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Le lait entier meilleur pour le poids des enfants

Le lait entier est un lait de vache contenant toutes ses matières grasses, soit environ 36 g/l. Autrement dit, un verre de lait entier représente environ 150 calories, alors qu’un verre de lait écrémé en contient autour de 90.

Alors que ça peut sembler contradictoire à première vue, une recherche démontre un effet trompeur de la consommation de lait à faible teneur en gras.

Sur MedicalXpress, on parle d’un article publié dans la plus récente publication du JAMA Pediatrics. Il est question d’une étude démontrant que la consommation de lait contenant peu de matières grasses n’aide en aucun point la perte de poids.

Les deux scientifiques de Harvard responsables de la recherche souhaitent ainsi remettre en question les idées conventionnelles sur le sujet en démontrant que le lait plus gras peut en fait diminuer l’apport total de calories.

Pour expliquer comment le lait entier peut porter à de meilleures habitudes alimentaires, ils donnent l’exemple fort simple de la collation.

Le lait entier a un effet plus bourratif sur l’estomac. Ce qui veut dire qu’un enfant qui consommerait 2 biscuits et un verre de lait à faible teneur en gras serait porté à prendre d’autres biscuits pour se sentir rassasié. Celui qui consomme un verre de lait entier a beaucoup plus de chance de se sentir repu. L’apport total de calories serait ainsi diminué.

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Les oiseaux de nuit seraient plus enclins à prendre du poids

The National Library of Medicine rapporte des conclusions obtenues par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie qui tendent à démontrer que les oiseaux de nuit sont plus enclins à prendre du poids.

Selon l’équipe de chercheurs, les personnes qui évoluent la nuit sont notamment plus attirées par la malbouffe, en plus de dévorer leurs plats favoris à des heures peu recommandées et recommandables.

On le sait, les nutritionnistes et autres experts déconseillent de manger des trucs lourds et caloriques durant la nuit et avant le coucher. On déduit donc assez facilement la cause à effet de la prise de poids pour les travailleurs nocturnes et amoureux de la nuit.

Les chercheurs évaluent à 550 calories supplémentaires le nombre absorbé par les travailleurs qui demeurent en fonction jusqu’à 4 h du matin.

« Les gens ont consommé un montant substantiellement plus élevé de calories durant les heures tardives où ils seraient normalement au lit. Ces calories étaient aussi plus élevées en gras que celles consommées à d’autres moments de la journée », explique Andrea Spaeth, de l’Université de Pennsylvanie, qui conduisait la série de tests sur un groupe de sujets volontaires.

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?
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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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Des objectifs moins précis pour une perte de poids plus efficace

Il est plus facile de gagner du poids que d’en perdre, une autre ironie de la vie, c’est bien connu.

Cependant, perdre quelques kilos pourrait s’avérer moins ardu ou en tout cas moins stressant, en se fixant des objectifs plus larges. C’est ce que croient plusieurs chercheurs américains, notamment un groupe formé de spécialistes de la Floride et de Saint-Louis.

Mené par Maura L. Scott et Stephen M. Nowlis, le conseil de chercheurs propose des conclusions en matière d’alimentation et de perte de poids dans une étude rapportée ici par Top Santé.

Pour une fois, les spécialistes ne font pas la morale et n’y vont pas de grands sermons, mais prônent plutôt une approche calme et réaliste de la perte de poids. Ils avancent qu’il serait plus facile de maigrir lorsqu’on se fixe des objectifs variables, en plus de permettre une plus grande satisfaction et une meilleure estime de soi.

Ainsi, au lieu de se dire « Je dois perdre 10 livres », il faudrait plutôt se dire « Je vais essayer de perdre de 5 à 15 livres ».

En coupant quelques sucreries et en améliorant nos habitudes d’exercice physique progressivement, sans se stresser davantage, il est fort probable qu’un palier sera atteint.

Par contre, avec un objectif trop rigide, il est plus difficile d’y parvenir et plus facile de se décourager, puis d’abandonner!

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Melissa McCarthy a des commentaires sur son poids

En février dernier, lorsque le critique du New York Observer avait écrit sur le film Identity Thief, il avait traité Melissa McCarthy de « gros tracteur ».

Ces commentaires désobligeants avaient tôt fait d’attirer une foule de commentaires. De nombreux acteurs étaient venus à la défense de la vedette de 42 ans, mais cette dernière avait gardé le silence, jusqu’ici.

En entrevue avec le New York Times, Melissa McCarthy mentionne que ces propos l’auraient sans doute grandement blessée lorsqu’elle avait 20 ans, mais pas aujourd’hui, alors qu’elle est mariée à l’acteur Ben Falcone depuis 2005 et a deux enfants, Vivian, 6 ans, et Georgette, 3 ans.

« Je me sentais vraiment mal pour quelqu’un qui vit dans tant de haine et qui n’est pas au bon endroit. Moi, je suis au bon endroit et je suis heureuse. Je ris chaque jour avec mes filles et mon mari », dit-elle.

De plus, elle n’en revient pas que de tels commentaires soient diffusés à une époque où l’image corporelle est une telle obsession que les jeunes filles se retrouvent avec de graves problèmes de santé, mettant même leur vie en péril.

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Potins

Melissa McCarthy a des commentaires sur son poids

En février dernier, lorsque le critique du New York Observer avait écrit sur le film Identity Thief, il avait traité Melissa McCarthy de « gros tracteur ».

Ces commentaires désobligeants avaient tôt fait d’attirer une foule de commentaires. De nombreux acteurs étaient venus à la défense de la vedette de 42 ans, mais cette dernière avait gardé le silence, jusqu’ici.

En entrevue avec le New York Times, Melissa McCarthy mentionne que ces propos l’auraient sans doute grandement blessée lorsqu’elle avait 20 ans, mais pas aujourd’hui, alors qu’elle est mariée à l’acteur Ben Falcone depuis 2005 et a deux enfants, Vivian, 6 ans, et Georgette, 3 ans.

« Je me sentais vraiment mal pour quelqu’un qui vit dans tant de haine et qui n’est pas au bon endroit. Moi, je suis au bon endroit et je suis heureuse. Je ris chaque jour avec mes filles et mon mari », dit-elle.

De plus, elle n’en revient pas que de tels commentaires soient diffusés à une époque où l’image corporelle est une telle obsession que les jeunes filles se retrouvent avec de graves problèmes de santé, mettant même leur vie en péril.

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Le poids idéal, selon Jean-Michel Cohen

Le Dr Jean-Michel Cohen s’avère être un personnage qui détonne un peu en comparaison des autres nutritionnistes et auteurs.

C’est que le sympathique spécialiste n’hésite pas à personnaliser le concept de « poids santé » et déconseille vivement aux personnes qui désirent perdre du poids de se fixer des objectifs trop éloignés de leurs caractéristiques physiques.

Cette fois, c’est le Telegraph (UK) qui le cite en rapportant certains propos de l’auteur, à commencer par ceux qui traitent de la génétique.

Cette génétique qui, très souvent, trace des inévitabilités pour chaque individu. Des caractéristiques qui risquent de rendre une personne fort malheureuse si cette dernière se fixe des objectifs basés sur la génétique de quelqu’un d’autre.

Spécialement si l’on se fie à une image renvoyée par les médias ou les magazines, croit Cohen, qui lance le conseil suivant : « Ne soyez pas trop durs envers vous-même ». Le poids idéal d’une personne serait celui observé à son plus mince, sans régime.

Il explique d’abord l’importance de cesser de trop culpabiliser, mais de compenser. Par exemple, si vous faites un écart de conduite alimentaire aujourd’hui, cessez de vous culpabiliser et soyez plutôt vigilant le lendemain.

Il suggère également que l’alcool, surtout le vin,  n’est pas un ennemi mortel lorsque consommé avec modération, et que plus vous achetez de légumes lors de votre marché, plus vous pourrez manger sans gêne.

Il termine en conseillant d’éviter le stress à table et d’apprécier chaque repas!