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Justin Bieber banni de Chine

Justin Bieber ne pourra plus venir jouer les trublions en Chine et pour cause, il vient d’être interdit de se produire sur scène dans le pays asiatique.

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« Justin Bieber est un chanteur talentueux, mais il est aussi une jeune idole étrangère à controverses. Ses mauvais comportements qu’ils soient dans sa vie privée ou sur scène ont été enregistrés. Ses manières inappropriées ont déplu à son public. Dans le but de réguler le milieu du spectacle en Chine et de purifier l’environnement du marché, il a été décidé que les artistes au mauvais comportement ne sont plus les bienvenus », a statué le pôle culture de la mairie de Pékin par voie de communiqué.

« Nous espérons que Justin Bieber sera en mesure d’améliorer sa conduite en grandissant et qu’il puisse un jour retrouver la faveur de son public », précise la mairie dans le communiqué.

Ce n’est pas la première fois que la Chine interdit à des artistes de se produire dans ses frontières.

Le gouvernement chinois avait déjà rappelé à l’ordre plusieurs artistes comme Lady Gaga, Bjork ou encore Maroon 5 pour des comportements jugés inappropriés ou irrespectueux.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Le paracétamol ne soulage pas les maux de dos

Une étude l’Université de Sydney démontre qu’en cas de lombalgie aiguë, le paracétamol n’aide pas les patients souffrants. En effet, il semblerait que la douleur n’est pas apaisée avec ce médicament qui n’aide pas à reprendre du poil de la bête rapidement.

Des tests sur un groupe qui avait de forts maux de dos et qui prenait le placebo ont prouvé que ces personnes récupéraient plus vite après avoir pris le « faux médicament » que celles qui prenaient le paracétamol.

Bien que ce soit la première étude à parvenir à de tels constats, par ailleurs publiés dans The Lancet, elle remet en question le paracétamol et ses vertus analgésiques, explique Santé Log.

Il a également été remarqué qu’outre le nombre différent de jours (17 contre 16) de récupération entre les patients qui prenaient le placebo et le paracétamol, les effets négatifs sur les niveaux de douleur, de handicap, de mobilité, de qualité de sommeil ou de vie demeuraient les mêmes dans les groupes avec ou sans paracétamol.

Rappelons qu’un médicament efficace devra être trouvé, car la lombalgie est la principale cause d’invalidité sur la planète. « La lombalgie est la maladie chronique qui entraîne le plus d’arrêts de travail chez les personnes de plus de 45 ans. C’est aussi la 3e cause de handicap chronique chez les 45-64 ans. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la lombalgie touche à un moment donné environ 33 % de la population », écrit Top Santé.

En attendant de dénicher la pilule magique, les spécialistes conseillent un suivi efficace avec un médecin.

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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

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Ces médecins qui prescrivent des placebos

Une étude surprenante en provenance de l’Angleterre dévoile des statistiques concernant les prescriptions de placebos. En fait, on parle de 97 % des médecins britanniques qui auraient déjà prescrit des placebos en guise de médication, un phénomène qui ne se limiterait pas qu’à la Grande-Bretagne.

Ces statistiques sont plutôt révélatrices d’un comportement qui semble fréquent partout dans le monde, ce qui surprend les chercheurs d’Oxford en tête de l’étude.

Les praticiens interrogés croient d’ailleurs que dans plusieurs cas, les placebos peuvent réellement « fonctionner », même s’ils ne contiennent aucun agent actif.

Cependant, plusieurs crient au scandale et au manque d’éthique de la part des professionnels de la santé, puisqu’un patient en quête d’aide veut recevoir un traitement viable, et non une illusion.

Les autres études sur le sujet démontrent cependant que ce comportement est basé sur de la bonne foi, puisque les médecins utilisent le stratagème rarement, et dans le but réel d’aider les patients.

L’effet placebo est de plus reconnu comme un principe psychologique réel. Par contre, il ne fonctionne que dans l’ignorance du patient. Les études répétées sur le sujet pourraient bien mettre un terme à ce stratagème médical…

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Des médecins qui ressentent votre douleur

De nouvelles recherches tendent à démontrer que certains médecins peuvent littéralement ressentir la douleur de leurs patients, selon The National Library of Medicine.

Aussi étonnante que spectaculaire, cette théorie semble bien réelle aux yeux des chercheurs et des auteurs de ces recherches. Pour en arriver à une telle conclusion, ceux-ci ont tout bonnement numérisé les cerveaux de plusieurs médecins placés en simulation, et ont analysé les réactions du cerveau face à leurs actions.

Surprise, plusieurs réactions empathiques ont été remarquées chez un nombre respectable de sujets, et les activités cérébrales subséquentes ont été tout aussi vérifiables.

« C’est l’effet placebo, mais du point de vue du médecin », croit Ted Kaptchuk, directeur de programme à l’école de médecine de Harvard, notamment.

Karin Jensen, coauteure de cette recherche, en rajoute : « Non seulement les médecins et praticiens ressentent l’effet miroir de la douleur de leurs patients, mais ils vont aussi créer des sentiments de soulagement et d’espoir, à l’image de ceux qu’ils traitent ».

La plupart des 18 médecins participants à cette recherche ont ressenti de l’empathie pour leurs patients, ce qui fascine les chercheurs.

D’autres ont démontré beaucoup moins d’émotions face aux patients et aux traitements qu’ils recevaient, ce qui laisse croise aux chercheurs qu’il vaudrait mieux se trouver un médecin de famille qui est capable d’empathie, pour de meilleurs traitements.

 

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La migraine infantile – un débat inquiétant sur le placebo

En d’autres mots, de nombreuses études sur les traitements possibles de la migraine chez l’enfant demeurent non concluantes à cause d’une forte réponse au placebo, selon JAMA Network.

D’autre part, certains spécialistes s’inquiètent, puisque l’on essaie des traitements pour adultes sur les enfants.

De plus, les effets secondaires de certains médicaments incluent la bouche sèche, des maux d’estomacs, de la fatigue et plus encore. Non seulement les médicaments testés sont controversés, mais les résultats sont loin d’être concluants.

La réponse au placebo étant trop forte, la réponse réelle au traitement se retrouve voilée. On parle ici non pas d’une seule étude, mais de plusieurs, étalées sur près de 20 ans.

Les plus récentes recherches, effectuées par la FDA (Food and Drug Administration) et le Medical College de Milwaukee au Wisconsin, dénotent le même résultat, affiché dans le JAMA Pediatrics.

Le Dr Jeffrey Jackson, professeur en médecine, ainsi que ses collègues ont révisé 21 recherches ultérieures. Sur celles-ci, 20 traitaient des migraines épisodiques (moins de 15 fois par mois), alors qu’une seule s’attardait sur la migraine chronique (plus de 15 fois par mois).

De toutes ces études, seuls deux médicaments se sont démarqués, c’est-à-dire qu’ils ont été plus efficaces que le placebo. Il s’agit d’un antidépresseur (trazodone) et d’un antiépileptique (topiramate), ce qui inquiète les médecins, puisqu’ils ne sont pas appropriés pour les jeunes.

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Le bouillon de poulet serait un antivirus naturel puissant

Le bouillon de poulet n’aurait pas que des propriétés psychosomatiques ou placebo, bien qu’il soit réconfortant, selon une récente étude sur le sujet.

En effet, topsante.com rapporte plutôt que selon les conclusions des chercheurs de l’étude, le bouillon de poulet serait bien plus qu’un remède de grand-mère ou une simple source de chaleur et de réconfort.

Il appert que le bouillon de poulet aurait aussi de véritables propriétés antivirales et permettrait ainsi de prévenir, guérir ou combattre la grippe.

Ce serait notamment grâce à une composante retrouvée généralement dans tous les bons bouillons de poulet : la carnosine.

Selon l’étude, publiée dans la plus récente édition de l’American Journal of Therapeutics, la carnosine permet d’attaquer l’influenza dès son apparition dans l’organisme, tout en augmentant les capacités du système immunitaire.

Plusieurs études précédentes viennent corroborer celle-ci, alors que d’autres chercheurs se sont longtemps demandé comment une « simple soupe » pouvait être aussi efficace contre un virus bien réel.

On en sait maintenant un peu plus. La carnosine, combinée à l’effet psychologique réconfortant et douillet du bouillon chaud, permet une revigoration presque instantanée.

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Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

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Comprendre l’effet placebo

L’effet placebo, soit la faculté de guérir par un médicament ou un remède qui n’en est pas un réellement, est l’un des mystères médicaux qui fascinent le plus.

Comment une pilule qui n’en est pas une peut-elle soigner? Comment un patient peut-il se croire traité alors qu’il ne l’est pas?

Des chercheurs du Beth Israel Deaconess Medical Center(BIDMC) et de la Harvard Medical Schoolont tenté de répondre à ces questions, et bien d’autres, concernant le mystère entourant « l’effet placebo », rapporte www.nlm.nih.gov.

Utilisée constamment dans des cliniques et centres pharmacologiques à travers le monde, la méthode du placebo permet entre autres de vérifier les effets d’un médicament sur un groupe de personnes en les comparant avec un autre qui reçoit un placebo.

Pourquoi certaines personnes réagissent alors comme si elles recevaient un médicament véritable? La réponse pourrait se trouver dans le bagage génétique de chaque individu. Certains, par exemple, produiraient plus de dopamine, ce qui contribue à hausser la réponse de ceux-ci devant un placebo.

On appelle ces gens des « placebos-répondeurs », et ces derniers pourraient jouer un rôle majeur dans la conception future de certains essais cliniques. Les chercheurs pensent que l’on pourra bientôt prédire quelles personnes sont des « placebos répondeurs ».

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Les progestatifs ne viennent pas en aide aux jumeaux prématurés

Selon des chercheurs néerlandais de l’Université médicale d’Utrecht Centre, l’administration de progestérone par voie vaginale n’aide pas réellement à diminuer le taux de mortalité périnatale et de morbidité néonatale sévère, en ce qui a trait aux grossesses gémellaires.

Toutefois, l’intervention pratiquée auprès d’un sous-groupe de femmes dont le col de l’utérus avait une longueur inférieure à 25 mm démontrait un certain positivisme dans la prévention de graves effets indésirables néonatals, ont déclaré les spécialistes durant une conférence de Fetal Medicine.

Leurs conclusions étant encore préliminaires, les chercheurs pensent qu’en raison de cette tendance, il pourrait être utile de faire une étude prospective des grossesses gémellaires chez les femmes présentant un col raccourci et tenter d’y reconnaître un lien.

Rappelons que l’administration de progestatifs a fait ses preuves dans les cas de grossesse prématurée d’un bébé unique. Pourtant, jusqu’à ce jour, les études sur les grossesses gémellaires ne démontrent aucun résultat clair et efficace, semant ainsi le doute chez les chercheurs.

Dans leur étude effectuée auprès de 3328 femmes enceintes de jumeaux qui avaient une durée de gestation, une masse corporelle et un âge semblable, il n’y a pas eu de différence entre la cohorte entière pour le traitement à l’aide de progestatifs et le groupe placebo en ce qui concerne la mort intra-utérine ou la naissance prématurée.