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Des plombages qui affectent le comportement

Des chercheurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont étudié 534 enfants ont remarqué de minimes changements dans la façon d’être et d’agir de ces derniers, lorsque ceux-ci avaient au moins deux plombages à base de BPA.

Sur une période de cinq ans, il est ressorti que les enfants qui avaient le plus grand nombre de plombages à base de BPA avaient plus de problèmes émotionnels à la fin de l’enquête que ceux qui détenaient moins de ces plombages.

Les chercheurs ont également découvert qu’étrangement, il n’y avait pas de changements comportementaux chez les petits qui avaient d’autres types de garnitures, comme l’uréthane, pour leurs plombages, révèle l’étude qui paraîtra en août dans la revue Pediatrics.

Mentionnons que des études antérieures liaient le BPA à l’hyperactivité et au comportement agressif chez certains enfants.

Dans les années 90, rappelons que le BPA était devenu le pilier pour le traitement des caries, car la substance avait été dite beaucoup plus naturelle et sécuritaire que les amalgames contenant du mercure, explique le dentiste Burton Edelstein.

Bien que cette nouvelle étude soulève des inquiétudes, qu’une solution de rechange aux plombages à base de BPA devrait être envisagée et que l’étude ait trouvé une association entre les matériaux dans les obturations et les comportements, il n’y a pas de relation de cause à effet.

Des spécialistes suggèrent tout de même aux parents de choisir les plombages de leurs enfants avec un composite blanc sans BPA plutôt qu’argenté.

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Les emballages de plastique néfastes pour la santé

C’est ce qu’une étude publiée dans le journal Environmental Health Perspectives révèle.

D’autres études ont également démontré que les phtalates — des corps gras acides utilisés pour augmenter la flexibilité, la longévité et la transparence du plastique — transpercent les aliments par les équipements, les gants des emballeurs, les encres des étiquettes ou encore les plastiques utilisés par les agriculteurs eux-mêmes.

Il y a longtemps que les gouvernements sont au courant de ce phénomène. Pourtant, la Food and Drug Administration (FDA) considère ces produits comme « additifs alimentaires indirects » et en a approuvé plus de 3000 depuis 1958.

En fait, la FDA juge ces substances selon la quantité qui serait susceptible d’aboutir dans l’assiette de quelqu’un. Si cette quantité est assez faible, aucun test supplémentaire n’est effectué.

« Ça n’a pas de sens de réguler la sécurité des aliments si on les vend dans des emballages non sécuritaires », déplore la directrice du programme et de la politique du Breast Cancer Fund, Janet Nudelman.

De plus, le fait que certains de ces produits aient été validés par les scientifiques dans les années 60 inquiète les experts, qui affirment que leurs connaissances sur la santé ont bien changé depuis.

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Le bisphénol A aussi lié à l’obésité et au diabète de type 2

Bien qu’une mauvaise alimentation et un mode de vie sédentaire soient pointés du doigt pour le taux grandissant d’obésité, des chercheurs ont découvert une nouvelle cause cachée à ce fléau.
 
Déjà reconnu comme nocif pour les femmes enceinte et même cancérigène pour l’homme, le bisphénol A (BPA) est encore utilisé dans certains pays pour la fabrication de plastiques et de récipients alimentaires. Au Canada, le BPA est sur la liste des substances toxiques.
 
Selon l’étude parue dans le PLoS ONE, même une infime quantité de BPA est suffisante pour causer une réaction hormonale dans le corps, trompant ainsi ce dernier en lui faisant croire que vous avez mangé plus de nourriture qu’en réalité.
 
De plus, cela affecte le pancréas qui produit l’insuline. Ainsi, le BPA est aussi lié à l’obésité et au diabète de type 2.
 
On estime que dans le monde, 90 % de la population des pays développés ont un taux élevé de BPA dans le sang. Des données plutôt inquiétantes qui doivent être étudiées en profondeur.
 
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Le syndrome de Down relié aux BPA

Le bisphénol A est sous la loupe depuis quelques années. Les possibles conséquences d’une exposition à cette substance omniprésente dans les produits en plastique sont de plus en plus nombreuses.

Cette fois, on apprend dans Human Reproduction qu’elle peut altérer le développement des ovocytes et des futurs ovaires chez la femme. Cet effet réduirait possiblement la fertilité de la progéniture de la femme, en plus d’augmenter la prévalence du syndrome de Down dans les générations suivantes.

Rappelons que le syndrome de Down est ce que nous appelons couramment la trisomie 21. Il s’agit d’une maladie chromosomique congénitale qui est engendrée par un chromosome surnuméraire à la 21e paire. Ses signes physiques sont reconnaissables, et elle entraîne un retard cognitif. La trisomie 21 est la maladie génétique la plus commune.

Des chercheurs ont analysé plus de 21 000 ovocytes in vitro pour établir cette corrélation. L’exposition aux BPA aux degrés permis par les autorités de la santé comporterait en fait des dangers pour le fœtus.

Le risque d’échange de chromosome se trouverait par ailleurs doublé par cette exposition. L’analyse du chromosome 21 en particulier, dans le développement de 90 ovocytes, a indiqué un plus grand risque du syndrome de Down chez la future progéniture du fœtus.

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Le plastique toujours dangereux pour les enfants

Des évaluations de l’Université de Göteborg en Suède révèlent qu’un grand nombre d’objets autour de nous comporteraient un danger pour la santé.

Parmi 13 articles en plastique destinés aux enfants, 5 libéraient des substances toxiques. On comptait parmi eux des jouets pour le bain et des flotteurs.
C’était aussi le cas du tiers des objets testés lors de la même étude, selon Medical News Today.
 
Au total, 83 articles neufs en plastique (PVC ou polyuréthane), en époxy et en tissu synthétique (fibres plastiques) ont été plongés dans l’eau désionisée durant 1 jour. Par la suite, l’eau était analysée.
 
Les polymères de plastique se sont avérés les plus dangereux quant à leur libération de substances chimiques. Il s’agit entre autres de certains PVC, polyuréthanes et polyacrylonitriles.

Ces résultats sont très inquiétants, étant donné que la production de plastique mondiale a doublé au cours des 15 dernières années.

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Un emballage plastique pour tuer les bactéries

Des chercheurs israéliens ont mis au point un emballage de plastique qui est capable de tuer les bactéries qui rendent les aliments avariés.
Selon le journal Langmuir, ce « papier tueur » serait recouvert de nanoparticules d’argent 50 000 fois plus fines qu’un cheveu humain.
 
Déjà, on utilise les nanoparticules d’argent dans certaines pommades médicales, dans les chaussettes anti-odeur et dans les produits pour éliminer les bactéries des cuisines et salles de bain.
 
Selon les tests réalisés, en trois heures, le papier d’emballage a tué toutes les bactéries E. Coli et S. Aureus qui sont responsables de la majorité des intoxications alimentaires.
 
D’autres recherches doivent cependant être effectuées avant de pouvoir offrir ce produit innovateur sur le marché.
 
Par contre, dans quelques années tout au plus, il sera donc possible de conserver sainement les aliments sans danger. En ce moment, les bactéries posent problème, car elles deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques qui sont utilisés dans l’industrie de l’alimentation.
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Les tapis casse-tête en mousse sont potentiellement dangereux

On recommande de retirer les populaires tapis casse-tête en mousse par mesure préventive. Plusieurs contiendraient des substances nocives pour la santé.

Ces tapis contiennent du formamide, qui est souvent employé pour rendre le plastique et le caoutchouc plus souple.

Or, cette substance peut être dangereuse si elle entre en contact avec la peau ou si elle est inhalée. Elle se dégagerait du tapis de manière décroissante durant les premières semaines d’utilisation.

Des échantillons des tapis en question ont été analysés en Belgique et la substance s’y trouvait toujours, malgré la demande de ne plus l’utiliser.

Déjà, plusieurs centres de la petite enfance ont retiré ces tapis en mousse dans les locaux où l’on en trouvait.

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Les enfants ingèrent quotidiennement 80 substances chimiques

Générations futures, une association écologiste européenne, a analysé 4 repas types ingérés par des enfants de 10 ans environ.

On a ainsi découvert que les enfants ingèrent en moyenne 80 substances chimiques chaque jour, comme vu dans Le Parisien.

Les repas en question comprenaient cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers, un litre et demi d’eau et des bonbons. Dans ce menu, pas moins de 81 substances chimiques ont été relevées.

Parmi celles-ci, 5 étaient cancérigènes et 42 autres pouvaient l’être. De plus, 37 substances ont été reconnues comme pouvant avoir un effet négatif futur sur le système endocrinien.

Toutefois, il faut mentionner que chacune de ces substances ne dépassait pas les limites légales. Malgré tout, le grand nombre de cancers chez les enfants devraient nous inciter à évaluer notre mode de vie et notre environnement.

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Le plastique, toujours dangereux pour les enfants

Il semble que le simple fait pour un enfant de mâchouiller la gomme à effacer au bout de son crayon serait potentiellement dangereux, nous apprend Parentcentral.

C’est que les composantes de la gomme, mêlées à la salive, entreraient dans l’organisme, pouvant ainsi entraîner des dommages à long terme quant à la fertilité.

Récemment, un consortium de 140 groupes environnementaux s’est penché sur la question, présentant un rapport sur le sujet. Il en ressort que les composés chimiques potentiellement dangereux se retrouvent par douzaines dans la vie de tous les jours.

L’étude était basée sur un groupe de composés, les phtalates. Depuis 1999, 6 d’entre eux ont été interdits en Europe dans la fabrication de jouets. Ils sont liés aux désordres du développement sexuel chez l’enfant.

Or, les phtalates sont fréquemment utilisés, notamment pour rendre le plastique plus flexible. Il en existe 25, lesquels se retrouvent dans les chaussures, planchers et portes de voiture, entre autres.

L’industrie chimique en produit 6 millions de tonnes par années. Plusieurs suspectent leur responsabilité dans la chute de la fertilité masculine des dernières années.

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Un nouveau jouet pour enfants fait l’objet d’une mise en garde

Santé Canada a émis un avis concernant une voiture pour trier des formes destinée aux jeunes enfants.
Ce jouet de plastique représente une Volkswagen Beetle. Elle contient 12 formes de plastique découpées que l’enfant doit passer dans les trous appropriés du véhicule pour trier les formes.
 
Le produit qui fait l’objet de la mise en garde porte le CUP 017251525466.
 
On émet une mise en garde, car les autorités jugent que la forme ronde et rouge qui porte le chiffre 9 est trop petite et représente un risque d’étouffement pour les jeunes enfants.
 
Aucun accident ou blessure n’a été signalé, mais on demande aux parents de retirer cette pièce et de la jeter aux poubelles.
 
Les jouets ont été vendus au Canada entre août 2007 et juin 2010.
 
Pour plus d’informations, il est possible de communiquer avec la compagnie qui distribue ce jouet au pays, Richfort Enterprises, au 1-866-372-7388.