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Un nouvel analyseur de pleurs de bébé

Comprendre les pleurs de bébé… ne serait-ce pas magnifique? Nous ne sommes apparemment plus si loin de ce qui semblait relever de la science-fiction il y a quelques années à peine, lit-on sur Medical News Today.

Pourtant, des chercheurs de l’Université Brown et de la Women & Infants Hospital du Rhode Island ont mis au point un outil qui le rend possible. L’appareil analyse les différentes acoustiques produites et les compartimente par son, par volume, par silence et par caractéristique de fréquence.

L’intérêt des chercheurs ne date pas d’hier. Ce sont en fait de vieilles recherches des années 1960 qui ont été reprises. À ce moment, le phénomène du « cri du chat » avait attiré l’attention des spécialistes.

La maladie du cri du chat, ou syndrome de Lejeune, est un trouble génétique rare qui est dû à une délétion d’une partie du chromosome 5. Le nom de cette maladie vient du cri monochromatique aigu qui permet son diagnostic. La plupart des enfants atteints décèdent à un jeune âge, et les survivants ont un profond retard mental.

Comme cette maladie est détectable par les cris, on pense que plusieurs autres pourraient ainsi être découvertes très tôt après la naissance d’un bébé, pour ainsi lui offrir un soutien le plus tôt possible.

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Réaction aux pleurs de bébés : la différence entre homme et femme

Les parents l’ont tous vécu. Bébé se met à pleurer, et maman trouve papa un peu trop calme devant la détresse du petit. Le contraire est aussi vrai.

Voilà qu’une étude vient mettre en lumière les raisons de la différence de réaction entre les hommes et les femmes à ce sujet.

Famili.fr présente les résultats d’une étude réalisée par les National Institutes of Health (NIH) aux États-Unis. La recherche toute simple a été effectuée auprès de 18 hommes et femmes à qui il était demandé de laisser vaquer leur esprit dans un environnement calme.

À un certain moment, la tranquillité était remplacée par un enregistrement de pleurs de bébé. Comme les participants étaient branchés à une IRM, les spécialistes ont pu observer les réactions cérébrales des zones préfrontales, dorsales, médianes et cingulaires de chacun.

Les résultats ont démontré que, parents ou non, les hommes ne ressentaient aucun stress particulier. Les femmes, par contre, se mettaient immédiatement en mode alerte.

Pertinemment, ces zones cérébrales sont, entre autres, responsables de la résolution de problèmes complexes, de la récupération de souvenirs en mémoire à long terme, des stratégies d’organisation, du contrôle des fonctions autonomes, de l’initiation de la récompense, l’intention, l’inhibition et du traitement de conflits ou d’erreurs.