C’est ce matin (14 mai) qu’on annonçait que Valérie Blais était la porte-parole de Weight Watchers au Québec. Elle a entamé le programme 360 le 24 mars dernier et a déjà perdu 11 livres.
« Je voulais perdre du poids. J’ai une fille de 16 mois (Romy). Déjà avant sa naissance, j’avais un surplus de poids et après, je me suis retrouvée avec un autre surplus de poids. Je cherchais un programme, et celui de Weight Watchers me convenait. Il est fait de vrais aliments et non de poudre et de restrictions. Avec eux, il n’y en a pas. Il n’y a pas de contrainte. C’est un programme de points, et on apprend à faire de meilleurs choix, plus nutritifs, plus intelligents. C’est une rééducation. Je vois que ça tient compte de la vraie vie », confiait Valérie Blais à BUM Interactif Groupe en entrevue téléphonique.
« Ma fille mange aussi de vrais aliments maintenant, alors ça me permettait de m’ajuster. Avec moi, ça ne marche pas les interdits. Je peux encore manger un croissant à l’érable avec Weight Watchers, mais je choisis quand et comment. On finit par ressentir les bienfaits de la perte de poids, avoir plus d’énergie et être plus en forme, alors les choix finissent par se faire naturellement. Dans mon cas, je finis par avoir moins envie de sucre. C’était ça mon péché. »
Valérie s’est aussi entourée d’un groupe d’amis qui ont le même objectif du retour à la santé, et tous s’encouragent et se stimulent dans le processus.
Elle avoue que depuis des années, elle ne connaît plus son poids et ne veut pas le savoir; elle veut seulement connaître ce qu’elle a perdu. « Moi, ça ma convient mieux de cette façon, je me concentre sur les bonnes nouvelles. Ça ne me tente pas de pleurer sur mon poids. Mon objectif est de faire de meilleurs choix santé. La vraie démarche est de gagner la santé et de faire de meilleurs choix. Je m’entraîne depuis des années. On pense à tort que les personnes en surpoids ne s’entraînent pas. Ce n’est pas toujours vrai. Mais le stress, ce qu’on mange et la rapidité à laquelle on le mange peuvent influencer le poids. Il y a donc toute une rééducation, mais dès que les bénéfices se font sentir, on ne veut plus retourner en arrière. Ça prend un peut de courage pour changer nos habitudes, mais en ayant un enfant, on se dit que si on a été capable de faire ça, on est capable de changer nos habitudes. »
Au bout du compte, Valérie sera en meilleure forme, et sa fille pourra aussi bénéficier d’avoir une maman qui pourra la suivre partout. « J’ai eu ma fille à 42 ans. Je trouve que c’est aussi important d’être en forme pour elle et d’être près d’elle le plus longtemps possible. »
Les premières publicités de Weight Watchers avec Valérie Blais devraient se faire voir dès l’automne.