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Les pleurs de bébé affectent les gens

Des scientifiques britanniques ont déclaré que les pleurs de bébés provoquaient des réactions plus hâtives auprès de la population.

Une étude a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford par le biais du jeu d’arcade classique Whack-A-Mole.

Ils ont constaté que la dextérité et les coups de pied des adultes dans le jeu étaient plus rapides, plus immédiats et plus forts lorsqu’ils entendaient des bébés en pleurs plutôt que des sons d’adultes en détresse ou de forts gazouillis d’oiseaux.

L’équipe de recherche a comparé les résultats de 40 bénévoles jouant Whack-A-Mole, ce jeu vidéo qui consiste à frapper aléatoirement des indices lumineux.

Selon les spécialistes, peu de sons provoquent une réaction aussi viscérale que le cri d’un bébé. Ils déclarent : « Par exemple, il est presque impossible d’ignorer un bébé qui pleure en avion, en dépit de tous les autres bruits et les distractions autour ».

Les scientifiques ont déclaré que leur travail n’était pas un exercice purement théorique, alors qu’il pourrait aider les chercheurs qui étudient les femmes atteintes de dépression postnatale. Selon eux, elles souffrent peut-être d’une quelconque sorte de perturbation, en lien avec les cris et les pleurs de bébé.

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Prévenir le syndrome du bébé secoué

Quoiqu’on en parle de plus en plus ouvertement, le syndrome du bébé secoué demeure une forme de maltraitance encore méconnue. Ce traumatisme crânien touche des bébés de moins d’un an, et surtout de moins de six mois. La récidive se produit dans la moitié des cas.

On peut donc lire sur le Web des recommandations sur le sujet provenant de la Haute Autorité de Santé (HAS), une instance française; elles sont publiées sur son site. Des renseignements sont offerts aux professionnels de la santé, en vue de diagnostics plus rapides du syndrome, ainsi que des conseils aux parents, notamment.

Le premier à suivre, pour les parents d’un nourrisson, est de se retirer, « se mettre à l’écart », lorsqu’ils se sentent énervés ou exaspérés; ils doivent plutôt demander de l’aide à leurs proches. Si les pleurs du bébé sont incessants, on le couche dans son lit, sur le dos, et l’on s’isole.

Malgré tout, on rappelle que si les gestes de secousse peuvent être dangereux pour bébé, il n’y a pas de danger lorsqu’on lui fait faire l’avion ou qu’on le lance dans les airs pour le faire rire.

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Que veulent dire les pleurs de bébé?

Selon une étude allemande parue dans The Cleft Palate-Craniofacial Journal, on pourrait déceler des retards de langage chez un enfant dès son plus jeune âge. Il semble que les pleurs d’un bébé en disent long sur la façon dont il parlera.

Mentionnons tout d’abord que les très jeunes enfants ont des pleurs que l’on appellera ici une mélodie de pleurs simple. Au fur et à mesure que l’enfant grandit, cette mélodie tend à devenir plus complexe. Cela indiquerait la future capacité à dire les syllabes.
 
Des chercheurs ont comparé les pleurs de trois groupes de bébés âgés de deux mois. Parmi eux, 11 avaient une fente labio-palatine, 10 avaient une fente palatine et 50 n’avaient pas de problème de naissance.
 
On a remarqué que dans 50 % des cas, les bébés pleuraient selon une mélodie complexe. Ceux qui présentaient moins de complexité dans leur mélodie de pleurs moins de 45 % du temps étaient 5 fois plus enclins à développer un retard de langage à l’âge de 2 ans.
 
De plus, ceux qui se trouvaient sous la barre du 45 % avaient jusqu’à 89 % de risques de vivre des difficultés dans leur développement du langage.

Les chercheurs ont finalement remarqué qu’il y avait une différence entre les enfants qui avaient une fente palatine ou labio-palatine et les autres. On croit maintenant avoir trouvé une nouvelle avenue pour déceler tôt les problèmes et les retards de langage.

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Un bébé qui pleure de façon excessive est plus enclin à développer des problèmes comportementaux dans son enfance

En effet, une étude de longue date, dont les résultats paraissent sur Daily Mail, affirme que 1 bébé sur 5 a un tempérament difficile, incluant des pleurs excessifs et des problèmes de sommeil. Celui-ci sera plus enclin, dans une proportion de 40 %, à développer des désordres comportementaux.

Les recherches, déployées entre les chercheurs de l’Université de Warwick, l’Université de Basel en Suisse et l’Université de Bochum en Allemagne, cumulent les résultats d’analyses de 22 études menées entre 1987 et 2006.

Le lien entre la problématique comportementale du bébé et son développement psychosocial de 7 à 9 ans a impliqué 16 848 enfants, dont près de 2 000 ont développé des problèmes de comportement tels que le trouble de déficit de l’attention (TDA) et l’hyperactivité.

Selon Dieter Wolke, chercheur de l’Université de Warwick, les résultats sont anormalement élevés et ils sont inquiétants. L’étude portait entre autres sur les nourrissons qui pleurent plus de 3 heures par jour après 3 mois, ainsi que ceux dont les problèmes de sommeil persistent au-delà de 8 mois.

Le professeur Wolke affirme que la solution consiste à intégrer une routine plus structurée pour ces enfants. « Nous avons la preuve que cela fonctionne », ajoute-t-il à l’intention des parents.

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Les pleurs de bébé pour une maman dépressive

Selon PsychCentral, une mère dépressive ne présentera pas la même réponse cérébrale qu’une femme en parfaite santé, alors que cette dernière sera plus poussée à aller chercher son enfant qui pleure en réponse à l’activité de son cerveau.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Oregon après avoir suivi 22 femmes. Les participantes étaient mères pour la première fois et leur bébé était âgé de 18 mois. Elles ont été divisées en deux groupes, selon si elles avaient un historique de dépression ou non.
 
À l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique, on a remarqué une différence de l’activité cérébrale en fonction du degré de dépression. Toutefois, les femmes dépressives ne présentaient pas une réponse négative. Elles démontraient plutôt moins de réponse cérébrale que les autres dans la même situation.
 
Les mères en bonne santé étaient en mesure de répondre d’une manière positive lorsque l’enfant pleurait. Celles qui étaient dépressives avaient des lacunes quant à cette réaction.

Pourtant, la réponse de la mère aux pleurs de bébé est très importante dans le développement de celui-ci. Un réel lien existe entre le comportement et les réponses physiologiques.

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Coliques et herbes : aucun effet notable

Le mal le plus courant chez les poupons est sans contredit les coliques. Depuis peu, certains parents essaient les remèdes proposés par la médecine nouvelle pour soulager leur enfant.

Or, une équipe de chercheurs viennent de passer en revue les résultats obtenus sur plusieurs de ces produits à base d’herbes médicinales. Selon Pediatrics, ils n’auraient aucun effet sur le soulagement des coliques.
 
Malgré tout, les résultats seraient encourageants quant à l’extrait de fenouil, à une sorte de thé aux herbes ainsi qu’à un mélange à base de camomille. Mentionnons au passage que l’étude en question s’est étendue de 1991 à 2008.
 
Les chercheurs reconnaissent qu’il est difficile de savoir ce qui peut soulager ou non les coliques, car nous en connaissons encore très peu les causes. Il est donc plus compliqué de trouver un traitement.
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Manger des steaks pour calmer bébé?

Nous supposons depuis un bon moment déjà que l’alimentation durant la grossesse a une influence sur le comportement, voire la personnalité, de bébé.

Une récente étude parue dans Early Human Development nous apprend que consommer beaucoup de viande rouge et de poisson durant les trois premiers mois de grossesse réduirait les pleurs du bébé.
 
Une femme enceinte aurait ainsi tout intérêt à se régaler d’un bon steak, et ce, assez régulièrement. C’est que la vitamine B12 qu’il contient calmerait son poupon.
 
Pour tirer ces conclusions, on a suivi pas moins de 3 000 futures mamans, à qui l’on a fait des prises de sang durant les 3 premiers mois de grossesse. Puis, après la naissance du bébé, la mère devait calculer le nombre de fois que son bébé pleurait ainsi que la durée des pleurs.

Il semble ainsi que les femmes qui avaient les taux les plus faibles de vitamine B12 lors de leur premier trimestre de grossesse ont eu 8 fois plus souvent un bébé qui pleurait plus longtemps, comparativement à celles qui avaient eu de plus hauts taux de la vitamine.

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L’effet de la déprime sur une nouvelle maman

À l’aide d’images par résonnance magnétique, des chercheurs ont découvert que les pleurs d’un bébé provoquaient une réaction moins positive dans le cerveau des mères qui étaient déprimées que dans celui des mères qui ne l’étaient pas, rapporte HealthDay News.

L’auteure principale de cette étude, Heidemarie K. Laurent, a déclaré que contrairement à une étude précédente, « il semble que les mères déprimées ne répondent pas de manière plus négative que les mères non déprimées. Ce que nous avons observé était plus comme une lacune quant à la réponse positive ».

Cette étude, qui apparaît en ligne dans le journal Social Cognitive and Affective Neuroscience, est la première à examiner la façon dont le cerveau de mères déprimées répond aux pleurs du bébé.

Les chercheurs ont étudié le cerveau de 22 femmes en utilisant une technique d’imagerie par résonance magnétique, ce qui mesure l’activité du cerveau à travers les changements du débit sanguin. Toutes les mères ayant été observées durant l’étude avaient un enfant de 18 mois et étaient mères pour la première fois.

Laurent révèle : « Dans ce contexte, il était intéressant de voir que les mères non déprimées étaient capables de répondre au son de pleurs par un signal positif. Leur réponse était constante dans leur désir de vouloir s’approcher de leur enfant. Les mères déprimées avaient clairement un manque, du côté de cette réaction. »

Le but de cette étude est donc de démontrer que la dépression peut avoir un impact de longue durée sur les relations entre une mère et son enfant en affaiblissant la réponse du cerveau face aux signaux émotionnels d’un bébé.

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Le rire est inné, les pleurs sont acquis

Le Daily Mail dévoile les résultats d’une étude portant sur le rire des bébés. Il semble que ce soit une réaction instinctive, contrairement aux pleurs.

Les pleurs seraient un comportement que nous apprenons à faire. Ainsi, lorsque le bébé pleure à sa naissance, il s’agirait d’un réflexe lié à ce choc pour rechercher de l’air.

Des chercheurs sont arrivés à cette conclusion après avoir demandé à 16 volontaires de reproduire les sons, sans utiliser de mots, reliés à certaines émotions. La moitié de ces participants étaient sourds. Ils ont ensuite demandé la même chose à 25 autres participants, lesquels entendaient tous normalement.

Parmi tous les sons, seuls ceux du rire et du soulagement (un soupir) étaient facilement reconnaissables chez les participants sourds.

D’autre part, tous les autres sons, dont les pleurs, n’étaient clairement entendus que provenant des participants qui entendaient.

Ainsi, comme les participants sourds n’ont jamais pu entendre de rires auparavant, cela suggère que nous naissons avec la capacité innée de rire.

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Les bonnes bactéries contre les coliques

Bonne nouvelle pour les parents désespérés devant les pleurs inconsolables de leur bébé qui souffre de coliques : les probiotiques peuvent venir à la rescousse.
 
Ces bonnes bactéries diminueraient les pleurs de plus de la moitié.
 
Pediatrics rapporte qu’un premier groupe de 25 bébés, qui pleuraient en moyenne 370 minutes par jour au départ, ont reçu des probiotiques pendant 3 semaines. On a ensuite constaté qu’ils ne pleuraient que 35 minutes. Chez le groupe témoin, 21 bébés pleuraient 300 minutes par jour au début de l’étude et ils pleuraient encore 90 minutes quotidiennement après avoir reçu un placebo pendant trois semaines.
 
Les causes sont multifactorielles pour les coliques, mais on a noté dans des études précédentes qu’un équilibre anormal de bactéries dans les intestins pouvait grandement provoquer les pleurs des bébés. Les probiotiques sont reconnus pour restaurer la flore intestinale.