrien avait expliqué à La Presse l’année dernière: « Le récit aborde la question identitaire et remet aussi en question un système d’éducation clientéliste où l’on garantit la réussite. Ça donne une discussion qui suscite la réflexion ».

Le film prendra l’affiche dès le 4 novembre prochain.

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Gala Québec Cinéma: une liste de vedettes bien garnie pour remettre les prix Iris

On apprenait en avril dernier, que Geneviève Schmidt allait être à la barre de la 22e édition du Gala Québec Cinéma. La prestigieuse soirée aura lieu le dimanche 6 juin prochain à 20h et sera diffusée à l’antenne de Radio-Canada. En plus de la belle Geneviève, plusieurs autres vedettes montreront sur la scène afin de remettre les trophées Iris convoités aux gagnants et aux gagnantes.

Ceux et celles que nous pourrons apercevoir lors de cette remise de prix sont Joséphine Bacon, Micheline Bernard, Émilie Bibeau, Pascale Bussières, France Castel, Pierre Curzi, Mélissa Désormeaux-Poulin, Colm Feore, Sharon Fontaine-Ishpatao, Rémy Girard, Patrick Hivon, Fayolle Jean et Fayolle Jean Jr, Louise Latraverse, Didier Lucien, Louis Morissette, Caroline Néron, Sébastien Ricard, Nahéma Ricci, Joakim Robillard, Katerine Savard, Mani Soleymanlou, Marie Tifo, Ricardo Trogi ainsi que Catherine Trudeau.

Les cinq finalistes du prix Iris du public sont Le Club Vinland de Benoît Pilon, La déesse des mouches à feu d’Anaïs Barbeau-LavaletteJe m’appelle Humain de Kim O’Bomsawin, l’excellent film de Patrice Laliberté (que l’on peut retrouver sur Netflix), Jusqu’au Déclin ainsi que Les Rose de Philippe Rose. Dès maintenant, le public peut voter en ligne pour déterminer le grand gagnant ou la grande gagnante, et ce, jusqu’au dimanche 6 juin prochain à midi.

Rappelons que le film La déesse des mouches à feu, domine la soirée avec 15 nominations dont celle du Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario, Révélation de l’année pour la comédienne Kelly Depeault, Meilleure direction de la photographie et Meilleur montage.

Le Gala Québec Cinéma sera certainement une soirée haute en couleur qui sera très agréable à regarder et surtout, bien différente de sa 21e édition.

De toute façon, avec notre préférée Geneviève Schmidt, que demander de mieux?

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Pierre Curzi est en deuil

L’admirable comédien, scénariste et ancien politicien Pierre Curzi, que l’on a pu voir sur le tapis rouge de la première du film Les vieux chums la semaine dernière, est malheureusement en deuil de son frère Paul. Ce dernier était l’aîné de la famille et était jeune de 83 belles années.

C’est le 14 avril dernier que le frère de Pierre Curzi a soufflé son dernier souffle, a-t-il rapporté à Échos Vedettes lors de la première en question, où il était accompagné de sa conjointe, Marie Tifo. « C’est triste. C’était mon frère le plus vieux. Je suis le plus jeune de la famille, mais on est tous en train de vieillir. Mon frère Paul, c’était le sportif de la famille. Mon amour du sport me vient de lui. Il m’a initié au tennis, au football, au canot. Je garde de beaux souvenirs de ces moments-là », a-t-il confié au magazine.

Nous tenons à souhaiter nos plus sincères condoléances à Pierre Curzi ainsi qu’à tous ceux et celles qui ont connu le défunt.

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Sorties en salles : L’âge des ténèbres de Denys Arcand

Le réalisateur chouchou des Québécois présente L’âge des ténèbres, où Marc Labrèche tient la vedette aux côtés d’une imposante distribution qui comprend Sylvie Léonard, Macha Grenon, Diane Kruger, Christian Bégin, Benoît Brière et Caroline Néron.

Dans ce long métrage où le cynisme côtoie le drame et la comédie, Marc Labrèche campe le personnage de Jean-Marc Leblanc, un fonctionnaire blasé et impuissant devant la bureaucratie. Mari frustré, père ignoré, il choisit de s’évader dans un monde onirique où tous ses rêves non concrétisés peuvent enfin s’éclater.

D’autres films envahissent les salles dès aujourd’hui.

Atonement (v.f. Expiation)
Drame sentimental réalisé par Joe Wright, avec Keira Knightley, James McAvoy, Vanessa Redgrave, Romola Garai et Saiorse Ronan.

Breakfast with Scot (v.o.a.)
Comédie dramatique réalisée par Laurie Lynd, avec Cameron Ansell, Benz Antoine, Noah Bernett, Robin Brûlé et Thomas Cavanagh.

Margot at the Wedding (v.o.a.)
Drame familial réalisé par Noah Baumbach, avec Nicole Kidman, Jack Black, John Turturro et Jennifer Jason Leigh.

The Golden Compass  (v.f. À la croisée des mondes – La boussole d’or)
Conte réalisé par Chris Weitz, avec Dakota Blue Richards, Nicole Kidman, Daniel Craig, Eva Green et Kathy Bates.