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Des incontournables pour encourager votre enfant à être propre

Selon Psychology Today, vous devez éviter de précipiter cette transition. Afin de vous aider, vous pouvez prendre en considération ces quelques conseils :

Cessez d’écouter ce que disent les autres – Honnêtement, c’est votre propre orgueil qui est en jeu si vous vous fiez à l’opinion de votre entourage. « Quoi? Il n’est pas encore propre? Tom faisait pipi sur le pot à 16 mois vous savez? »

Mettez-lui des petites culottes – C’est la première étape. Allez-y à votre rythme. Mais en premier lieu, bébé doit savoir ce que ça fait de sentir qu’on est mouillé. Avec les couches, il ne comprend pas la différence.

Horaire régulier – Voici l’une des clés du succès. Avant d’entreprendre la transition, notez à quel moment votre enfant tend à uriner. Par exemple, en se levant ou après les repas, puis avant la sieste. Par la suite, établissez un horaire fixe et respectez-le.

Aucun commentaire négatif – Vous devez être préparé. Votre enfant mouillera inévitablement son pantalon, son lit ou sa chaise haute. C’est à vous de prévoir le coup. Ce dont il a besoin, ce sont vos encouragements et des récompenses lorsqu’il réussit à se rendre sur la toilette à temps.

Il faut s’amuser – Faites-en un exercice agréable. Par exemple, un concours : celui qui arrive en premier aux toilettes est celui qui reste au sec! S’il le faut, dites-lui qu’il doit aussi entraîner son toutou favori au petit pot.

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Forcer à faire pipi dans le pot pourrait causer des dommages

Selon l’urologue pédiatrique Steve Hodges, professeur à l’Université Wake Forest en Caroline du Nord, l’incitation précoce au pot peut conduire à plus d’accidents sanitaires, car la vessie n’est pas toujours assez forte.

En fait, il semblerait que la vessie a besoin de trois à quatre ans pour être complètement formée, et les couches seraient un bon moyen à long terme pour sa croissance maximale.

La constipation, des dommages aux reins et des infections urinaires peuvent être entrainés par une démarche hâtive et précoce « de la couche au petit pot » parce que les tout-petits se retiennent souvent plus qu’ils ne le devraient, par peur de se faire chicaner ou d’échouer dans le processus de propreté.

Le Dr Hodges croit fermement que « les enfants de moins de trois ans ne devraient pas gérer leurs propres habitudes sanitaires ». Il ajoute que « les bébés doivent expérimenter par eux-mêmes le processus d’élimination et ainsi comprendre et utiliser de manière judicieuse leurs organes ».

Selon le spécialiste, pour se vanter ou par peur du jugement d’autrui, les parents sont trop axés sur la réussite du pot. Pour le bien de leur enfant, les parents devraient lui donner une certaine marge de manœuvre

Les visites chez le médecin pour la constipation chez les enfants ont quadruplé durant la dernière décennie, selon le Journal de Neurogastroentérologie. Un million de visites annuelles dans les cliniques pédiatriques aux États-Unis sont enregistrées pour des cas d’infection urinaire chez les fillettes.

Selon l’Association nationale pour la continence aux États-Unis, cinq millions d’enfants mouillent leur lit, dont environ 20 % encore à l’âge de cinq ans.

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Pipi au lit : la constipation est souvent la coupable

Selon une étude du Wake Forest Baptist Medical Center, si la constipation n’est pas diagnostiquée, les enfants et leurs parents doivent supporter une quête inutilement longue, coûteuse et difficile à guérir.

« Avoir trop de selles dans le rectum réduit la capacité de la vessie », a déclaré l’auteur principal de l’étude, Steve J. Hodges, professeur adjoint d’urologie au centre.

30 enfants et adolescents qui cherchaient un traitement pour l’énurésie ont été examinés par les chercheurs avec des rayons X. Tous avaient de grandes quantités de selles dans le rectum, plus que la majorité des autres jeunes ayant des habitudes intestinales normales.

En trois mois, grâce à un traitement laxatif, 25 des 30 enfants (83 %) ont été guéris de l’énurésie nocturne.

Selon les spécialistes, l’un des problèmes majeurs est que les enfants ne sont souvent pas capables de décrire ou de cerner des habitudes intestinales compatibles avec la constipation (selles non quotidiennes et consistance dure).

Les chercheurs avertissent que tout traitement médical pour l’énurésie doit être supervisé par un médecin.