«Agressée physiquement et verbalement.»
Angelina Jolie a apparemment été identifiée comme la Jane Doe qui a poursuivi le FBI en vertu de la loi sur la liberté d’information, demandant pourquoi une enquête sur son ex-mari, Brad Pitt, avait été fermée après des allégations d’agressions physiques et verbales en 2016.
Selon Eriq Gardner de Puck News, Jolie est en effet la plaignante anonyme dans la poursuite, dans laquelle le public avait longtemps spéculé, compte tenu de la chronologie et des événements décrits. La poursuite a exigé que le bureau remette des documents liés à une enquête sur Pitt, après que Jolie ait allégué qu’il l’avait «agressée physiquement et verbalement» elle et leurs enfants alors qu’ils voyageaient dans un avion privé «il y a plusieurs années».
Il a également été signalé que, dans une récente mise à jour du dossier, une déclaration de cause probable avait été rédigée et remise au chef de la division criminelle du bureau du procureur américain à Los Angeles, avant que le FBI n’annonce que Pitt ne serait pas accusé d’agression.
Parmi les allégations précédemment détaillées rapportées dans la déclaration de l’agent, il y avait celle selon laquelle Pitt buvait et avait emmené Jolie à l’arrière de l’avion, l’avait attrapée par les épaules et l’avait secouée en criant:
«Tu détruis cette famille!»
Plus tard, au cours de ce même vol, une autre altercation physique aurait eu lieu, et Jolie affirme avoir été blessée; elle aurait donné à l’agent une photo de son coude pour tenter de corroborer cela.
«À un autre moment, Jolie dit que Pitt lui a versé de la bière dessus», peut-on lire dans les documents, selon cette même source.