Après l’énorme succès des deux premières saisons, les premières images de la saison 3 de La faille ont enfin été dévoilées. Produite par Pixcom en collaboration avec Québecor Contenu, la série sera disponible dès l’automne prochain sur Club illico.
Les huit épisodes d’une heure, écrits par Frédéric Ouellet, réalisés par Daniel Roby et produits par Dominique Veillet, transporteront les téléspectateurs et téléspectatrices dans les plus beaux paysages automnaux québécois.
« Pour trouver le coupable, elle devra risquer sa vie et affronter un à un les démons de son passé »
L’histoire de la troisième saison va comme suit : « La sergente-détective Céline Trudeau retourne dans le village où elle a passé sa jeunesse et est forcée de confronter l’événement qui l’a traumatisée à l’âge de 16 ans : le meurtre sordide de Véronique Jolicœur, sa cousine et meilleure amie. Plus de 30 ans après les faits, Céline se lance sur la piste de l’assassin, qui n’a jamais été identifié. Tous les suspects sont d’anciens voisins, d’anciens amis, d’anciens amours ou encore des membres de sa famille. Pour trouver le coupable, elle devra risquer sa vie et affronter un à un les démons de son passé ».
De nouveaux personnages s’ajouteront à l’intrigue. Ceux-ci seront joués par David Boutin, Daniel Parent, Lynda Johnson, Sébastien Ricard, Dorothée Berryman, Gilbert Sicotte, Jade Charbonneau, Didier Lucien et Debbie Lynch-White.
Et vous, avez-vous hâte de visionner la saison 3 de La faille?
Sophie Deraspe lance un tout nouveau thriller environnemental de six épisodes de 60 minutes, d’après une idée originale de Marie-Dominique Michaud, avec qui l’autrice signe le concept.
La série, intitulée Les affluents, sera diffusée sur Club illico prochainement et sera produite par Pixcom en collaboration avec Québecor Contenu.
« La jeune femme met alors le pied dans l’engrenage d’un monde tentaculaire tissé d’alliances et de trahisons »
« Les affluents, c’est une chance inouïe pour Club illico de présenter une nouvelle série réalisée et scénarisée par Sophie Deraspe, après l’excellente série Motel Paradis qui nous a charmé et que nos abonnés pourront découvrir bientôt. Elle propose ici une toute autre série « signature » de Club illico, mais toujours à regarder sans modération », a mentionné Véronique Bussières, directrice marketing Club illico, Vrai et plateformes de contenus chez Vidéotron.
Sarah Deléan, une jeune avocate, se réveille un matin en panique. Sa voisine d’au-dessus, qui s’est toujours fait très discrète, a été assassinée. Sarah décide donc de mener sa propre enquête et lève le voile sur des activités minières controversées en Colombie- Britannique, sur la Côte-Nord du Québec et dans la vallée d’Oaxaca au Mexique. « La jeune femme met alors le pied dans l’engrenage d’un monde tentaculaire tissé d’alliances et de trahisons, dans lequel la force intimidante des puissants n’a d’égal que l’espoir de la résistance. À Sarah de rencontrer sa vraie nature ».
« Grâce à la grande sensibilité et à l’œil unique de Sophie Deraspe, cette série engageante entremêle habilement des enjeux de taille et très actuels à la quête d’une femme aussi à la recherche de ses racines. Les affluents est une série d’enquêtes environnementales haletantes qui mènera le public à travers le Canada et jusqu’au Mexique », a lancé Denis Dubois, vice-président aux contenus originaux chez Québecor Contenu.
« Le thriller environnemental est un univers très peu exploité en fiction et s’inscrit dans la volonté de Pixcom de développer des séries originales ayant la capacité de se positionner dans les marchés internationaux. Après tout, les enjeux environnementaux n’ont pas de frontières, et les histoires puissamment racontées non plus! », a ajouté par la suite Nicola Merola, président de Pixcom et Charles Lafortune, vice-président contenu et création chez Pixcom.
Et vous, allez-vous visionner cette nouveauté sur Club illico?
En effet, la série Audrey est revenue est rentrée fièrement au Québec du Festival Canneseries avec deux prestigieux prix : le Grand prix Dior et le Prix Spécial d’interprétation. Mentionnons que c’est la première série québécoise en compétition officielle en série longue au festival Canneseries.
« On est extrêmement touchés de faire rayonner le Québec à Cannes, c’est le cas de le dire: on n’en revient pas! Je suis trop fière des comédiens, c’est fou gagner un prix de groupe! », a mentionné Florence Longpré via un communiqué.
« On est extrêmement touchés de faire rayonner le Québec à Cannes »
« Je suis complètement ému et tellement honoré de pouvoir vivre ça avec deux de mes meilleurs amis! C’est particulier pour moi parce que je viens de Sorel-Tracy, donc de voir ma ville natale sur grand écran me rend particulièrement fier. Ça me fait réaliser tout le chemin parcouru depuis le début de ma carrière », a ajouté Guillaume Lambert.
« Audrey est revenue c’était une expérience unique du début à la fin. C’est une série audacieuse, très singulière, et surtout elle touche tout le monde. Et maintenant grâce à Canneseries on sait qu’elle touche des gens de partout. Et ça, c’est la plus belle récompense », a lancé le réalisateur Guillaume Lonergan.
« C’est émouvant, pour la productrice Marie-Ève Pelletier et moi, de voir la planète réagir avec autant d’amour à une création de chez nous », a conclu Nicola Merola, président de Pixcom.
La série, qui est disponible sur le Club illico, met en vedette Florence Longpré dans le rôle de Audrey, mais aussi de Josée Deschênes, Denis Bouchard, Dominic St-Laurent, Élliot Miville-Deschênes, Zeneb Blanchet, Martin-David Peters, Joanie Guérin ainsi que la talentueuse Charlie Lemay-Thivierge.
L’histoire de la comédie dramatique de 10 épisodes suit Audrey, une jeune « femme de 34 ans qui se réveille miraculeusement d’un long coma 16 ans après avoir été retrouvée inconsciente sur une route de campagne. Entre-temps, bien des choses ont changé autour d’Audrey, la société tout comme les membres de sa garde rapprochée, tombés eux aussi dans une sorte de « dormance » depuis des années. En plus des défis de sa réadaptation physique, la trentenaire doit encaisser le choc psychologique de se retrouver soudain dans une époque qu’elle ne comprend pas. Audrey doit réapprendre à vivre à tous les niveaux, avec le vécu d’une adolescente dans un corps d’une femme de 35 ans ».
Rappelons que le scénario est original et percutant. L’histoire d’Audrey est touchante et remplie de douceur et pourtant, elle ne laisse personne indifférent.
« En plus de coécrire le scénario, Florence Longpré est criante de vérité dans le personnage d’Audrey, tout comme Ellyciane Paradis qui interprète ce rôle à l’adolescence. Elle est entourée de Josée Deschênes et Denis Bouchard, deux grands comédiens adorés du public, dans le rôle de ses parents, de Dominic St-Laurent et Élliot Miville-Deschênes (le frère d’Audrey à différentes époques), Zeneb Blanchet (sa demi-sœur, née de l’union de sa mère avec son nouveau conjoint, campé par Martin-David Peters) et de Joanie Guérin et Charlie Lemay-Thivierge (la meilleure amie d’Audrey au fil des ans) ».
Alerte Amber : le documentaire sera diffusé sur les ondes de TVA le jeudi 14 avril prochain, à 21h. Vous pourrez y voir, en exclusivité, deux drames qui ont ébranlé tout le Québec.
En effet, seulement quelques semaines après la fin de la saison de la série de fiction Alertes, les téléspectateurs et téléspectatrices pourront découvrir tout ce qui se passe derrière le déploiement d’une alerte amber, avec le documentaire réalisé par Isabelle Tincler et produit par Pixcom en collaboration avec Québecor Contenu.
« C’est à travers le récit des familles, des proches des victimes, des journalistes, policiers, enquêteurs et témoins, que vous aurez un accès unique au déroulement, minute par minute, de ces deux alertes Amber qui ont chamboulé le Québec »
C’est plongés dans des entrevues et d’images d’archives pendant le documentaire d’une heure que vous irez au coeur de l’enlèvement de Romy et Norah Carpentier en 2020 ainsi que l’enlèvement d’un nouveau-né, bébé Victoria, en 2014.
« C’est à travers le récit des familles, des proches des victimes, des journalistes, policiers, enquêteurs et témoins, que vous aurez un accès unique au déroulement, minute par minute, de ces deux alertes Amber qui ont chamboulé le Québec. Tête d’affiche de la série Alertes, Sophie Prégent ira à la rencontre d’Amélie Lemieux, la mère des petites Carpentier afin de recueillir son puissant témoignage », pouvait-on lire par voie de communiqué.
« L’enlèvement de Romy et Norah Carpentier : L’enlèvement par leur père de Romy et Norah Carpentier a bouleversé tout le Québec à l’été 2020. Un premier appel d’urgence a été lancé en soirée, le 8 juillet, après que le père, avec ses fillettes, eut abandonné sa voiture accidentée sur l’autoroute 20. Sur place, les premiers répondants découvrent le véhicule, mais aucune trace des occupants. Le lendemain à 15 h 23, la Sûreté du Québec déclenche l’alerte Amber et le Centre opérationnel gouvernemental prend le contrôle des systèmes de radiodiffusion et télécommunications en la diffusant partout au Québec ».
« L’enlèvement d’un nouveau-né : Le 26 mai 2014, à l’hôpital Sainte-Marie de Trois-Rivières, Mélissa McMahon et son conjoint Simon Boisclair célèbrent la naissance de leur petite Victoria. Une jeune femme sympathique, prétendant être infirmière, se présente à leur chambre et en ressort avec le bébé pour effectuer quelques examens de routine. L’infirmière, qui n’en est pas une, quitte les lieux quelques instants plus tard à bord d’une voiture avec bébé Victoria. Ensemble, elles se volatilisent dans la nature… La Sûreté du Québec déclenche alors une alerte Amber et un important dispositif de recherche est mis en branle ».
« TVA est fière de diffuser ce documentaire unique puisqu’aucune image et qu’aucun témoignage ne sont présentés en reconstitution. Nos téléspectateurs québécois, notamment ceux qui suivent avec engouement la série Alertes, apprécieront au plus haut point Alerte Amber : le documentaire. Ils seront touchés par tous les témoignages qu’ils entendront », a déclaré Nathalie Fabien, directrice principale, Chaînes et programmation, TVA.
« Québecor Contenu est heureuse de cette collaboration avec Pixcom présentant pour la première fois à la télé, un projet qui permet de prendre conscience, d’être témoin du début à la fin de tout ce qui entoure véritablement une alerte Amber. C’est un documentaire bouleversant de sincérité », a ajouté par la suite Denis Dubois, vice-président, contenus originaux Québecor Contenu.
« À travers ce documentaire, Pixcom souhaite donner une voix aux familles des victimes et à leurs proches, aux intervenants de première ligne qui, lors de tels événements, travaillent sans relâche pour éviter le pire » a conclu Nicola Merola, Président, Pixcom.
Louis Bélanger signe la réalisation des huit épisodes de la série, produite par Pixcom en collaboration avec QuébecorContenu.
« L’amour d’une mère peut-il recoudre l’âme blessée de son enfant? »
Crédit:Julien Faugere
« À la suite d’un grave traumatisme subi à 20 ans, Arnaud perd graduellement ses repères, ses rêves et ses espoirs pour se retrouver dans la rue, là où le bonheur se vend au gramme. Sa mère Anna, une couturière talentueuse, tente l’impossible pour sortir son fils du brouillard, des drogues et du froid. Depuis 2010, leur relation suit un chemin rempli d’espoirs et de déceptions au cours duquel Anna tente désespérément de sauver Arnaud, mais aussi de survivre. L’amour d’une mère peut-il recoudre l’âme blessée de son enfant? Peut-on garder les bras ouverts toute une vie, pour une personne qui s’éloigne de plus en plus? Bien qu’Arnaud soit toujours vivant, Anna devra apprendre à faire le deuil de son unique enfant », pouvait-on lire dans un communiqué.
« Québecor Contenu se réjouit de porter à l’écran avec Pixcom, cette oeuvre puissante qui permettra également d’explorer l’univers de l’itinérance; un phénomène troublant », a déclaré Denis Dubois, vice-président, contenus originaux, Québecor Contenu.
« À travers cette histoire profondément humaine et émouvante, interprétée par deux comédiens de fort calibre, les téléspectateurs de TVA seront, tout comme le personnage d’Anna, entraînés dans une spirale d’émotions vives », a ajouté Nathalie Fabien, directrice principale, Chaînes et programmation, Groupe TVA.
« C’est un réel privilège pour Pixcom que Francine Ruel ait accepté de nous confier son roman pour en faire l’adaptation télé. Nous avons tout mis en oeuvre pour en faire une fiction sensible et émouvante, et ce, dans le plus grand respect de l’autrice. La vision de Louis Bélanger et les textes de François Archambault donneront vie à une série qui ne laissera personne indifférent. De plus, des acteurs de grands talents viendront appuyer le formidable duo formé par Guylaine Tremblay et Nico Racicot. Nous sommes impatients de faire découvrir au public Anna et Arnaud », a souligné Nicola Merola, président, Productions Pixcom.
Rappelons qu’en octobre dernier, Francine Ruel a mentionné au Journal de Québec : « J’avais envie de donner la parole à ces mères qu’on entend peu. À ces mères qu’on n’entend pas parler de ce sujet-là qui est un peu tabou en société, qui est particulier. Quand il y a un nom qui est mis sur un comportement particulier, un comportement déviant ou un comportement hors-norme, ou sur une maladie, tout le monde est rassuré parce que ça porte un nom. Et quand ça n’en porte pas… c’est très particulier ».
D’autant plus, c’est lors de son passage sur les plateaux de tournage de Tout le monde en parle que l’écrivaine s’est ouverte sur le sujet de sa minisérie. Elle dit avoir su immédiatement que François Archambault était le candidat idéal pour écrire les scénarios, puisqu’elle ne voulait pas les écrire elle-même. L’autrice dit même avoir mis le dramaturge en contact avec son fils, pour qu’il puisse lui partager son histoire. Nous sommes particulièrement touchés par l’ouverture, le partage et la confiance avec laquelle Étienne a accepté de faire des confidences pour l’adaptation du livre. Ruel a mentionné pendant l’émission que certains évènements qu’Étienne a partagés à François Archambault, elle n’était pas au courant : « Oupelaï ! Celle-là, je ne la savais pas ! » Elle a également partagé qu’il est important pour son fils, dans ce processus, de se réapproprier son histoire.
Être parent ne vient pas avec un manuel d’instruction. Cependant, des gens créatifs et braves comme Francine Ruel et son fils peuvent nous apporter un peu d’espoir avec leur art. Anna et Arnaud, l’adaptation du roman Anna et l’enfant-vieillard apparaîtra au petit écran à l’automne 2022 et nous sommes impatients de voir l’œuvre.
Le comédien s’est confié à Samuel Pradier lors d’une entrevue pour le magazine Échos Vedettes.
« Je pense que la clé de mon personnage repose dans les moments où il plaide devant la cour. Je suis en train de le découvrir, mais son attitude à la cour résume son tempérament, sa réflexion, les pièges qu’il tend à l’avocat de la Couronne, sa façon d’interagir avec le juge ou son client… L’essentiel de Léo MacDonald est là. Le reste demeure son côté humain, que je connais déjà. Je trouve très important d’être crédible lorsque mon personnage est à la cour, c’est là-dessus que je concentre mon travail de préparation », a mentionné Sébastien Delorme à Samuel Pradier.
« On va découvrir l’implication que son travail peut avoir sur sa vie. Accompagner quelqu’un qui est accusé d’un crime, c’est délicat. Le personnage de Léo est brillant et très droit; il ne mentira pas à la cour. Il a un code et une éthique pour défendre ses clients. Ma difficulté est de devenir un avocat en très peu de temps et d’être le meilleur de mon métier », a-t-il conclut.
Rappelons que la série, produite par Pixcom en collaboration avec Québecor Contenu, est une idée originale de Me Richard Dubé et développée avec la conceptrice et productrice Izabel Chevrier.
« Les téléspectateurs seront transportés au coeur du cabinet de défense criminelle Lapointe-MacDonald, qui réunit une équipe d’avocats combatifs qui croit fortement en la Justice. Attachants et parfois intenses, ils forment une famille tissée serrée remplie de travers et pourvue d’une grande humanité. Comme si leur propre vie en dépendait, ils ne défendent pas le crime mais la présomption d’innocence », pouvait-on lire dans un communiqué.
« Riche en émotion, en tension, en lutte de pouvoir et porteuse de multiples oppositions, Indéfendable déclenche en nous de fortes réactions lorsque les accusés, du citoyen ordinaire au criminel de carrière, se retrouvent devant les tribunaux et que nous souhaitons les voir acquittés ou…condamnés. Justice sera-t-elle rendue? », pouvait-on lire dans le même communiqué.
« Québecor Contenu est fière d’avoir mandaté Pixcom pour produire cette nouvelle série, sur laquelle notre équipe travaille depuis déjà plusieurs mois à dénicher la perle rare. Avec ses intrigues fortes, son réalisme et la richesse de ses personnages, cette série se démarquera à coup sûr. C’est une création originale que nous sommes particulièrement heureux d’offrir aux téléspectateurs québécois », a déclaré Denis Dubois, vice-président contenus originaux, Québecor Contenu.
Rappelons également que le 10 janvier dernier, le Québec a reçu la triste nouvelle que la populaire série District 31prendrait fin le 21 avril prochain. Au moins, nous savons que Sébastien Delorme sera bientôt de retour dans nos téléviseurs.
Si, comme nous, vous consommez des séries de true crime à volonté comme s’il s’agissait d’un buffet en prépandémie, eh bien, vous serez amplement servie lors du lancement de la plateforme Vrai (qui aura lieu d’ici la fin de l’été), car elle y insérera quatre séries documentaires à saveur d’affaires criminelles et vous n’êtes pas prêts ni prêtes!
Le premier titre est L’Ordre du Temple solaire, produit par Attraction Images et réalisé par Jean-François Poisson, qui nous fera revivre l’émoi, à travers six épisodes, que la secte de l’Ordre du Temple solaire avait causés au milieu des années 1990, avec les événements abominables qui avaient choqué la population. Le rapport du coroner en main, les conclusions de l’enquête de l’époque et des archives encore à ce jour inédites, des journalistes, des témoins et même des survivants des événements tragiques, raconteront comment Joseph Di Mambro et Luc Jouret ont ameuté « des dizaines de personnes dans la mort et comment, encore aujourd’hui, ils sont profondément touchés par cette tragique histoire ».
L’autre série true crime que nous avons hâte de visionner, est la série documentaire Psychopathes : ils sont parmi nous, réalisée par Charles Gervais et produite par Trio Orange. Les cinq épisodes d’une demi-heure promettent de nous faire prendre conscience que des psychopathes sont peut-être plus proches de nous que nous le pensons et à la menace à laquelle ceux-ci nous exposent. La série explorera les éléments qui définissent ce trouble inquiétant de la personnalité qui touche 1 % de la population et dont la majorité est en liberté (ça donne un peu la frousse, on va se le dire). Des témoignages d’experts viendront établir des liens avec des histoires qui se sont déroulées ici, au Québec, et ces derniers exploreront en profondeur les traits de personnalité des psychopathes. Parallèlement aux experts se joindront des survivants qui offriront des témoignages complètement percutants et l’on pourra également voir des archives marquantes. La série retracera également le parcours de trois psychopathes et criminels connus qui ont marqué l’imaginaire collectif au Québec : Paulo Shaker, Earl Jones et William Fyfe. « Cette série posera également la question à savoir si ce trouble de la personnalité est réversible ou permanent, sachant que la réhabilitation est au cœur de la philosophie du système judiciaire canadien ».
Comme troisième titre, il y a la série, C’est arrivé près de chez vous, produite par Pixcom et réalisée par Bernard Nadeau et Sébastien Godron, qui ira, à travers ses huit épisodes d’une heure, à la rencontre de huit communautés québécoises qui ont été brimées pour toujours par d’aberrants homicides. Isabelle Poissant est celle qui scénarisera les épisodes qui mettront en scènes des individus touchés par un crime hors de l’ordinaire et amènera beaucoup plus loin la quête qui est celle de comprendre ce qui pousse un individu à commettre un crime irréparable, comme enlever la vie à un parfait inconnu, à une connaissance, à un ou à une amie, ou même, à un membre de sa propre famille. Aussi, l’auteur et slameur, David Goudreault, créera des slams en lien avec les cas qui seront abordés. « Cette série documentaire d’une grande sensibilité poussera à la réflexion en abordant les répercussions et les séquelles d’un crime violent sur les individus et les communautés ».
Enfin, le quatrième titre qui s’ajoutera à la programmation de Vrai est, Denis Côté : Suivre son instinct, qui sera produit par Notre compagnie de production, et réalisé par Frédéric Gieling ainsi que Patricia Beaulieu. La série documentaire proposera cinq épisodes de 60 minutes mettant en lumière la personnalité attachante et inoubliable du policier Denis Côté, « véritable légende du milieu policier montréalais qui fut au cœur d’événements qui ont marqué l’histoire de la métropole pendant 30 ans ». Côté a de nombreuses années d’expérience derrière la cravate comme il a choisi de travailler sur le terrain lorsqu’il était en service. Rappelons que le policier est celui « qui a neutralisé le tireur de Dawson et c’est aussi lui qui était aux premières loges lors des émeutes de la Coupe Stanley à Montréal, pendant la fusillade de la Place Ville-Marie ». Malgré ses expériences traumatisantes qu’il a vécues tout au long de sa carrière, Denis Côté a toujours su garder un certain équilibre mental. « Cette série documentaire invitera les abonnés à suivre le parcours de cet homme ordinaire qui s’est projeté dans des situations extraordinaires à travers ses récits passionnants et les témoignages de ceux qui l’ont côtoyé, en plus de faire revivre des événements marquants du Québec ».
Bon, bon, bon, nous ne voulons certainement pas que l’été (qui vient tout juste de débuter) s’achève, mais nous devons admettre être de plus en plus impatients face à ces quatre nouvelles séries true crime auxquels nous savons d’avance que nous serons accros.
L’émission Huissiers, diffusée sur Noovo depuis 2017, fait face à de sévères critiques concernant la moralité derrière ses épisodes. Au fait, 112 organismes communautaires exigeraient le retrait des ondes de l’émission, apprenait-on dans le Journal de Montréal.
L’intrigue de la série documentaire Huissiers, nous fait voir l’univers de ceux et celles qui pratiquent la profession d’huissier. Au fil des épisodes, on est témoin de plusieurs saisies et d’expulsions de domiciles des plus dramatiques et choquantes.
Le Journal de Montréal a reçu un message de la part de Projet PAL, un organisme à but non lucratif qui vient en aide aux personnes qui sont touchées par la santé mentale. L’identité de la personne qui a écrit le message est restée secrète pour des raisons évidentes, mais a choisi le pseudonyme de Mara. Celle dernière rapporte que lorsque l’équipe de production d’Huissier est débarquée chez elle pour effectuer une saisie, elle traversait une période sombre. « C’était une journée horrible, et je n’étais pas moi-même, indique-t-elle. J’ai tout perdu cette journée-là. Je n’aurais jamais accepté de participer à l’émission si j’avais compris de quoi il s’agissait », raconte-t-elle. « Quand ils ont fait ça, j’étais malade et mon propriétaire le savait, ajoute-t-elle. Il avait pris un arrangement avec moi, et les huissiers sont quand même venus. Ce n’est pas juste. Ça a été vraiment difficile. Il y a eu des moments où j’ai pensé mettre fin à mes jours, mais j’ai persévéré et j’ai été forte », conclut-elle.
Une plainte avait été acheminée à Bell Média, à Noovo ainsi qu’à la boîte de production de la série, Pixcom, par des organismes publics, dont Projet PAL fait parti, affirmant que la façon dont les ficelles de l’émission étaient tirées, exploiteraient le malheur des locataires évincés afin de les exposer au public à titre de spectacle ou, en langage plus commun, comme s’ils étaient des bêtes de cirques.
« Les locataires qu’on évince dans l’émission sont possiblement en détresse », soutient Anne-Marie Gallant, intervenante en aide individuelle et en action collective à Projet PAL, en entrevue au Journal de Montréal. « Ils peuvent souffrir de problèmes de santé mentale, de consommation… Ce n’est pas une façon sensible et responsable d’aborder ces enjeux. C’est réducteur et sensationnaliste », peut-on lire.
Toujours rapportée par Le Journal de Montréal, la plainte reprocherait à Bell de désensibiliser les troubles du genre, ce qui est assez ironique, car Bell se dit très consciencieux face à la santé mentale. Ils ont même une journée toute spéciale appelée, Bell cause pour la cause, qui est centrée sur la sensibilisation des troubles de santé mentale. « C’est une contradiction incroyable que Bell coproduise et diffuse, par l’entremise de Noovo, cette émission. […] Être un allié, c’est d’abord ne pas nuire », peut-on lire dans le Journal de Montréal.
Les hauts dirigeants des communications de Bell Médias ont indiqué au Journal de Montréal qu’ils étaient « présentement en train d’évaluer avec Pixcom quels changements peuvent être apportés ». C’est donc une histoire à suivre.
La prochaine saison de Huissiers est actuellement en tournage et sera diffusée à l’antenne de Noovo en 2021-2022.
Après avoir signé la nouveauté de l’heure, Alertes, l’autrice Julie Hivon présente cette fois Nuit Blanche, « une saga familiale sur fond de polar ». Prévue pour la programmation 2021-2022 d’ICI Télé, la série suivra la famille Hébert, alors que Louise, la mère du clan est retrouvée morte seule dans son jardin.
C’est nulle autre que France Castel qui se glissera dans la peau de cette matriarche à la tête de Nocturne, une grande entreprise de parfumerie d’une valeur de plusieurs millions de dollars.
Sa mort suspecte viendra bousculer le quotidien de ses enfants, maintenant adultes, Charlotte (Valérie Blais), Marlène (Marilyse Bourke) et Lucas (Jean-Philippe Perras), alors que son testament les obligera à revoir leur plan de vie.
Cherchant à donner du sens à ce sombre événement, ceux-ci déterreront des secrets du passé de leur mère qu’ils n’étaient peut-être pas prêts à découvrir.
Nuit blanche nous plongera alors dans les années 70, où l’on retrouvera une jeune Louise, interprétée par Rose-Marie Perreault. D’abord, rebelle et activiste, la jeune femme deviendra une mannequin en vogue après avoir rencontré Aidrian (Nico Racicot), un homme riche qui la prendra sous son aile. Seulement ce changement de vie ne se sera pas fait gratuitement. Pour arriver au sommet, Louise a en effet dû faire bien des sacrifices…
Crédit:Radio-Canada
Outre les comédiens et comédiennes mentionnés, Antoine Pilon incarnera Vincent, l’amour de jeunesse de Louise, alors que Simon Pigeon sera Bertrand, un activiste politique dont Louise partageait les idéaux. Michel Rivard, Jean-Moïse Martin, Kim Despatis, Jean-Nicolas Verreault, Stéphanie Colle, Iannicko N’Doua, Orphée Ladouceur-Nguyen, Christian Jadah, Jessica Abruzzese, Isabelle Brouillette, Élodie Grenier et plusieurs autres compléteront la distribution de la série réalisée par Sébastien Gagné.
Nuit blanche comptera 12 épisodes d’une heure, produite par Pixcom.
C’est sur la grande terrasse réaménagée du bar Le Saint-Sulpice, à Montréal, qu’on retrouvera ce dimanche Charles Lafortune à l’animation de la nouvelle émission Bijoux de famille. Oubliez dès à présent l’animateur discret vêtu d’un veston-cravate de La Voix et dites bonjour à une version plus décontractée et mordante de l’animateur. Ce dernier se dévoile plus que jamais dans chacun des épisodes de ce variété rafraichissant qui mélange avec une surprenante aisance le stand-up et les discussions axées sur le thème central de l’émission : la famille.
On doit l’avouer, avant d’avoir eu la chance de visionner le premier épisode de cette nouveauté, on était un peu sceptiques face au nouveau concept développé par Pixcom, en collaboration avec Québecor Contenu. Reste qu’après seulement quelques minutes, on était accrochés.
Crédit:Capture d’écran
Il faut dire que l’émission part en force avec Charles Lafortune qui plonge sans ambages dans le premier numéro de stand-up de la soirée.
« Beaucoup de gens le savent, mais mon fils Mathis est autiste. Je veux dire, on ne s’en cache pas, on a fait un documentaire avec lui. En même temps, il serait dur à cacher, il a la shape du doorman des Foufounes électriques! »
Avec une telle réplique, on peut dire que ça donne le ton!
S’en suivent plusieurs autres minutes où l’animateur décrit avec aplomb les différents types de personnes qui l’abordent afin de discuter de son fils. Des supposés talents cachés des autistes jusqu’aux gâteaux qui combattraient miraculeusement le trouble, Charles Lafortune livre sans détour un texte intelligent et juste assez corrosif.
Par chance, son monologue ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd puisqu’un public fait aussi partie du décor lumineux de l’émission. Pas moins de 90 personnes ont en effet pu assister à l’émission. Ceux-ci sont donc assis sur les vingtaines de tables (placées à deux mètres de distance les unes des autres) qui occupent l’espace entre la scène et le coin discussion qui accueillent les invités de l’émission.
Crédit:Capture d’écran
Pour lancer la saison, c’est Marie-Soleil Dion, Sam Breton et Stéphane Bellavance qui sont venus rejoindre Charles Lafortune pour converser des difficultés à vivre avec un enfant différent, de la discipline parentale, des animaux de compagnie et du temps alloué aux jeux vidéo des enfants. Tous ses sujets sont d’ailleurs amenés par les différents numéros de stand-up présentés durant l’émission. On évite donc ainsi de tomber dans la formule habituelle des questions-réponses des talk-shows grâce au côté plus spontané de l’humour.
Vous l’aurez compris, tout comme Charles Lafortune, les invités doivent aussi monter sur la scène pour offrir un numéro qui leur est propre sur le thème de la famille. Pour Sam Breton, c’est une tâche pour le moins normal puisqu’il est un humoriste, mais pour Marie-Soleil Dion et Stéphane Bellavance, c’est une autre paire de manches. Les deux sont des habitués d’émissions comiques, mais il y a tout de même une différence entre jouer la comédie et faire de l’humour.
Par chance, une équipe composée de trois auteurs chevronnés est derrière les textes des invités qui n’ont pu écrire leurs monologues d’humour. Lors d’une conférence virtuelle avec Charles Lafortune, Martin Roy, producteur de l’émission, et Denis Dubois, vice-président aux contenus à Québecor Contenu, qui a eu lieu ce mardi, ceux-ci ont expliqué que c’était par l’entremise d’une rencontre par vidéoconférence que les auteurs établissaient avec l’invité le sujet de son numéro. Tout un processus créatif s’en suivait jusqu’à l’obtention d’un texte qui représentait parfaitement l’invité. Ce dernier devait par la suite roder son numéro devant l’équipe de Pixcom avant l’enregistrement de l’émission, faute de pouvoir le faire dans un bar à cause de la pandémie.
Une technique qui a porté ses fruits si on se fie au premier épisode, car Marie-Soleil Dion et Stéphane Bellavance sont solides dans leur premier stand-up en carrière. Sam Breton est de son côté égal à lui-même, en d’autres mots, excellent! On se souviendra d’ailleurs longtemps de son segment où il qualifie le jeu de piscine Marco Polo comme d’une « invention du diable »!
Crédit:Capture d’écran
Et c’est bien là aussi le secret de réussite de Bijoux de famille qui a pensé à mélanger des invités humoristes et non humoristes pour ainsi créer autant de moments loufoques que touchants, mais qui sont toujours franchement authentiques. L’ambiance y est donc chaleureuse et intime, parfaite pour les confidences et les anecdotes croustillantes qui rappellent les soirées en famille qui manquent cruellement aux Québécois depuis ses derniers mois.
C’est aussi pourquoi l’émission a été produite, car TVA souhaitait offrir une programmation automnale qui mettait de l’avant le public et les sujets qui les concernent. Une émission avec pour thème la famille était donc tout indiquée, et ça tombait bien comme le concept était déjà en développement du côté de Pixcom. Une conversation entre Charles Lafortune et Denis Dubois a par la suite suffi pour que le tout se mette en branle.
En résulte une série de 12 épisodes plus différents les uns que les autres. On y verra Gino Chouinard se fâcher à cause des rénovations tandis que Dave Morissette se moquera de la lenteur de son père pour en fait souligner sa peur de le perdre. Édith Cochrane décrira quant à elle comment elle prenait sa mère de haut avant d’indiquer que ses enfants lui font maintenant subir le même sort, alors que Kevin Raphaël s’ouvrira sur ses Noëls haïtiens. Christian Bégin se permettra au contraire de fines observations sur le nid familial. Tout cela, avec en ouverture des monologues de Charles Lafortune qui révéleront des côtés insoupçonnés de sa personne et de ses proches, bien entendu! Un fait qu’il n’a pas manqué de souligner en disant à la blague qu’il allait parfois devoir demander à sa conjointe Sophie Prégent de quitter la pièce pour éviter qu’elle entende ses confessions humoristiques!
Outre les monologues, il est aussi intéressant de souligner les surprises qui attendent certains invités, dont l’arrivée de membres de leur famille qu’ils n’ont pas vus depuis belle lurette!
Bref, Bijoux de famille est une émission qui promet, notamment grâce au dernier segment de l’émission qui s’intitule Les Petites Perles où Charles Lafortune pose des questions en rafale à ses invités. Un moment de pur délice qui permet de voir nos vedettes favorites sous un autre jour! On salue d’ailleurs Gaétan et Huguette, le roi et la reine de la danse disco dans la famille de Stéphane Bellavance.
C’est donc ce qui vous attend à compter de ce dimanche 25 octobre à 20h sur les ondes de TVA.
Pour la suite, le deuxième rendez-vous accueillera Dominic Paquet, Neev et Léane Labrèche-Dor. À ne surtout pas manquer comme cette dernière se confiera sur les talents de Kamasutra de sa grand-mère!