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En voyage avec Colette Provencher, Sophie Thibault victime d’un incident fâcheux

Sophie Thibault s’est offert un voyage à Carthagène, en Colombie, en compagnie de sa grande amie bien connue, Colette Provencher.

Une expérience à l’étranger pour le tournage de l’émission Partir autrement entre amis, que les deux vedettes de TVA semblent apprécier, mais qui a pris une tournure un peu moins amusante pour la cheffe d’antenne.

C’est sur sa page Instagram que Sophie a partagé avoir vécu un petit décalage par rapport à son amie Colette en raison d’une morsure de fourmi, qui l’a forcée à prendre du Benadryl…

Une piqûre qui, toutefois, ne semble pas trop grave au final, heureusement!

Nous souhaitons à Sophie que ses symptômes se dissipent le plus rapidement possible!

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Une prise de sang pour dénicher le cancer

Un test sanguin développé par l’Organisation japonaise des nouvelles énergies et technologies industrielles (Nedo) pourrait faire en sorte qu’à compter de 2019, 13 sortes de cancers soient dépistés, grâce à un prélèvement sanguin.

Les cancers de l’estomac, de l’œsophage, du poumon, du foie, des voies biliaires, du pancréas, du côlon, de l’ovaire, de la prostate, de la vessie et les cancers du sein sont les plus susceptibles d’être trouvés à l’aide d’une seringue.

L’équipe asiatique croit même que le test sanguin permettrait de détecter le sarcome et les tumeurs gliales (cérébrales) et découvrir de façon précoce des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer, écrit Top Santé.

Évalué à près de 80 millions de dollars canadiens, le projet scientifique tentera de découvrir des molécules « marqueurs » des cancers. Dans le corps humain, il y aurait plus de 2 500 sortes de molécules qui pourraient servir de marqueurs.

 « Cette méthode est beaucoup plus rapide que la batterie d’examens parfois lourds existant actuellement », a confié Tomomitsu Hotta président du Nedo.

En parallèle, les États-Unis et l’école de médecine de Stanford sont également sur le dossier du CAPP-Seq : un test sanguin apte à réaliser la même mission.  

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Piqûres : combattre la peur des enfants grâce à une application

Disponible sur Google Play pour Android et Apple Store pour les iPhone et iPad, la petite grenouille 3D de l’application Ludicalm fait des merveilles auprès des enfants qui ont peur de se faire piquer, mais aussi auprès des parents qui sont souvent une source d’influence pour le stress chez les petits.

Créée par Sylvie Brunet, hypnothérapeute spécialiste des techniques psychocorporelles, Ludicalm empêche l’enfant et le parent de se concentrer sur l’aiguille des seringues et permet à ces derniers de se concentrer plutôt sur une attirante grenouille qui disparaît aussitôt que l’enfant bouge. Ainsi, pour être en mesure de voir sans cesse ce que fera la grenouille, le bambin curieux ne sera pas tenté de s’agiter ou de se débattre. De plus, la grenouille respire vivement, ce qui inspire le petit à l’imiter et trouver plus facilement le calme en lui.

Quant au parent, il est occupé à tenir le téléphone ou la tablette où gigote la grenouille de Ludicalm. Il fait donc équipe avec son enfant, se change lui aussi les idées et dans le temps de le dire, la piqûre est chose du passé.

Pour plusieurs professionnels de la santé qui se sont exprimés sur le site Top Santé, le pouvoir hypnotique, dissuasif et analgésiant de la grenouille de Ludicalm pourrait prévenir une phobie des soins et aider à réaliser divers traitements difficiles auprès des petits, comme arracher des pansements ou des besoins plus spécialisés.

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La peur des piqûres inspire une échelle des sentiments

L’outil d’évaluation favorise les jeunes à communiquer leurs sentiments, et aide ainsi les spécialistes à mieux cerner et comprendre la détresse qui les envahit et faire en sorte que l’enfant ne traîne pas avec lui cette phobie une bonne partie de sa vie.

Meghan McMurtry, professeure adjointe de psychologie à l’Université de Guelph, affirme que certaines recherches démontrent un lien entre les craintes des aiguilles à l’enfance et l’évitement de possibles soins médicaux au cours des années plus tard.

Elle explique que la peur est subjective, et si elle n’est pas bien exprimée, il est difficile de découvrir l’histoire qui l’entoure. Puisque les enfants ont souvent un vocabulaire restreint, l’échelle des sentiments vient à leur secours.

Celle-ci est conçue de cinq visages différents sans cheveux ne représentant aucun sexe et aucun âge. Les visages ont un regard vide à très effrayé.

L’outil est utilisé par des professionnels de la santé qui conseillent, lorsque l’enfant a une peur bleue des seringues, de l’aider à respirer profondément, lui changer les idées avec une conversation divertissante, une peluche ou encore lui présenter une vidéo amusante.

Les chercheurs ont montré l’échelle de la peur à 100 enfants, âgés de 5 à 10 ans, après qu’ils aient eu une prise de sang. Les enfants plus âgés ont exprimé leur crainte autant que les plus jeunes, un élément qui a d’ailleurs surpris les chercheurs.

Le nombre de fois que les jeunes ont eu une prise de sang n’a pas eu d’incidence, ce qui prouve que l’expérience des piqûres ne pousse pas nécessairement à l’amélioration de la situation.

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Des piqûres sans douleur pour bébé

Le Centre hospitalier de Trois-Rivières, le CHRTR, entend mettre en pratique une méthode qui pourrait changer le monde de la pédiatrie et de la périnatalité.

Se basant sur le principe qu’un contact de la peau entre la mère et son enfant atténue de manière importante la douleur, la méthode non pharmaceutique du CHRTR pourrait jusqu’à neutraliser la douleur des bébés qui reçoivent des soins de santé en début de vie.

On forme en ce moment des infirmières du Centre parents-enfants du CHRTR sur cette méthode. Même si elle est excessivement simple, on rapporte que le personnel infirmier est maintenant confronté à un nouveau défi : s’adapter aux petits bébés et au rythme de chacun.

L’Ordre régional des infirmiers et infirmières de la Mauricie-Centre-du-Québec a remis le prix Innovation clinique 2011 au centre pour saluer l’instauration de cette méthode.

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Bientôt un test de glucose indolore

Pour les diabétiques, il existe un test essentiel qui mesure le taux de glucose. Pour se faire, ils doivent se piquer le doigt, parfois plusieurs fois par jour, afin d’obtenir un échantillon sanguin pour effectuer cette mesure. Toutefois, ce procédé sera bientôt chose du passé.
 
Selon le Journal of Diabetes Science and Technology, des chercheurs de l’Université de l’Arizona et de la Clinique Mayo aux États-Unis travaillent sur un nouveau test indolore qui ne demanderait que des échantillons de larmes.
 
Un petit capteur a été créé pour extraire le liquide lacrymal de l’œil. « Certains patients rechignent à faire le test, car ils ne supportent pas la douleur au doigt. Cette nouvelle technologie permettrait aux patients de vérifier leur taux de glucose plus souvent et ainsi de mieux contrôler leur diabète », explique l’ingénieur derrière ce capteur, Jeffrey T. LaBelle, qui a dirigé les travaux.
 
Il s’agit d’une avancée pour ceux qui n’aiment pas les piqûres. Rappelons qu’avec le temps, ces dernières peuvent aussi diminuer la sensibilité ressentie aux doigts.
 
220 millions de personnes souffrent de diabète dans le monde en ce moment et cette maladie fait environ un million de victimes chaque année.
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Les piqûres de moustiques plus fréquentes sur les hommes grands et les femmes en surpoids

Une nouvelle étude révèle que les hommes grands et les femmes en surpoids sont plus susceptibles d’être piqués par des moustiques.
 
C’est la première fois que des chercheurs démontrent un lien entre la taille du corps et l’attractivité pour ces insectes.
 
Selon l’étude rapportée par le Telegraph, après avoir étudié 300 personnes, on constate que les hommes grands et les femmes en surpoids se font plus piquer que les autres.
 
« Les moustiques aiment voler à environ deux mètres de hauteur, nous pensons donc que les hommes grands sont les premiers hôtes qu’ils rencontrent », explique la Dre Jenny Mordue.
 
Pour les femmes plus rondes, le phénomène s’expliquerait par le fait qu’elles produisent plus de chaleur et d’humidité, mais surtout plus de substances chimiques qui composent l’odeur d’une personne. C’est ce qui les rendrait plus attrayantes pour les moustiques.