Les Jets de Winnipeg étaient à Vegas mardi pour y disputer le premier match de leur série en première ronde face aux Golden Knights.
Les deux équipes ont d’ailleurs déjà débuté en force la guerre psychologique alors que les Golden Knights ont saboté la salle d’exercice des Jets.
Dans la victoire de 5 à 1 des Jets, l’attaquant Pierre-Luc Dubois a disputé un match dominant, lui qui a terminé la rencontre avec une fiche de 1 but et 1 passe en plus de maintenir une fiche de +3.
Mais aussi dominant a-t-il pu être sur la feuille de pointage, il l’a été beaucoup moins au chapitre de la guerre mentale.
Comme le rapporte le journaliste et insiderElliotte Friedman lors de son plus récent podcast 32 Thoughts sur les ondes de Sportsnet, Dubois a passé tout le match à insulter et déranger en français le gardien adverse Laurent Brossoit pour tenter de lui jouer dans la tête.
Seul problème? Malgré la sonorité de son nom, il ne parle pas un mot français!
« Pierre-Luc Dubois a tenté de jouer dans la tête de Laurent Brossoit en français toute la rencontre… Jusqu’à ce que qu’un coéquipier vienne lui dire que Brossoit était né en Alberta et ne parlait pas un mot français! »
– Elliotte Friedman
Il faut admettre que celle-là est hilarante! Pendant que Dubois s’efforçait à rentrer dans la tête du gardien adverse, lui ne comprenait pas un traître mot de ce qu’il lui disait!
La saison du Canadien de Montréal est officiellement terminée alors que le club a terminé au 28e rang.
Il est maintenant le temps de regarder vers l’avenir et la loterie approche rapidement.
Le Tricolore est dans le top 5 des organisations qui ont le plus de chance de mettre la main sur le phénomène Connor Bedard.
Kent Hughes est l’un des DG les plus actifs de la LNH depuis qu’il est en poste à Montréal.
Il a avoué qu’il n’est pas fermé à réaliser une transaction qui pourrait lui permettre d’amener un excellent jeune joueur, comme il l’a fait avec Kirby Dach l’an dernier.
Le nom de Pierre-Luc Dubois est lié au Canadien et l’attaquant a déjà admis publiquement qu’il veut venir jouer pour l’organisation montréalaise.
Sur les ondes du 98,5 Sports, Maxim Lapierre a déclaré que s’il y a un échange, le défenseur Jordan Harris pourrait être impliqué.
Mario Langlois mentionne aussi l’ajout d’un choix de 1re ronde, qui pourrait être celui des Panthers de la Floride.
Bien évidemment, il y aurait certainement d’autres éléments d’impliqués dans la transaction.
Seriez-vous prêt à sacrifier Jordan Harris pour obtenir Pierre-Luc Dubois ?
Cliquez sur le lien plus bas pour écouter l’extrait :
Récemment sur les ondes de BPM Sports, Georges Laraque y avait été d’une déclaration controversée alors qu’il disait être prêt à échanger le jeune Lane Hutson dans une transaction pour Pierre-Luc Dubois.
Connaissant l’intérêt de Dubois de venir jouer à Montréal lorsqu’il sera UFA dans 15 mois, disons qu’il serait assez choquant d’impliquer un joueur du niveau de Hutson pour acquérir Dubois plus rapidement. Disons cet été.
Et bien, du côté de Marc-André Perreault, son opinion est tout à l’opposé.
Ça ne va pas arriver pour plusieurs raisons. Premièrement, il y a une grosse chance que Pierre-Luc Dubois ne coûtera pas un joueur comme Hutson.
N’importe qui ayant vu jouer Lane Hutson au camp des recrues l’été passé et qui l’on suivi dans la NCAA savent à quel point il sera dominant.
– Marc-André Perreault
Tony Marinaro ajoute un point fort intéressant par la suite en mentionnant l’importance des joueurs avec un contrat d’entrée.
Pendant les 3 premières saisons, ces joueurs font moins d’un million. Dans une ligue avec un cap salarial c’est très important.
Ce n’est maintenant plus un secret pour personne, l’attaquant étoile Pierre-Luc Dubois n’a pas l’intention de signer un contrat à long terme à Winnipeg et il deviendra agent libre avec restriction cet été.
Il a également affirmé publiquement qu’il rêvait d’évoluer pour le Canadien de Montréal, l’équipe de son enfance. Le CH est également grandement intéressé par ses services.
Les Jets auront donc de grosses décisions à prendre cet été, eux qui, au mieux, pourraient signer Dubois pour une dernière saison en espérant l’échanger à la date limite des transactions ou plutôt régler le dossier immédiatement et conclure un échange avec le Canadien.
Par contre, il ne sera pas évident de s’entendre sur le prix à payer puisque le DG Kevin Cheveldayoff n’aura certainement pas l’intention d’échanger Dubois à rabais après avoir sacrifié les attaquants Patrik Laine et Jack Roslovic pour faire son acquisition des Blue Jackets de Columbus il y a trois ans.
Mais, tel que le rapporte le journaliste Marco D’Amico du Montreal Hockey Now, le DG du CH, Kent Hughes, a présentement un as dans sa manche qu’il pourrait potentiellement utiliser pour menotter les Jets.
En soumettant cet été une offre hostile d’un an à un salaire de 6.3 millions de dollars cet été à Dubois, Hughes forcerait non seulement les Jets à trancher officiellement mais il s’agirait plutôt d’un piège.
Comme l’explique le journaliste, en offrant un salaire de 6.3 millions à Dubois, soit 300 000$ de plus que son salaire actuel, le Canadien n’aurait qu’à donner un choix de 1ere et de 3e ronde en 2024 aux Jets pour ses services, advenant qu’ils n’égalisent pas l’offre. Évidemment qu’à un tel salaire, les Jets seraient tentés d’égaler l’offre sur le champ. Cependant, selon la convention collective de la LNH, ils n’auraient ensuite pas le droit d’échanger Dubois pendant un an, les condamnant à devoir le laisser partir sans rien obtenir en retour de ses services dans un an.
L’idée d’une offre hostile ferait donc en sorte de forcer les Jets à laisser aller Dubois à Montréal en retour de deux choix au repêchage que le CH peut se permettre de sacrifier tout en ayant ses droits à un bas salaire pendant un an avant de s’entendre avec lui sur un contrat à long terme par la suite.
Bien que la voie de l’offre hostile ne soit pas couramment utilisée par les DG’s de la LNH, le simple fait de rappeler à Cheveldayoff qu’une épée lui pend au-dessus de la tête s’il se montre trop gourmand dans les négos pourrait être suffisante pour Kent Hughes d’avoir le gros bout du bâton dans les négos et s’en tirer sans payer trop cher au final.
Quoiqu’il en soit, les recours du DG des Jets sont limités dans ce dossier et il sera inévitablement forcé à mettre de l’eau dans son vin et réduire ses demandes, profitant au CH.
Âgé de 24 ans, Pierre-Luc Dubois fait 6’2″/205lbs et compile une fiche de 25 buts et 33 passes pour un total de 58 points en 67 matchs jusqu’à présent cette saison. Il deviendra agent libre avec restriction cet été alors que son contrat lui rapportant 6 millions de dollars par année prendra fin.
On dit souvent que la plupart des joueurs vedettes ne veulent pas venir jouer à Montréal pour toutes sortes de raisons mais cette fois-ci c’est l’inverse alors qu’un des meilleurs joueurs Québecois de la ligue rêve d’endosser le chandail du Canadien. Il serait donc fou de ne pas sauter sur cette occasion en or.
Depuis déjà plusieurs mois, les rumeurs liant Pierre-Luc Dubois au Canadien de Montréal refusent de mourir.
Il faut dire qu’il y a de solides raisons derrière ces rumeurs puisque le principal intéressé a déjà annoncé à la direction des Jets de Winnipeg qu’il n’avait pas l’intention de signer un contrat à long terme avec eux en plus d’affirmer publiquement qu’il rêvait de jouer avec le Canadien.
Ajoutons à cela que Dubois serait passé à deux doigts d’être échangé à Montréal lors du repêchage annuel en juin dernier, lui qui s’était même déplacé sur place pour aller y assister.
Plus tôt cette semaine, le journaliste et insiderElliotte Friedman de Sportsnet a fait exploser la machine à rumeur lorsqu’il a mentionné dans son populaire podcast 32 Thoughts qu’il y avait selon lui 95% de chances que Dubois se retrouve avec le Canadien d’une manière ou d’une autre et que les deux formations ont déjà discuté cette saison d’une possible transaction pour accélérer son arrivée.
L’autre option serait de prendre le risque et d’attendre une autre année alors que Dubois sera libre comme l’air, à l’été 2024.
Mais si transaction il y a au cours des prochaines semaines, qu’est-ce que le Canadien pourrait réalistement offrir aux Jets pour faire l’acquisition du gros joueur de centre Québecois?
Le journaliste Mathias Brunet de La Presse s’est penché sur la question et a tenté d’y répondre dans sa plus récente chronique.
D’abord, il note que Kent Hughes a le gros bout du bâton dans ce dossier alors que Kevin Cheveldayoff sait très bien qu’il sera éventuellement forcé de se départir de son joueur étoile sans quoi il le perdra pour rien. Il devra donc réviser ses demandes à la baisse s’il se montre trop gourmand.
Selon Brunet, oubliez l’idée de voir les deux choix de première ronde au prochain repêchage ou quelconque espoir A du CH impliqués dans cette transaction. Il voit plutôt le DG du Canadien offrir aux Jets une liste d’espoirs B que l’équipe est prête à laisser aller et les laisser choisir dans le lot.
Il avance d’ailleurs quelques noms en exemple, mentionnant les attaquants Filip Mesar, Emil Heineman, Riley Kidney et Joshua Roy ainsi que les défenseurs Jayden Struble et William Trudeau.
« Les Jets pourront sans doute obtenir un choix de fin de premier tour et un espoir à la date limite des transactions l’an prochain à titre de joueur de location s’il conserve les services de Dubois pour encore 11 mois. Mais Cheveldayoff sera placé dans une situation fort inconfortable auprès des fans des Jets s’il se résout à l’échanger en pleine course pour une place en séries.
S’il tient à Dubois rapidement, le DG du Canadien regorge d’espoirs à plusieurs positions. Et il n’y aura pas de place pour tous ces joueurs. Il y a moyen de créer une liste restreinte « d’intouchables » et laisser les Jets piger parmi les Mesar, Heineman, Kidney, Roy, Struble, Trudeau et compagnie. Hughes, en homme intelligent, saura profiter de son rapport de force favorable si les Jets insistent pour lui échanger Dubois. »
– Mathias Brunet
Vrai que le Canadien n’aura pas de place dans la LNH pour tous ses espoirs et pourra se permettre d’en échanger quelques uns dans le but d’acquérir un joueur de centre de premier plan, Québecois de surcroît.
Le journaliste croit également que si Kent Hughes fait l’acquisition de Dubois il voit mal comment il pourrait justifier de créer un déséquilibre sur sa masse salariale en lui offrant un contrat à long terme de 9 millions par année. Il s’attend plutôt à quelque chose dans les eaux de Nick Suzuki et ce que touchera Cole Caufield, soit aux alentours de 8 millions par année.
Âgé de 24 ans, Pierre-Luc Dubois fait 6’2″/205lbs et compile une fiche de 25 buts et 33 passes pour un total de 58 points en 67 matchs jusqu’à présent cette saison. Il deviendra agent libre avec restriction cet été alors que son contrat lui rapportant 6 millions de dollars par année prendra fin.
La suite des choses sera extrêmement intéressante dans ce dossier.
Depuis déjà plusieurs mois, les rumeurs liant Pierre-Luc Dubois au Canadien de Montréal refusent de mourir.
Il faut dire qu’il y a de solides raisons derrière ces rumeurs puisque le principal intéressé a déjà annoncé à la direction des Jets de Winnipeg qu’il n’avait pas l’intention de signer un contrat à long terme avec eux en plus d’affirmer publiquement qu’il rêvait de jouer avec le Canadien.
Ajoutons à cela que Dubois serait passé à deux doigts d’être échangé à Montréal lors du repêchage annuel en juin dernier, lui qui s’était même déplacé sur place pour aller y assister.
Plus tôt cette semaine, le journaliste et insiderElliotte Friedman de Sportsnet a fait exploser la machine à rumeur lorsqu’il a mentionné dans son populaire podcast 32 Thoughts qu’il y avait selon lui 95% de chances que Dubois se retrouve avec le Canadien d’une manière ou d’une autre et que les deux formations ont déjà discuté cette saison d’une possible transaction pour accélérer son arrivée.
L’autre option serait de prendre le risque et d’attendre une autre année alors que Dubois sera libre comme l’air, à l’été 2024.
Mais si transaction il y a au cours des prochaines semaines, qu’est-ce que le Canadien pourrait réalistement offrir aux Jets pour faire l’acquisition du gros joueur de centre Québecois?
Le journaliste Mathias Brunet de La Presse s’est penché sur la question et a tenté d’y répondre dans sa plus récente chronique.
D’abord, il note que Kent Hughes a le gros bout du bâton dans ce dossier alors que Kevin Cheveldayoff sait très bien qu’il sera éventuellement forcé de se départir de son joueur étoile sans quoi il le perdra pour rien. Il devra donc réviser ses demandes à la baisse s’il se montre trop gourmand.
Selon Brunet, oubliez l’idée de voir les deux choix de première ronde au prochain repêchage ou quelconque espoir A du CH impliqués dans cette transaction. Il voit plutôt le DG du Canadien offrir aux Jets une liste d’espoirs B que l’équipe est prête à laisser aller et les laisser choisir dans le lot.
Il avance d’ailleurs quelques noms en exemple, mentionnant les attaquants Filip Mesar, Emil Heineman, Riley Kidney et Joshua Roy ainsi que les défenseurs Jayden Struble et William Trudeau.
« Les Jets pourront sans doute obtenir un choix de fin de premier tour et un espoir à la date limite des transactions l’an prochain à titre de joueur de location s’il conserve les services de Dubois pour encore 11 mois. Mais Cheveldayoff sera placé dans une situation fort inconfortable auprès des fans des Jets s’il se résout à l’échanger en pleine course pour une place en séries.
S’il tient à Dubois rapidement, le DG du Canadien regorge d’espoirs à plusieurs positions. Et il n’y aura pas de place pour tous ces joueurs. Il y a moyen de créer une liste restreinte « d’intouchables » et laisser les Jets piger parmi les Mesar, Heineman, Kidney, Roy, Struble, Trudeau et compagnie. Hughes, en homme intelligent, saura profiter de son rapport de force favorable si les Jets insistent pour lui échanger Dubois. »
– Mathias Brunet
Vrai que le Canadien n’aura pas de place dans la LNH pour tous ses espoirs et pourra se permettre d’en échanger quelques uns dans le but d’acquérir un joueur de centre de premier plan, Québecois de surcroît.
Le journaliste croit également que si Kent Hughes fait l’acquisition de Dubois il voit mal comment il pourrait justifier de créer un déséquilibre sur sa masse salariale en lui offrant un contrat à long terme de 9 millions par année. Il s’attend plutôt à quelque chose dans les eaux de Nick Suzuki et ce que touchera Cole Caufield, soit aux alentours de 8 millions par année.
Âgé de 24 ans, Pierre-Luc Dubois fait 6’2″/205lbs et compile une fiche de 25 buts et 33 passes pour un total de 58 points en 67 matchs jusqu’à présent cette saison. Il deviendra agent libre avec restriction cet été alors que son contrat lui rapportant 6 millions de dollars par année prendra fin.
La suite des choses sera extrêmement intéressante dans ce dossier.
La folie Pierre-Luc Dubois s’est emparée de Montréal dans les dernières semaine. Une panoplie de gens s’attendait à voir le Québécois être échangé à Montréal. Malheureusement pour les partisans de Dubois, il a signé un contrat d’un an avec les Jets de Winnipeg.
Quelques jours après la signature de son contrat, l’attaquant de 6 pieds 2 pouces a discuté avec Katherine Harvey-Pinard de La Presse, samedi, lors de la Classique Kevin Raphaël, de toute l’action autour de son nom dans les dernières semaines et de son but dans la vie.
Mais pourquoi un contrat d’un an plutôt que de s’assurer d’un bon contrat à long terme? Parce que Dubois possède sa propre philosophie qui diffère de certains autres joueurs.
«Je sais que la première chose que veulent beaucoup de joueurs, c’est un contrat à long terme. Moi, c’est vraiment me sentir à la bonne place au bon moment.» – Pierre-Luc Dubois via Katherine Harvey-Pinard de La Presse
Quand on y pense, les joueurs veulent des contrats à long terme parce qu’ils sont assurés d’être payés pour longtemps et de pouvoir jouer dans la LNH pendant plusieurs autres saisons. Par contre, le natif de Sainte-Agathe-des-Monts préfère être au bon endroit au bon moment, être à un endroit où il peut gagner.
«L’argent, c’est le fun, mais ce n’est pas le plus important dans la vie. Moi, mon rêve, c’est de gagner une Coupe Stanley.» – Pierre-Luc Dubois via Katherine Harvey-Pinard de La Presse
Pour l’instant, s’il vise une Coupe Stanley, il est clair qu’il a bien fait de rester avec les Jets de Winnipeg plutôt que de venir avec les Canadiens. Par contre, son contrat d’un an fait en sorte qu’il pourra repenser à son avenir l’an prochain. Il aura la chance de renégocier un dernier contrat, qui sera probablement encore à court terme pour qu’il puisse quitter comme agent libre sans compensation. Encore là, ce ne sont que spéculations.
Même s’il a parlé de ce sujet plus sérieux à la Classique Kevin Raphaël, l’ancien de l’Armada ne s’est pas empêché d’avoir du plaisir avec les autres joueurs et artistes.
Si les Canadiens continuent de s’améliorer à chaque année avec la banque d’espoir bien remplie, peut-être que Pierre-Luc Dubois voudra les rejoindre pour gagner une Coupe Stanley. Pour l’instant, Dubois reste quand même un membre des Jets et il préfère vivre au jour le jour.
En rafale
– Parlant de Dubois à la Classique Kevin Raphaël. Il a fait la journée d’un partisan.
Très gros match présentement entre Denis Shapovalov et Alex de Minaur sur le court central du Stade IGA. L’Australien ne commet presque aucune faute jusqu’ici dans le match et il mène 6-5 à la deuxième manche. Description en direct @919sports
Pierre-Luc Dubois connait présentement une bonne saison avec les Jets, mais n’est pas le morceau le plus important de l’équipe. Il devra négocier une nouvelle entente cette été et s’il demande trop cher, les Jets pourraient décider de l’envoyer ailleurs.
Lorsqu’il a été échangé des Blue Jackets aux Jets en 2020-2021, Dubois a connu une bonne saison, mais sans plus. À sa deuxième saison avec Winnipeg, il s’est démarqué comme un joueur capable d’offrir une bonne production offensive. Malgré de bons atouts en attaque, les Jets ne seront pas qualifiés pour les séries cette année.
Marek in CHI for a big minor-hockey tourney (as is Bieksa), so this HNIC episode of 32 Thoughts is only 50 per cent as good — Nurse/Matthews/Lehner/Dubois: https://t.co/TPleEwPxcq
Cela a donc fait réaliser à Elliotte Friedman de SportsNet, que l’attaquant québécois pourrait être une bonne monnaie d’échange. Les lacunes des Jets sont surtout au niveau de la défense et un Pierre-Luc Dubois est un peu en surplus derrière un Mark Scheifele.
Dubois, qui sera agent libre avec restriction cet été, demandera sûrement un plus gros contrat et cette fois-ci, à long terme. Si les Jets ne se sentent pas à l’aise avec les demandes du Québécois, ils n’hésiteront pas à l’offrir à d’autres formations qui ont besoin de support offensif.
En 78 rencontres cette saison, Dubois a amassé 58 points. S’il marque un point à chacun de ses trois derniers matchs, il égalera sa meilleure saison en termes de points. Une telle prestation serait intéressante pour les formations qui débordent de défenseurs de talent, mais qui peinent à trouver le fond du filet.
En rafale
– Qui serait le meilleur choix pour le CH?
Les Canadiens sont maintenant assurés de repêcher dans le top-4 lors du prochain encan de la LNH.
Le capitaine du #CH n’était pas présent dimanche pour l’hommage à Guy Lafleur. Toutefois, il faut mentionner que vendredi matin, il s’est empressé de communiquer avec la famille Lafleur pour offrir ses sympathies. #RDS