Du piment anti-douleur
Une équipe de scientifiques, associés à l’Université de Buffalo, a réussi à démontrer que la capsaïcine que l’on retrouve dans les poivrons soulage la douleur musculaire et les articulations endolories.
Il semblerait que ce composé chimique facilite l’ouverture des récepteurs dans le cerveau associés à la douleur et à la chaleur.
« Les récepteurs agissent comme une porte avec les neurones. Quand ils sont stimulés, ils ouvrent, ce qui laisse pénétrer le calcium dans les cellules, ce qui modifie la réponse des récepteurs à détecter la douleur », a expliqué l’auteur de cette recherche, le Dr Feng Qin.
Du piment anti-douleur
Une équipe de scientifiques, associés à l’Université de Buffalo, a réussi à démontrer que la capsaïcine que l’on retrouve dans les poivrons soulage la douleur musculaire et les articulations endolories.
Il semblerait que ce composé chimique facilite l’ouverture des récepteurs dans le cerveau associés à la douleur et à la chaleur.
« Les récepteurs agissent comme une porte avec les neurones. Quand ils sont stimulés, ils ouvrent, ce qui laisse pénétrer le calcium dans les cellules, ce qui modifie la réponse des récepteurs à détecter la douleur », a expliqué l’auteur de cette recherche, le Dr Feng Qin.
Le piment Jalapeño pointé du doigt
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé lundi dernier (21 juillet) qu’elle avait trouvé des traces de la bactérie de la salmonelle dans une variété de piments Jalapeño, ce qui pourrait expliquer l’intoxication de 1 200 Américains depuis le début de l’été.
« La FDA a trouvé la bactérie Saintpaul dans des produits distribués par une société de McAllen au Texas, Agricola Zaragosa », a annoncé le Dr David Acheson, qui travaille comme inspecteur pour l’agence fédérale.
Cette découverte a donc été suivie par un avis interdisant à la population américaine de consommer des piments Jalapeño ou Serrano crus.
L’enquête de la FDA se poursuit pour retrouver l’origine exacte de ces piments contaminés afin d’élucider ce cas d’intoxication qui a entraîné 229 hospitalisations et 2 décès.
La salmonelle Saintpaul a contaminé plus d’un millier de personnes aux États-Unis jusqu’ici. Selon ce que rapporte Cyberpresse.ca, cette bactérie peut se propager par les tomates, les piments rouges et la coriandre, des ingrédients qui sont tous utilisés dans la cuisine mexicaine.
Le Centre de contrôle des maladies (CDC) croit donc que la cuisine mexicaine a pu favoriser la propagation de cette épidémie de salmonelle Saintpaul, qui a commencé il y a environ trois mois.
L’administration fédérale américaine pour l’alimentation et la santé (FDA) a publié un communiqué conseillant aux personnes susceptibles de contracter cette bactérie, soit les personnes âgées, les bambins et les personnes qui ont un système immunitaire plus faible, de s’abstenir de consommer les produits le plus à risque, comme le piment Jalapeño ou Serrano, ainsi que certaines sortes de tomates.
Soulignons que depuis le mois d’avril, 1017 personnes ont été contaminées par cette épidémie de salmonelle Saintpaul aux États-Unis.
4 cas de salmonelle au Canada
Alors que les autorités américaines peinent à identifier les sources derrière plus de 900 cas d’intoxication à la bactérie salmonelle, l’Agence de la santé publique du Canada a admis que 4 Canadiens avaient aussi été contaminés.
« Deux personnes de l’Ontario et deux de l’Alberta ont été malades », a confirmé le porte-parole de l’Agence, M. Philippe Brideau, qui a précisé que trois d’entre elles avaient séjourné dernièrement chez nos voisins du Sud.
Après les tomates, qui ont été retirées des menus de plusieurs chaînes de restaurant américaines, voilà maintenant que d’autres aliments sont suspectés de contenir la bactérie salmonelle, soient le piment Jalapeño, la coriandre et le piment Serrano.
Chez nous, l’Agence canadienne d’inspection des aliments veille au grain, mais ne s’inquiète pas autant que les États-Unis, comme le confirme un employé de l’Agence, Marc Richard : « Il n’y a aucun changement dans nos recommandations pour le marché canadien jusqu’à ce qu’on ait clairement identifié l’aliment responsable. »