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Gigantesque poursuite contre Ed Sheeran

Le chanteur Ed Sheeran est dans l’eau chaude. On l’accuse d’avoir plagié une autre chanson avec sa pièce Photograph. 

Les auteurs Martin Harrington et Tom Leonard ont déposé hier (8 juin) une poursuite au tribunal de Los Angeles contre le chanteur britannique Ed Sheeran, gagnant du concours musical The X Factor.

Selon les plaignants, l’énorme succès Photograph copie leur chanson Amazing endisquée en 2012 par le chanteur anglais Matt Cardle. Le duo réclame 20 millions de dollars pour des royautés impayées, et en dommage et intérêts.

Devant la cour, les auteurs affirment que Photograph reprend 39 notes identiques à la chanson Amazing. Ils affirment aussi que les deux chansons ont une structure similaire, les mêmes rythmiques et harmonies.

Photograph d’Ed Sheeran est paru sur le deuxième disque du chanteur, X, en 2014. Plus de trois millions de copies de la chanson ont été vendues à ce jour. Le clip issu de la chanson a été vu plus de 200 millions de fois sur YouTube.

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Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

Photo : BANG/BIG

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Taylor Swift poursuivie pour 42 millions de dollars

Une poursuite a été intentée contre Taylor Swift en lien avec son hit Shake It Off, rapporte le New York Daily News.

L’artiste R&B Jesse Braham poursuit en effet Swift pour la coquette somme de 42 millions de dollars, lui qui accuse la chanteuse de plagiat.

Selon Braham, Swift aurait « emprunté » des paroles de sa chanson Haters Gone Hate, écrite en 2013, pour ensuite les utiliser dans Shake It Off. Cette dernière s’est avérée la chanson phare du nouvel album de Taylor Swift, 1989, en 2014.

Alors que Shake It Off comprend les paroles ‘cause the players gonna play, play, play, play, play / And the haters gonna hate, hate, hate, hate, hate / And the fakers gonna fake, fake, fake, fake, fake, la chanson de Braham comprenait plutôt Haters gone hate, playas gone play… Watch out for them fakers, they’ll fake you everyday.

« Son refrain est le même que le mien. Si je n’avais pas écris Haters Gone Hate, il n’y aurait pas de Shake It Off », lance sans hésitation Jesse Braham, qui se fait appeler Jesse Graham.

Ce dernier souhaite non seulement obtenir des millions en réparation, mais également être reconnu comme coauteur de Shake It Off.

Comparez Haters Gone Hate, de Jesse Braham alias Jesse Graham…

… à Shake It Off, de Taylor Swift. 

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Plagiat de Blurred Lines, amende revue à la baisse

Les chanteurs Robin Thicke et Pharrell Williams doivent respirer un peu mieux. Un jugement en appel fixe l’amende pour plagiat à 5,3 millions de dollars, au lieu des 7,4 initialement imposé.

Mais ce n’est pas tout, en plus de la somme de 5,3 millions que devront débourser les deux stars de la chanson, le jugement prévoit que 50 % des futures redevances en droit d’auteur récolté par Blurred Lines seront aussi remis aux plaignants.

Mais pour Robin Thicke et Pharrell Williams, il s’agit d’une demi-victoire. Les deux vedettes souhaitaient faire infirmer la décision rendue en cour de première instance. À ce chapitre, ils ont été déboutés par la cour.

Ainsi, la famille du regretté Marvin Gaye, qui accusait Robin Thicke et Pharrell Williams d’avoir copié la chanson Got to Give it Up, remporte une victoire satisfaisante.

Photo : BANG/BIG

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Blurred Lines : Pharrell commente le jugement de 7,3 millions de dollars

Pharrell Williams commente pour la toute première fois le jugement rendu dans « l’affaire Blurred Lines », et qui condamnait le chanteur et son collègue Robin Thicke à verser 7,3 millions de dollars à la descendance du regretté Marvin Gaye.

La Cour ayant statué que Williams et Thicke s’étaient trop largement « inspirés » de la chanson originale Got To Give It Up de Marvin Gaye, celle-ci a finalement tranché en faveur de la famille de Gaye dans la cause entendue.

Or, selon Pharrell Williams, ce jugement « paralyse » l’industrie du divertissement en entier, et met un frein à liberté de création et à la créativité.

« Le verdict handicape tous les créateurs qui font quelque chose inspirée de quelqu’un d’autre. Ça s’applique à la mode, la musique, le design… tout. Si nous perdons notre liberté de créer, nous allons un jour nous réveiller avec une industrie du divertissement paralysée en litiges. Ceci est à propos de la protection de la propriété intellectuelle des gens qui ont des idées. Tout ce qu’il y a dans une pièce autour de vous a été inspiré par quelqu’un, ou quelque chose », lance Pharrell Williams en entrevue avec The Financial Times.

L’avocat qui représente Pharrell Williams et Robin Thicke a pour sa part assuré que ses clients « dormaient bien la nuit », en sachant qu’ils n’avaient pas copié la chanson originale de Marvin Gaye.

Ces derniers pourraient maintenant porter la cause en appel, rapporte le Rolling Stone.

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La famille de Marvin Gaye s’intéresse aussi à Happy

Après avoir reçu un jugement favorable de la Cour dans la cause qui les opposaient à Pharrell Williams et Robin Thicke dans « l’affaire Blurred Lines », voilà que les membres de la famille de Marvin Gaye s’intéressent à un autre hit créé par Pharrell.

La descendance de Marvin Gaye parle maintenant de certaines ressemblances entre le super-hit Happy et une chanson de ce dernier, rapporte Digital Spy.

Selon la famille de Gaye, Happy démontre des similitudes évidentes avec la chanson Ain’t That Peculiar.

« Je ne mentirai pas. Je crois en effet qu’elles se ressemblent », a notamment déclaré l’ex-femme de Marvin Gaye, Janis.

La famille du regretté chanteur n’aurait cependant pas l’intention d’y aller d’une nouvelle action en justice à ce moment-ci.

Celle-ci s’est vue octroyer 7,3 millions de dollars par le tribunal, qui lui a donné raison dans le jugement de l’affaire Blurred Lines.

Happy a vendu plus de 10 millions d’unités depuis sa sortie, en 2013.

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Procès pour plagiat : Robin Thicke joue du piano en Cour

C’est un moment un peu inhabituel pour la Cour fédérale de Los Angeles qu’a offert le chanteur Robin Thicke lors du procès visant à déterminer l’origine de la chanson Blurred Lines.

Pour démontrer que « plusieurs chansons partagent les mêmes accords et mélodies », Robin Thicke s’est exécuté au piano afin de proposer aux membres de la Cour un pot-pourri de chansons pop comme With Or Without You de U2, Let It Be par les Beatles, No Woman No Cry de Bob Marley, et Man In The Mirror de Michael Jackson.

La démarche s’inscrit bien sûr dans la défense des avocats de Robin Thicke, Pharrell Williams et T.I., qui doivent démontrer qu’il n’y a pas eu plagiat de la chanson Got To Give It Up, de Marvin Gaye.

C’est d’ailleurs la famille de ce dernier qui poursuit les trois artistes. Ceux-ci, dont le fils de Marvin Gaye, estiment que l’équipe de Thicke ont aussi copié la chanson After The Dance de leur père, sur la chanson Love After War.

Le procès se poursuit, et devrait durer huit jours au total.

Pharrell Williams, T.I. et Paula Patton seront tous appelés à témoigner dans cette affaire.

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Michel Hazanavicius accusé d’avoir plagié pour The Artist

Le scénario de Michel Hazanavicius pour The Artist aurait été plagié, selon un scénariste qui clame haut et fort que le réalisateur lui a tout bonnement volé son script.

La nouvelle, rapportée par Voici et originalement publiée par Hexagones, a de quoi étonner. À commencer par le principal intéressé, Hazanavicius, qui assure à ses fans qu’il n’a absolument rien à se reprocher.

Michel Hazanavicius et le producteur Thomas Langmann devront toutefois se défendre, puisqu’une procédure judiciaire aurait officiellement été déposée par le plaignant, un certain Christophe Valdenaire.

Selon ce dernier, des ressemblances trop évidentes sont facilement notables entre l’oeuvre de Hazanavicius et la sienne, créée entre 1998 et 2009.

Hazanavicius affirme toutefois le contraire : « … le scénario de Valdenaire n’a absolument rien à voir avec mon film ni avec le scénario, que j’ai écrit d’ailleurs. Je ne sais pas dans quelle mesure il est convaincu ou pas qu’il y a plagiat, mais le fait est que cela n’a rien à voir. Après, il a tout à fait le droit de m’attaquer, et moi je me défends. La meilleure réponse que je peux donner, c’est : lisez son scénario et comparez les films! »

L’affaire devrait être entendue en 2015.

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Michel Hazanavicius accusé d’avoir plagié pour The Artist

Le scénario de Michel Hazanavicius pour The Artist aurait été plagié, selon un scénariste qui clame haut et fort que le réalisateur lui a tout bonnement volé son script.

La nouvelle, rapportée par Voici et originalement publiée par Hexagones, a de quoi étonner. À commencer par le principal intéressé, Hazanavicius, qui assure à ses fans qu’il n’a absolument rien à se reprocher.

Michel Hazanavicius et le producteur Thomas Langmann devront toutefois se défendre, puisqu’une procédure judiciaire aurait officiellement été déposée par le plaignant, un certain Christophe Valdenaire.

Selon ce dernier, des ressemblances trop évidentes sont facilement notables entre l’oeuvre de Hazanavicius et la sienne, créée entre 1998 et 2009.

Hazanavicius affirme toutefois le contraire : « … le scénario de Valdenaire n’a absolument rien à voir avec mon film ni avec le scénario, que j’ai écrit d’ailleurs. Je ne sais pas dans quelle mesure il est convaincu ou pas qu’il y a plagiat, mais le fait est que cela n’a rien à voir. Après, il a tout à fait le droit de m’attaquer, et moi je me défends. La meilleure réponse que je peux donner, c’est : lisez son scénario et comparez les films! »

L’affaire devrait être entendue en 2015.

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Lucky 13 dépose une poursuite contre Taylor Swift

Taylor Swift pourrait bien apprendre à la dure l’existence et l’application des lois sur les droits d’auteur, alors qu’une princesse de la pop ne peut pas pour autant faire tout ce qu’elle veut en affaires.

Selon ce que rapporte ELLE Canada, la chanteuse pop country est la cible d’une poursuite judiciaire intentée par le propriétaire de la collection de vêtements Lucky 13, pour des motifs d’utilisation de son image et de sa marque sans autorisation.

Le directeur de Lucky 13, Robert Kloetzly, estime que Taylor Swift utilise abondamment son image et ses techniques de marketing dans ses clips et lors de ses apparitions publiques, allant même jusqu’à carrément apposer la signature Lucky 13 sur certains de ses t-shirts en vente dans sa boutique en ligne.

Taylor Swift se défend bien de voler Kloetzly. Elle explique que le nombre 13 est son favori et qu’il lui porte chance. La chanteuse, née un 13 décembre, poursuit en mentionnant que « chaque fois que le nombre 13 apparait dans sa vie, c’est un bon signe ».

Quoi qu’il en soit, lorsqu’une marque de commerce est protégée, nul ne peut l’utiliser, même s’il s’agit de sa propre date de naissance. Taylor Swift semble partir en retard dans la compréhension de cette poursuite qui apparait légitime.

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Shia LaBeouf quitte le monde du cinéma

Shia LaBeouf est pourtant au sommet de sa carrière, avec le controversé Nymphomaniac et son rôle dans Fury aux côtés de Brad Pitt. Mais des rumeurs de plagiat, qui poursuivent l’acteur depuis septembre 2012, ont eu raison de lui.

Sur Twitter, on peut lire : « À la lumière des récentes attaques à l’encontre de mon intégrité artistique, je me retire de toute vie publique ». Il a ajouté : « À tous ceux qui m’ont soutenu, je vous envoie mon amour ».

Shia LaBeouf a été accusé de plagiat des œuvres du romancier David Clowes, et ce, plus d’une fois dans la dernière année. Notamment, un court métrage de l’acteur, Howard Cantour.com, serait en grande partie tiré du livre Justin M. Damiano de Clowes.

Us Magazine rapporte que l’avocat de l’écrivain, Eric Reynolds, indiquait que son client étudiait ses recours juridiques.

Et le comportement erratique de Shia LaBeouf ne s’arrête pas là. Rappelons qu’il a aussi irrité Brad Pitt pendant le tournage de Fury. LaBeouf avait cessé de se laver pour s’imprégner de son personnage. Il se serait même arraché une dent pour ressentir la douleur des soldats.

L’acteur aurait aussi pris de l’acide pour entrer dans son personnage de Charlie Countryman et envoyé des photos de son pénis pour avoir le rôle dans Nymphomaniac.