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Kourtney Kardashian mange son placenta

La vedette de téléréalité Kourtney Kardashian a révélé sur Instagram qu’elle mangeait son placenta à la suite de la naissance de son fils Reign Aston.

La femme de 35 ans a écrit : « Yummy… pilules de PLACENTA! Pas de blague… Je serai triste lorsque je n’aurai plus de pilules de placenta. Elles ont changé ma vie! »

Manger son placenta est une pratique répandue depuis longtemps en médecine chinoise pour divers bienfaits, entre autres pour combattre la dépression et le stress. Le placenta peut ainsi être consommé cuit ou ingurgité sous la forme de pilule.

Natasha Hamilton des Atomic Kitten et January Jones de Mad Men sont d’autres célébrités ayant confié avoir mangé leur placenta.

Kourtney Kardashian et son mari Scott Disick sont les parents de trois enfants. Reign Aston arrive après Mason et Penelope, respectivement âgés de 5 et 2 ans. 

Photo BANG/BIG

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Kourtney Kardashian mange son placenta

La vedette de téléréalité Kourtney Kardashian a révélé sur Instagram qu’elle mangeait son placenta à la suite de la naissance de son fils Reign Aston.

La femme de 35 ans a écrit : « Yummy… pilules de PLACENTA! Pas de blague… Je serai triste lorsque je n’aurai plus de pilules de placenta. Elles ont changé ma vie! »

Manger son placenta est une pratique répandue depuis longtemps en médecine chinoise pour divers bienfaits, entre autres pour combattre la dépression et le stress. Le placenta peut ainsi être consommé cuit ou ingurgité sous la forme de pilule.

Natasha Hamilton des Atomic Kitten et January Jones de Mad Men sont d’autres célébrités ayant confié avoir mangé leur placenta.

 

Kourtney Kardashian et son mari Scott Disick sont les parents de trois enfants. Reign Aston arrive après Mason et Penelope, respectivement âgés de 5 et 2 ans. 

Photo BANG/BIG

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Bébé et cie

40 % des décès de bébés prématurés causés par une rupture de membrane amniotique

Les scientifiques de l’Université Queen Mary de Londres croient avoir trouvé la source de 40 % des décès de bébés nés avant terme.

Medical News Today rapporte que les experts peuvent désormais expliquer en quoi consiste la rupture prématurée des membranes lors de la grossesse, qui mène à un accouchement avant la date prévue.

Ils ont utilisé des techniques de bio-ingénierie pour tester les conséquences de l’étirement répétitif des tissus de la membrane amniotique. Celle-ci protège le fœtus jusqu’à la naissance.

Ils ont pu observer la surproduction de la prostaglandine E2 (PGE2) qui endommage tant les cellules que la structure mécanique du tissu. Par conséquent, la PGE2 active la protéine de jonction communicante 43 (Cx43), qui à son tour inhibe la capacité d’étirement, menant potentiellement à la rupture de la membrane.

La recherche a été publiée dans la revue médicale Placenta et s’avère être la première étude sur le rôle de la Cx43.

Désormais, l’équipe de scientifiques s’affaire à trouver un traitement pour prévenir la rupture, et donc réparer la membrane pendant la grossesse. Ils ont déjà obtenu le financement nécessaire de la part de Rosetrees Trust.

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5 mythes de beauté chez la femme enceinte

Plusieurs mythes concernant les produits de beauté lorsque vous êtes enceinte méritent d’être rectifiés, comme l’indique Babycenter.com.

1. Coloration des cheveux – Bien que théoriquement, il y a une infime possibilité que la coloration soit absorbée par le cuir chevelu, les recherches n’ont jamais été concluantes. Vous pouvez cependant opter pour des teintures sans produits chimiques nocifs. Demandez à votre coiffeur de vous conseiller.

2. Les crèmes pour éviter les vergetures fonctionnent vraiment – Les vergetures se déploient à un niveau plus profond que la couche épidermique de surface. Même la meilleure des crèmes ne peut empêcher la peau de s’étirer ainsi. C’est surtout votre génétique qui joue sur l’élasticité de votre peau.

3. Les crèmes autobronzantes sont à proscrire – Le principal ingrédient étant la dihydroxyacétone, un élément déjà présent de façon naturelle dans notre organisme, la crème autobronzante est sans danger. Vous pouvez donc l’utiliser sans crainte pendant la grossesse.

4. Les manucures sont dangereuses – Mis à part les nausées qui risquent de vous incommoder lorsque vous ferez refaire vos ongles pendant votre grossesse, il n’y a aucune crainte à avoir. Si vous craignez les vernis à base de phtalate de dibutyle, il en existe qui en sont exempts.

5. Manger son placenta aide à avoir l’air jeune – La jeunesse éternelle est un mythe en soi. Évitez de croire en ces vertus, aucune recherche scientifique n’a été faite en ce sens non plus.

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Le placenta protège bébé des virus

Une recherche récemment conduite par une équipe de l’University of Pittsburg School of Medecine a permis de découvrir une habileté unique au placenta pour empêcher les virus d’être transmis des mères aux bébés qu’elles attendent.

Le placenta a longtemps été considéré comme n’étant rien d’autre qu’une simple barrière passive entre les futures mamans et leurs bébés. Il s’agit donc d’un bel espoir pour de futurs traitements antiviraux.

Dans la dernière publication en ligne de Proceedings of the National Academy of Sciences,  le Dr Yoel Sadovsky déclare : « Les résultats ont révélé d’élégants et complexes changements subis par les trophoblastes, les cellules du placenta, afin d’empêcher les fœtus d’être atteints. Nous espérons pouvoir utiliser ces nouvelles données afin de développer de nouvelles thérapies contre les infections virales ».

Il s’agit là d’un espoir fort raisonnable, alors qu’un test s’est montré encourageant. Les chercheurs ont transféré une quantité de trophoblastes dans un environnement liquide ne provenant pas de cellules de placenta, mais qui est tout de même devenu résistant aux virus. Preuve que ces cellules pourraient éventuellement être exploitées pour traiter d’autres affections.

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Détection de l’autisme par l’analyse du placenta

Imaginez que vous évitiez ces années d’incertitude avec votre enfant, puisque selon la gravité de la maladie, il peut être long de poser le diagnostic du spectre de l’autisme.

En fait, la recherche a été menée auprès de femmes dont l’historique familial suggérait une prédisposition à l’autisme ou qui avaient déjà eu un enfant atteint de la maladie. Le fait de choisir un échantillonnage plus ciblé et de le comparer au placenta de femmes sans historique du genre a permis de découvrir un marqueur génétique important.

Le placenta des femmes prédisposées présentait une surface rugueuse, en plus de cavités éparses, parfois jusqu’à une quinzaine. La formation de ces petits trous était caractéristique d’inclusions du trophoblaste (SIT), lesquelles étaient absentes des autres placentas.

Cette trouvaille est très encourageante, tel que le mentionne la revue Biological Psychiatry de laquelle sont tirés ces résultats. Du moins, ils sont suffisamment concluants, même si d’autres travaux s’avèrent nécessaires, pour considérer la possibilité de traitements préventifs. Ceux-ci pourraient notamment améliorer les symptômes comportementaux, puis optimiser le développement de l’enfant.

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Consommation de cannabis durant la grossesse : complications imminentes

Les chercheurs ont découvert que l’une des composantes du cannabis, les endocannabinoïdes, a une incidence directe sur les risques de prééclampsie chez la mère, en plus d’affecter les fonctions du placenta.

C’est ce que révèle l’étude des experts de la Division of Reproductive Scientists, au Centre médical de l’hôpital pour enfants de Cincinnati. Selon medicalnewstoday.com, les trophoblastes (cellules embryonnaires primaires) jouent un rôle critique pour la santé de la grossesse. Celles-ci sont responsables de la formation du placenta et présentent des anomalies biologiques lorsque combinées aux cannabinoïdes.

La prééclampsie, quant à elle, se manifeste par une pression artérielle élevée et une détection importante de protéines dans l’urine. Elle peut causer la mort dans les cas les plus graves.

Les auteurs de l’étude, Sudhansu K. Dey, Huirong Xie et Xiaofei Sun, ont révélé que « les conclusions de cette recherche augmentent les préoccupations quant au reste de la grossesse. Les cannabinoïdes atteignent également le système nerveux central, et d’autres études seront nécessaires afin de déterminer s’ils en altèrent aussi la fonction lors de la migration des cellules souches ».

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À quand l’ingestion du placenta?

Si presque tous les mammifères non humains consomment leur placenta ou une partie de celui-ci après l’accouchement, c’est qu’il y a sûrement de bonnes raisons… mais quelles sont-elles et pourquoi la mère humaine ne le fait-elle pas?

Selon un article de neuroscientifiques de l’Université de Buffalo et du Buffalo State College, qui paraîtra le 30 mars dans la revue Ecology of Food and Nutrition,l’ingestion du placenta chez l’humain mérite une étude approfondie.

Plusieurs bienfaits sont déjà montrés chez l’animal, qui connaît habituellement des accouchements plus nombreux, un travail plus facile et une meilleure récupération après avoir donné la vie que l’humain.

En effet, l’ingestion du placenta, ainsi que l’ingestion de liquide amniotique par des mères mammifères, provoque une augmentation de l’interaction mère-enfant et augmente les effets analgésiques et méditatifs durant l’accouchement.

Il potentialise également des circuits opioïdes dans le cerveau de la mère, qui facilitent l’apparition du comportement maternel pour prendre soin de son petit et suppriment la pseudo gestation et dépression post-partum, ce qui augmente les possibilités de fécondation à nouveau.

Depuis un certain temps, la société connaît un engouement pour l’ingestion de placenta en capsules. Les spécialistes croient que de nouvelles recherches n’auraient pas pour but « une exhortation pour les femmes à manger le placenta, mais plutôt pour les scientifiques d’isoler et d’identifier la ou les molécules qui produisent l’effet bénéfique et de l’utiliser pour concevoir des outils pharmacologiques ».

Des études antérieures ont d’ailleurs prouvé que dans le cas des opioïdes analgésiques et, il y a un effet bénéfique aussi chez les autres humains qui ne portent pas d’enfants.

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Obésité : effets néfastes sur le bébé durant la grossesse

La mise en place, le maintien et la réussite de la grossesse reposent sur différents mécanismes immunologiques. Un déséquilibre dans ces mécanismes engendre des résultats défavorables durant la grossesse.

Dans une étude publiée dans Advances in Neuroimmune Biology, des chercheurs du Royaume-Uni ont examiné le lien entre l’obésité maternelle et l’inflammation des tissus chez la mère et le poupon.

Due au développement des gènes de cytokines, l’obésité maternelle est associée à une inflammation du placenta.

Il semblerait que les femmes enceintes obèses ont des niveaux élevés d’interleukine-6 (IL-6). Ces derniers se retrouvent également en forte proportion dans le plasma du cordon des bébés, et sont associés à l’adiposité fœtale accrue.

L’adiposité fœtale accrue peut notamment engendrer de l’hypertension et augmenter l’activité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien de l’enfant, une fois adulte.

L’impact négatif de l’obésité maternelle sur la fonction immunitaire de la mère et de l’enfant consiste en une augmentation du risque de prééclampsie (hypertension artérielle gravidique), probablement via l’inflammation de triglycérides.

L’augmentation de l’indice de masse corporelle de la mère est aussi associée à un risque accru de mortalité néonatale du groupe B, l’apparition précoce de streptocoques et un risque accru d’infections des voies respiratoires.

De plus, l’hyperactivité de la fonction inflammatoire à la naissance est liée au développement des maladies allergiques dans l’enfance.

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Placentophagie : ces mamans qui mangent leur placenta

Quelques jours après la naissance de leur enfant, des femmes demandent à récupérer cette partie d’elles-mêmes afin de la déguster séchée en gélules ou cuisinée en soupe.

Certains professionnels américains se seraient même spécialisés dans le traitement des placentas, mettant en place des techniques d’encapsulage pour permettre la consommation.

Les mamans soulignent leur volonté de se prémunir contre les maladies, car le placenta est riche en vitamine B12 et en fer, mais aussi d’éviter la dépression post-partum.

Pour la psychanalyste et auteure de De l’exil à l’enfantement, liens racinaires, liens placentaires, Brigitte Mytnik, c’est surtout pour ces mères une manière de faire le deuil de leur grossesse.

« Les mamans ont parfois le sentiment d’être dépossédées de quelque chose. Le placenta ingéré fait alors office de “réappropriation” du corps », déclare-t-elle.

Pathologique vous direz? Sachez que même des hôpitaux américains ont décidé d’établir des directives légalisant la placentophagie pour permettre aux femmes d’être libres de leur corps, mais faire en sorte que le tout soit réalisé dans la plus grande hygiène.