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10 rues qui seront piétonnières cet été!

@jo_lusala et @latrompettestudio via IG

La saison estivale va commencer à s’installer lentement mais sûrement dans notre belle ville, et l’été à Montréal est une véritable oasis de bonheur! En plus de tous les festivals et évènements de fous qui s’y déroulent, la métropole s’active dans tous les coins de la ville!

D’ailleurs, une des activités les plus agréables à faire est de simplement déambuler dans les rues montréalaises et une fois de plus cette année, plusieurs artères très achalandées de la ville seront exclusivement réservées aux piéton.ne.s! C’est la mairesse Valérie Plante qui en a fait l’annonce lundi dernier, et elle a d’ailleurs mentionné que ce projet de piétonnisation de certaines rues de la ville s’étalera sur une période de 3 ans.

Parmi les chemins qui deviendront réservés aux piéton.ne.s pendant la belle saison, on peut compter les tronçons Est et Ouest de la rue Sainte-Catherine, la rue Saint-Denis – de la rue Sherbrooke au boulevard Maisonneuve – l’avenue du Mont-Royal entre la rue Fullum et le boulevard Saint-Laurent ainsi que la rue Duluth, du boulevard dernièrement mentionné jusqu’à la rue Saint-Hubert.

Un peu plus haut sur l’île, vous pourrez vous balader tout l’été sur la rue de Castelnau, entre la rue Saint-Denis et l’avenue de Gaspé, l’avenue Bernard – entre les avenues Wiseman et Bloomfield – dans le Mile-End en plus de la Place du Marché-du-Nord – entre les avenues Casgrain et Henri-Julien – près du Marché Jean-Talon.

De plus, les rues Ontario – entre le boulevard Pie-IX et la rue Darling – dans Hochelaga, et Wellington – entre la 6e avenue et la rue Régina – dans Verdun seront uniquement accessibles à pied ou à vélo cet été.

Cette initiative de la ville de Montréal incitera la population à visiter les restaurateurs et magasins de ces avenues commerciales et ainsi, maintenir l’économie de la ville active malgré l’arrivée d’une sixième vague de Covid-19.

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Le pont-passerelle du Mont-Saint-Michel

Cet ouvrage, dont la construction a débuté en 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, gigantesque chantier lancé en 2006.

Long de 760 mètres et large de 11 mètres, ce pont-passerelle décrivant une élégante courbe consacre une promenade en chêne large de 4,50 mètres aux piétons. Les véhicules y circulent aussi depuis octobre dernier.

L’achèvement du pont-passerelle, signé par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, ne signifie pas pour autant la fin des travaux, attendue à l’été 2015.

Selon le Syndicat mixte de la Baie du Mont-Saint-Michel, qui pilote le projet, la large esplanade au pied des remparts, sur laquelle débouche le pont, sera achevée fin septembre, mettant un point final à la construction du nouvel accès. L’automne marquera également le début de la destruction de la digue-route, qui prendra six mois.

Une fois les travaux terminés, la mer devrait entourer le Mont près de la moitié de l’année. Et baigner le pied du rocher une vingtaine de jours par an.

Le Mont-Saint-Michel est inscrit au patrimoine de l’UNESCO depuis 1979. Le Mont est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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Mont-Saint-Michel : le pont-passerelle ouvert aux piétons

Cet ouvrage, dont la construction a débuté en 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, gigantesque chantier lancé en 2006.

Long de 760 mètres et large de 11 mètres, ce pont-passerelle décrivant une élégante courbe consacre une promenade en chêne large de 4,50 mètres aux piétons.

Les véhicules – navettes automobiles et hippomobiles, services de secours et livraison – devront en revanche patienter jusqu’en octobre avant de pouvoir l’emprunter.

L’achèvement du pont-passerelle, signé par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, ne signifie pas pour autant la fin des travaux, attendue à l’été 2015.

Selon le Syndicat mixte de la Baie du Mont-Saint-Michel, qui pilote le projet, la large esplanade au pied des remparts, sur laquelle débouche le pont, sera achevée fin septembre, mettant un point final à la construction du nouvel accès. L’automne marquera également le début de la destruction de la digue-route, qui prendra six mois.

Une fois les travaux terminés, la mer devrait entourer le Mont près de la moitié de l’année. Et baigner le pied du rocher une vingtaine de jours par an.

Les véhicules particuliers n’ont plus accès depuis 2012 au Mont-Saint-Michel, inscrit au patrimoine de l’UNESCO en 1979. Le Mont est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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Mont-Saint-Michel : pont-passerelle quasi achevé, ouvert aux piétons le 22 juillet

Le pont-passerelle destiné à remplacer la digue-route menant au Mont-Saint-Michel est en cours d’achèvement et sera accessible aux piétons à partir du 22 juillet, avant d’ouvrir aux véhicules en septembre, ont annoncé les gestionnaires du projet.

Ce pont-passerelle, dont la construction a été lancée fin 2011, est un élément-clé du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont, un gigantesque chantier débuté en 2006 et qui doit s’achever dans un an.

« Le pont-passerelle doit être livré le 10 juin et sera ouvert aux piétons le 22 juillet, après six semaines consacrées aux essais », a indiqué Laurent Beauvais, président du Syndicat mixte de la baie du Mont-Saint-Michel.

Les véhicules (navettes et services de secours et de livraison) l’utiliseront « au plus tard en septembre » et continueront d’ici là à emprunter la digue-route, a ajouté M. Beauvais, qui est également président (PS) du conseil régional de Basse-Normandie.

Après quoi, « la destruction de la digue-route pourra commencer à partir d’octobre », pour une conclusion du programme de travaux prévue « fin du printemps ou début de l’été 2015 », a-t-il souligné.

L’objectif est que la mer revienne largement entourer le Mont près de la moitié de l’année et baigner le pied du rocher 20 jours en moyenne par an, en fonction des marées. Dessiné par l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger, le pont-passerelle décrit une élégante courbe de 760 mètres jusqu’au Mont.

Cet été, la période de transition permettra de roder à vide le trafic des navettes à moteur et à cheval, qui devra être millimétré alors que la largeur de la chaussée s’établit à seulement 6,50 mètres.

En période d’affluence maximale, une quarantaine de bus réversibles et une demi-douzaine de calèches emprunteront en effet l’ouvrage chaque heure. Les rétroviseurs des navettes automobiles ont dû être disposés « en quinconce » pour ne pas s’accrocher, a reconnu le directeur du Syndicat, Patrick Morel.

Inscrit au patrimoine mondial par l’UNESCO, le Mont-Saint-Michel est un des premiers sites touristiques français, avec 2,3 millions de visiteurs en 2013.

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De plus en plus d’accidents de piétons avec des écouteurs

Aux États-Unis, les accidents impliquant des piétons qui écoutaient de la musique avec leurs écouteurs ont triplé dans les dernières années.
 
Selon la revue Injury Prevention, la majorité des gens impliqués sont des adolescents ou de jeunes adultes.
 
D’après une analyse des données recueillies entre 2004 et 2011, on relate 116 cas de piétons écoutant de la musique qui ont été victimes d’accident. 81 en sont décédés.
 
« Les risques posés par l’usage de ces appareils chez les conducteurs sont bien documentés. Mais on n’en sait peu sur l’association entre le port d’écouteurs et les accidents de piétons », mentionne le Dr Richard Lichenstein.
 
29 % des témoins déclarent que les klaxons ou les sirènes se sont fait entendre avant que le piéton ne soit heurté, mais que ce dernier n’a pas entendu.
 
55 % des accidents sont des victimes frappées par un train.
 
Les chercheurs disent qu’en écoutant de la musique, on devient moins attentif aux stimuli extérieurs.
 
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Rouler dans Copenhague

On lit sur La Presse que les piétons et les cyclistes sont choyés à Copenhague. La capitale du Danemark comprend une piste cyclable protégée ainsi que des feux de signalisation adaptés aux voitures, aux vélos et aux piétons.

La ville est aussi dotée d’un système de partage de bicyclettes semblable à celui de Montréal. Pour quelques couronnes en guise de dépôt, les touristes et les Danois peuvent se balader dans Copenhague sur l’une des 2 500 bicyclettes en circulation durant la haute saison.

Une fois l’hiver venu, les cyclistes ne sont pas en reste. Ils peuvent trouver un vélo dans la plupart des hôtels ainsi que dans des centres de location, et ce, pour un peu plus de 100 couronnes par jour.

Finalement, les promenades à pied y sont facilitées. Au centre-ville, des rues piétonnières s’étendant sur 1,8 kilomètre sont toutes dédiées au magasinage. Mentionnons aussi que les bicyclettes y sont tolérées.