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Un rare enregistrement de Pink Floyd découvert en Suède

Un très vieil enregistrement d’un concert de Pink Floyd donné en 1967 à Stockholm, en Suède, vient d’être découvert.

Cet enregistrement est d’autant plus notable qu’il serait le tout premier incluant un concert dans son entité de cette première époque de Pink Floyd, alors que le tourmenté Syd Barrett en était le meneur, avant qu’il laisse sa place à David Gilmour.

Selon ce qui a été avancé, les bandes comprennent aussi le test de son que le groupe avait effectué un peu plus tôt dans la journée du 10 septembre 1967, date du concert donné dans la capitale suédoise.

Ironiquement, l’un des membres de ce qui allait devenir l’une des formations rock les plus populaires de l’histoire peut être entendu disant à la foule : « Personne ne va aimer ce que l’on va jouer. »

On sait déjà que l’audio de ce spectacle sera diffusé au Golden Circle de Stockholm en mai prochain, mais on ignore encore quand l’enregistrement sera offert au grand public.

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Pink Floyd annule un concert-réunion

C’était peut-être un secret bien gardé, mais il semble que les membres de Pink Floyd étaient en discussion pour se reformer, au moins le temps d’un concert, mais ce projet vient d’être abandonné.

En entrevue avec le journal The Independent, le batteur de la formation, Nick Mason, a avoué que le groupe aurait pu se reformer, mais que l’évènement, en parlant d’un concert quelconque, n’était pas le bon choix pour le faire.

Pink Floyd devait donner un concert pour une oeuvre caritative, mais s’est retiré après avoir appris que ce spectacle devait avoir lieu à la maison d’une légende du cricket à la retraite, Imran Khan.

Mason s’est ensuite demandé : « Pourquoi jouer pour des gens de la haute société quand il y a d’autres occasions pour lesquelles nous devrions réserver cet événement spécial – un peu comme le Live 8. »

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Un événement charitable pourrait réunir Pink Floyd de nouveau

L’un des plus grands évènements musicaux de la dernière décennie est peut-être la réunion sur scène qu’a effectuée le groupe Pink Floyd, le temps de 3 chansons, lors du Live 8 de 2005.

À ce moment-là, au nom de la charité et de la famine dans le monde, David Gilmour et Roger Waters avaient mis de côté leur éternelle querelle et avaient rendu possible la réunion sur scène de la formation.

Amputé d’un membre en 2008 avec le décès du claviériste Richard Wright, le groupe progressiste pourrait néanmoins réunir sur scène ses 3 musiciens survivants si, comme l’avance Nick Mason, la participation à un événement charitable d’envergure se présentait.

Plus tôt cette année, à l’occasion d’un concert-bénéfice pour la HOPING Foundation, Roger Waters avait accepté l’invitation de David Gilmour à se produire avec lui pour une chanson.

En retour, Gilmour a promis à Waters de venir jouer une chanson en sa compagnie, alors que ce dernier tourne en ce moment avec son spectacle The Wall, un album phare du groupe.

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Photos de Neal Preston dans un hôtel de Las Vegas

Selon le Los Angeles Times, c’est au Hard Rock Hotel & Casino de Las Vegas que l’on peut dorénavant admirer 40 photos de vedettes du rock du doué photographe Neal Preston.

Dans l’hôtel, les clichés peuvent ainsi être vus près du centre de conditionnement et du spa de l’établissement. C’est depuis pas moins de quatre décennies que Preston croque des vedettes de l’industrie de la musique.

Des centaines de ses photos ont déjà été publiées dans des magazines comme People et Rolling Stone. Parmi les images exposées, il y en a de David Bowie, de Madonna, de Boy Marley ainsi que de la notoire formation musicale Pink Floyd.

Il est également possiblement d’apprécier un agrandissement d’une feuille contact jamais montrée, tirée d’une séance de photo avec Led Zeppelin.

À noter que des reproductions des photographies en édition limitée sont en vente à la boutique de l’hôtel.

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David Gilmour viendra rejoindre Roger Waters durant la tournée The Wall

Voilà une nouvelle qui mettra sûrement du piquant dans la prochaine tournée de Roger Waters, lui qui a décidé de recréer le spectacle de The Wall. À un moment, sans toutefois se compromettre d’avance pour une date précise, David Gilmour pourra venir rejoindre son ancien comparse de Pink Floyd pour interpréter une pièce de The Wall, l’un des albums phares du groupe.

L’histoire de cette future apparition remonte aux échanges que les deux musiciens ont eus pour préparer leur apparition-surprise du week-end dernier dans le cadre du spectacle Hoping Foundation. David Gilmour, qui avait participé l’an dernier au concert, avait lancé l’idée de chanter la chanson To Know Him is to Love Him en duo avec Waters pour l’édition 2010.

En écrivant à son ancien collègue de Pink Floyd, les deux ont été à couteaux tirés depuis le départ de Waters du groupe au milieu des années 1980, Gilmour avait réussi à l’intéresser, mais après avoir écouté la chanson plusieurs fois, Waters avait expliqué à Gilmour que leurs voix ne fonctionneraient pas ensemble.

« J’ai écouté avec désespoir, sachant que David, avec ses qualités vocales supérieures, pourrait chanter n’importe quelle partie (de la chanson) en se tenant debout sur la tête, alors que je devrais trouver une tonalité différente et peiner durant des heures et des heures à apprendre une routine bien en dehors de mes capacités vocales. Honteusement, j’ai refusé et dit à David que je ferais avec plaisir Wish You Were Here et Confortably Numb, mais que To Know Him is to Love Him était trop pour moi. »

Waters ajoute : « Il m’a alors répondu que, si j’acceptais de la faire, il viendrait jouer avec moi au moins une fois Confotably Numb durant la tournée de The Wall. J’en étais estomaqué. Comment pouvais-je refuser une telle offre? »

La tournée de The Wall de Roger Waters débute le 15 septembre au Canada. Si vous possédez un billet, vous pourriez être l’un de ceux qui assisteront à une rencontre historique.

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Concert-surprise de Roger Waters et David Gilmour samedi

Il y a sûrement des gens qui ont pensé prendre rendez-vous avec leur optométriste samedi soir (10 juillet) lorsqu’ils ont vu arriver sur scène Roger Waters et David Gilmour, de Pink Floyd, lors d’un concert-bénéfice tenu à Kiddington, en Angleterre.

Ce n’est plus un secret pour personne, les deux meneurs de Pink Floyd sont à couteaux tirés depuis le départ de Waters du groupe au milieu des années 1980. Celui-ci avait d’ailleurs voulu forcer les autres membres à dissoudre le groupe et à renoncer à l’utilisation du nom de la formation.

Lors du Live 8, le 2 juillet 2005, le groupe en entier s’était reformé pour jouer 3 chansons, ce qui avait été sans contredit le moment phare de l’évènement. C’était aussi la dernière fois que Pink Floyd avait joué ensemble, le claviériste Richard Wright étant mort d’un cancer en 2008.

Samedi soir, deux mois après que Roger Waters ait déclaré que David Gilmour ne semblait démontrer aucune intention quelconque de vouloir remonter sur une scène avec lui, les deux artistes, qui sont à la base de certains des plus grands albums rock de l’histoire, ont fait la paix pour jouer ensemble, accompagnés d’une pléiade de musiciens.

Ils ont interprété, devant une petite foule éberluée de seulement 200 personnes, To Know Him is to Love Him de The Bears, mais aussi trois de leurs plus grandes pièces, soit Wish You Were Here, Comfortably Numb et Another Brick in the Wall (Part 2).

Maintenant que Waters et Gilmour semblent avoir fait un pas vers une meilleure entente, peut-être pouvons-nous commencer à rêver d’une reformation du groupe, ne serait-ce que pour une tournée qui, assurément, afficherait complet partout sur son passage.

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Roger Waters ajoute une douzaine de spectacles à sa tournée The Wall

L’engouement pour le nouveau spectacle de Roger Waters, qui reprend en tournée l’album et le concept de The Wall, disque de Pink Floyd qu’il a presque écrit à lui seul en 1979, est si fort que celui-ci doit ajouter des spectacles dans des villes pour répondre à la demande.

Ainsi, Toronto, qui devait présenter 2 spectacles à l’origine, se voit bonifier d’une 3e représentation le 18 septembre, alors que le spectacle du 19 octobre à Montréal pourra compter sur l’aide d’un 2e concert le lendemain, 20 octobre, pour répondre à la demande.

En tout, Waters a ajouté une douzaine de concerts un peu partout en Amérique du Nord pour permettre à ses fans d’assister au spectacle de ce qui est considéré comme l’un des albums conceptuels les mieux réussis de l’histoire de la musique populaire. L’opéra rock a d’ailleurs été fait en film par le cinéaste Alan Parker en 1982.

Les billets pour les spectacles supplémentaires de Toronto et Montréal sont déjà en vente.

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Roger Waters est convaincu que Pink Floyd ne jouera plus ensemble

En 2005, lors du fameux concert planétaire de Live 8, l’évènement le plus marquant avait été la réunion-surprise de Pink Floyd sur la scène londonienne. Le temps de trois chansons, David Gilmour et Roger Waters avaient réussi à mettre de côté leurs différends afin d’offrir au monde entier un moment charnière dans la journée destinée à amasser des fonds pour l’Afrique, comme Live Aid l’avait fait pour la famine en Éthiopie 20 ans plus tôt.

En entrevue auprès de l’Associated Press, Roger Waters, qui commencera bientôt une tournée où il reprendra l’album The Wall et son concept scénique, a avoué qu’après leur réunion de 2005, il aurait été prêt à retravailler avec ses anciens collègues. Toutefois, David Gilmour, avec qui il a eu maintes prises de bec et avec qui les relations ont longtemps été glaciales, n’a jamais démontré de l’intérêt pour une telle réunion. « David est complètement désintéressé. »

En plus de l’attitude de Gilmour envers une possible collaboration avec Waters, le claviériste Richard Wright est décédé en 2008 d’un cancer.

Waters, qui trimbalera The Wall autour du monde en 2010 et 2011, compte faire un nouvel album après cette tournée, lui qui n’a lancé aucun nouveau matériel depuis Amused to Death en 1992. Il s’arrêtera à Toronto pour deux soirs, les 15 et 16 septembre prochain, à Ottawa le 17 octobre, à Montréal le 19 octobre et à Vancouver le 10 décembre.

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Roger Waters ramène The Wall en tournée

L’album The Wall de Pink Floyd a un peu plus de 30 ans, mais il demeure encore aujourd’hui l’un des albums les plus marquants de l’histoire de la musique. Un jeune qui le découvre de nos jours trouvera le message aussi pertinent que lors de sa sortie initiale, le 30 novembre 1979.

Cet album, qui est l’un des cinq plus vendus aux États-Unis de tous les temps, sera joué en entier par celui-là même qui l’a écrit et créé presque entièrement seul, Roger Waters, le bassiste du groupe jusqu’à son départ au milieu des années 1980. Ce dernier entreprendra en effet une tournée nord-américaine à compter du 15 septembre 2010 avec un premier arrêt au Centre Air Canada de Toronto.

Parmi les 35 spectacles qu’il présentera durant sa tournée, Roger Waters jouera 3 autres fois au nord du 45e parallèle avec des spectacles à l’horaire le 17 octobre à la ScotiaBank Place d’Ottawa, le 19 octobre au Centre Bell de Montréal et le 10 décembre à la General Motors Place de Vancouver.

Roger Waters promet une utilisation des toutes dernières technologies pour rendre ce spectacle aussi grandiose que l’oeuvre. Lors de la sortie de l’album, l’immensité de la scène n’avait permis que des concerts dans 4 villes, soit Los Angeles (7 soirs), New York (5 soirs), Londres (11 soirs en 2 visites) et Dortmund, en Allemagne (8 soirs).

En 1990, pour la chute du mur de Berlin, Roger Waters, alors en solo, avait joué son album dans la ville avec une pléiade d’invités.

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Pink Floyd poursuit EMI

Selon The Guardian, les membres de la formation musicale Pink Floyd, David Gilmour, Nick Mason, Roger Waters et Bob Klose, se sont réunis, mais c’est malheureusement pour poursuivre leur étiquette de disques, EMI.

Au cœur de la bataille, il y a le contrat de Pink Floyd, datant de 1999, qui indique que les chansons du groupe ne peuvent pas être isolées, prises séparément et vendues en dehors du contexte de leurs albums originaux.

Cependant, sur iTunes, EMI offre toutes les pièces de Pink Floyd à la carte en plus des disques au complet, ce qui a fini par mener à un procès.

Du côté d’EMI, on soutient que la clause du contrat de la formation sur la séparation des morceaux s’applique seulement à leur parution physique. Comme elle précède les services numériques de musique tels que iTunes, cette clause ne s’appliquerait pas au téléchargement de la discographie de Pink Floyd.

À la première audition du procès, à laquelle les membres de Pink Floyd n’étaient pas présents, leur avocat, Robert Howe, a argumenté que « Pink Floyd [est] bien connu pour jouer des titres en continu, plusieurs des chansons se mélangent l’une dans l’autre », ajoutant que le contrat de 1999 « interdit expressément » de prendre les pièces hors de ce contexte.