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Les pilules contraceptives pour combattre l’acné

Selon le Journal de l’Académie américaine de dermatologie, après six mois d’utilisation, les antibiotiques contre l’acné réduisent de 53 % les boutons, alors que certaines pilules contraceptives réussissent à diminuer le taux de lésion de 55 %.

Pris sur une période de trois mois, les antibiotiques ont un processus différent et souvent plus féroce que les hormones. Quant aux sortes de pilules contraceptives qui sont vendues en pharmacie et ont une double fonction (protection contre la grossesse et traitement de l’acné), elles sont rares. Plus d’études devraient être effectuées pour voir leur efficacité et en mettre davantage sur le marché. Celles qui le sont déjà ne sont souvent pas couvertes par les régimes d’assurances.

Les femmes qui ont un problème d’acné faible ou modéré, qui ont l’intention de prendre un contraceptif oral et qui ont essayé au préalable d’autres sortes de traitements contre l’acné, en vain, peuvent avoir recours aux pilules contraceptives au pouvoir anti-androgénique.

Sur Top Santé, la Dre Marie Aléos, vice-présidente du Syndicat national des dermatologues vénérologues, donne des détails : « Ces contraceptifs freinent la stimulation des glandes sébacées et réduisent la production de sébum qui bouche les pores de la peau. Cela entraîne une régulation de l’acné à long terme ».

Ce sont 70 % des adolescents et 20 % des adultes qui souffrent de problèmes de la peau, indique Top Santé.

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Encore 10 ans avant la pilule contraceptive pour homme

Ce sont les scientifiques de la Monash University qui viennent de faire part de leur découverte. Ils seraient en mesure de bloquer le mouvement du sperme pendant l’éjaculation.

La recherche a été publiée le 3 décembre dernier dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Science.

L’équipe de chercheurs a découvert, selon spirehealthcare.com, que 2 protéines des cellules musculaires qui déclenchent le transport du sperme pouvaient être inhibées. Le tout sans causer d’effets secondaires indésirables, notamment une perte de libido ou une éventuelle infertilité irréversible.

Les spécialistes ont fait les tests sur des souris. En l’absence des protéines α1A-adrenocepteur et P2X1-purinocepteur, les souris mâles devenaient infertiles, sans que leur comportement sexuel soit altéré.

« Le sperme est encore là, mais le muscle ne reçoit pas le message chimique de déclencher l’expulsion », a déclaré le chercheur principal, Sab Ventura.

Les recherches précédentes ont tenté de trouver un moyen hormonal d’intervenir sur la fertilité de l’homme. Cette fois, les scientifiques croient avoir trouvé la clé pour la pilule contraceptive pour homme. Il faudra cependant patienter d’ici 10 ans pour voir la mise en marché de ce nouveau mode de contraception.

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La pilule contraceptive pour homme serait bientôt une réalité

Une équipe de l’Université Harvard aurait trouvé le moyen de créer une pilule contraceptive pour homme, réversible et qui ne perturberait pas la production d’hormones mâles.

Jusqu’à aujourd’hui, c’est ce qui posait problème, mais selon la revue Cell, cette équipe a trouvé le composé qui permet de freiner la production de spermatozoïdes, sans nuire aux hormones ni à la libido.

« La substance produit une diminution rapide et réversible du nombre et de la motilité des spermatozoïdes, avec des effets déterminants sur la fertilité », mentionne le Dr James Bradner.

Les tests menés sur des souris démontrent qu’après la prise de ce médicament, la fertilité retrouve sa normalité après trois à six mois. De plus, les bébés souris ne démontrent aucune anomalie ensuite.

« Nous pensons que nos découvertes peuvent être complètement transposées à l’homme, offrant une stratégie novatrice et efficace pour la contraception masculine », disent les chercheurs.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La pilule contraceptive augmente les risques cardiaques

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medicine mentionne que la pilule contraceptive augmente les risques d’attaque cardiaque.
 
Alors qu’une étude précédente pointait du doigt les pilules Yaz et Yamsin, dont la drospirénone pouvait accroître les risques de caillots sanguins, voilà que les pilules contraceptives qui contiennent de l’œstrogène sont les fautives dans les incidents cardiaques.
 
Ces pilules augmentent les risques d’infarctus et d’incidents vasculaires cérébraux de 1,3 à 2,3 fois, comparativement à la moyenne.
 
1,6 million de femmes ont participé à cette recherche.
 
Des études plus approfondies seront nécessaires, mais voilà une nouvelle donnée qui incite à revoir la contraception.
 
Dans le cas des contraceptifs Yaz et Yasmin, les experts avaient jugé que les risques de caillots sanguins demeuraient relativement faibles et n’avaient pas choisi de recommander l’arrêt de cette prise de pilule aux femmes qui en faisaient l’usage.
 
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Quand pilule contraceptive rime avec maladie de Crohn

Le Dr Hamed Khalili, chercheur en gastro-entérologie au Massachusetts General Hospital de Boston a affirmé, lors d’une réunion à San Diego sur les maladies digestives, que les femmes qui ont recours à l’hormonothérapie de remplacement après leur ménopause ont 1,7 fois plus de risques de souffrir de colite ulcéreuse.

De plus, « si vous avez pris des contraceptifs oraux pendant plus de cinq ans, vous avez un risque trois fois plus élevé d’être atteint par la maladie de Crohn », déclare le spécialiste, spécifiant toutefois que les femmes qui ont pris la pilule contraceptive n’ont pas plus de risques de souffrir de colite ulcéreuse.

Pour les besoins de l’étude, des données au sujet de 230 000 femmes ayant pris ou non la pilule contraceptive ont été examinées.

Même si les chercheurs ont découvert un lien entre les thérapies à base d’hormones et les problèmes digestifs, il n’y a pas de relation de cause à effet d’établie.

Des études animales ont déjà prouvé que le côlon est plus vulnérable à l’inflammation lorsque l’œstrogène est donné. « Il modifie la perméabilité du côlon », explique l’expert.

Le spécialiste croit que toutes les jeunes femmes, en particulier celles qui ont des antécédents familiaux de maladies inflammatoires, devraient être mises au courant des risques qu’elles courent. D’autres moyens de contraception devraient également leur être offerts.

Ces données doivent être considérées comme provisoires jusqu’à ce qu’elles soient publiées dans une revue médicale.

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La pilule contraceptive pour enrayer les douleurs menstruelles

La revue Human Reproduction présente une nouvelle étude scandinave, s’étant étendue sur 30 ans, qui conclut que les douleurs menstruelles dont souffrent plusieurs femmes peuvent être soulagées par la prise de la pilule contraceptive orale combinée.

Alors que de précédentes études avaient suggéré un lien entre le contraceptif oral et un amoindrissement des douleurs menstruelles, un rapport de 2009 affirmait que ces résultats étaient non concluants ou anecdotiques.

Toutefois, cette nouvelle étude menée par la Dre Ingela Lindh et son équipe de l’Institute of Clinical Sciences de l’Université de Göteborg, en Suède, montre que les femmes qui prennent la pilule contraceptive orale combinée souffrent moins de douleurs menstruelles et d’inconfort que les autres femmes du même âge.

Les chercheurs ont expliqué que les jeunes femmes ont tendance à avoir des douleurs plus grandes que les femmes plus âgées. Ces douleurs diminuent donc souvent avec l’âge. On précise cependant que l’effet de la pilule est indépendant de l’âge, et aussi beaucoup plus efficace que ce dernier.

L’étude a utilisé trois groupes de 400 à 520 femmes qui ont atteint 19 ans en 1981, 1991 et 2001. On a noté le poids, la taille, le cycle menstruel, les douleurs menstruelles et l’historique de reproduction des participantes. Toutes les femmes ont été réévaluées à 24 ans.

Comme chaque sujet était évalué deux fois, les chercheurs ont pu analyser chaque personne dans sa propre évolution, de même que la progression d’ensemble. Ils ont ainsi pu déterminer l’impact de l’âge et de la prise de la pilule contraceptive orale combinée sur les douleurs menstruelles.

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La pilule contraceptive associée au cancer de la prostate

Des équipes de recherche des États-Unis ont uni leurs efforts pour analyser des données mondiales recueillies par l’International Agency for Research on Cancer (IARC) et l’United Nations World Contraceptive Use. Ces recherches essaient de trouver un lien entre le cancer de la prostate et la pilule contraceptive.

Ces données ont été comparées à l’impact d’autres moyens de contraception, tels les condoms, et les risques de développer un cancer de la prostate.

Les résultats démontrent partout dans le monde une association possible entre la prise de contraceptifs oraux chez les femmes et le nombre de morts des suites du cancer de la prostate chez les hommes.

Selon les auteurs de l’étude, l’exposition à l’oestrogène de la femme, contenue dans les pilules contraceptives, augmenterait les risques de cancer de la prostate.

Même si ces résultats ne sont encore que spéculatifs, ils démontrent que les chercheurs devront en tenir compte dans le futur.

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La pilule remise en cause?

On lit sur Elle qu’une récente étude américaine remet en cause l’utilisation de certains moyens de contraception. Il semble que la pilule contraceptive et le timbre hormonal, entre autres, auraient des effets négatifs sur la sexualité de la femme.

Ces contraceptifs hormonaux feraient baisser la libido, selon des chercheurs du Center for Sexual Health Promotion (University of Indiana). Ils en viendraient même à empêcher leurs utilisatrices d’atteindre l’orgasme. Il semble aussi qu’ils seraient responsables d’une sécheresse vaginale.

Un peu plus de 1000 femmes ont participé à cette étude, et une différence quant à la vie sexuelle a été relevée entre celles qui utilisaient ces contraceptifs et les autres, lesquelles portaient un diaphragme, par exemple.

On conseille donc que les femmes soient mieux conseillées sur leur moyen de contraception, car une autre solution pourrait leur être proposée.

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Les pilules contraceptives affectent la mémoire des femmes

Une étude parue dans le journal Neurobiology of Learning and Memory mentionne que les femmes qui prennent la pilule contraceptive voient leur mémoire en être affectée.
 
En fait, le changement hormonal provoqué par la prise de ce médicament influence la façon dont les femmes se rappellent un événement. Ainsi, les femmes qui prennent la pilule se souviennent moins des détails que celles qui ont un cycle menstruel naturel, mais elles se rappellent parfaitement l’impact émotionnel de cet événement.
 
La pilule contraceptive diminue le niveau d’œstrogène et de progestérone pour prévenir la grossesse. Ce sont deux hormones liées à la zone du cerveau où se trouve la mémoire.
 
Un test effectué auprès de volontaires démontre que les femmes prenant la pilule se souvenaient plus du fait qu’un garçon avait été blessé dans un accident, alors que les femmes sans pilule contraceptive pouvaient se remémorer des détails comme la présence d’une bouche d’incendie à côté d’une voiture.
 
Cette découverte pourrait aussi expliquer pourquoi les hommes et les femmes ne se souviennent pas des mêmes choses.
 
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Tabac et pilule, un duo explosif

La pilule contraceptive et le tabac ne vont pas ensemble, lisons-nous sur L’Express. Des spécialistes ont émis un avis clair sur le sujet dans le cadre du Congrès européen de la Société des cardiologues.

La combinaison cigarette-pilule expose une femme à de graves risques d’accident vasculaire. On assiste d’ailleurs à une explosion des cas.

On ajoute que jusqu’à sa ménopause, une femme est protégée des accidents vasculaires, du moins en partie, en raison de l’estrogène. De plus, même après ce stade, elle présente moins de facteurs de risque que l’homme.

Toutefois, on souligne que de nos jours, une femme se retrouve avec autant de risques de souffrir d’un infarctus qu’un homme, et encore plus si elle prend la pilule (et qu’elle est fumeuse), boit de l’alcool et vit du stress.</p