Catégories
Uncategorized

Une surdose de café pourrait favoriser une prise de poids importante

Plusieurs études récentes et crédibles attribuent au café de nombreuses vertus santé, grâce à certaines composantes comme les antioxydants notamment, ce qui redonne le sourire aux amateurs de caféine.

On n’hésite pas également à cautionner une consommation quotidienne relativement élevée, c’est-à-dire jusqu’à trois tasses par jour.

Pour une équipe de chercheurs australiens, qui publient d’ailleurs leurs recherches dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, la limite pourrait bien s’établir à cinq tasses par jour.

Une limite quotidienne qui, lorsque dépassée, pourrait ouvrir la porte à certains problèmes de santé, à commencer par la prise de poids pouvant aller jusqu’à l’obésité, explique le Daily Mail (UK).

Cet effet inversé, car on attribue normalement le café à une plus grande facilité à perdre du poids, serait relié aux propriétés de l’acide chlorogénique. Lorsque consommée en trop grande quantité, la composante bloquerait certains systèmes qui favorisent la perte de poids, entrainant donc une prise de kilos plus facile.

On note, dans la même veine, une résistance à l’insuline inquiétante chez les sujets qui dépassent cinq tasses de café par jour.

Bref, comme la limite a déjà été élevée et que l’on peut maintenant consommer ce plaisir sans culpabilité, pourquoi ne pas le faire avec modération… et attention au sucre!

Catégories
Uncategorized

Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.

Catégories
Potins

Valérie Blais est la nouvelle porte-parole de Weight Watchers au Québec

C’est ce matin (14 mai) qu’on annonçait que Valérie Blais était la porte-parole de Weight Watchers au Québec. Elle a entamé le programme 360 le 24 mars dernier et a déjà perdu 11 livres.

« Je voulais perdre du poids. J’ai une fille de 16 mois (Romy). Déjà avant sa naissance, j’avais un surplus de poids et après, je me suis retrouvée avec un autre surplus de poids. Je cherchais un programme, et celui de Weight Watchers me convenait. Il est fait de vrais aliments et non de poudre et de restrictions. Avec eux, il n’y en a pas. Il n’y a pas de contrainte. C’est un programme de points, et on apprend à faire de meilleurs choix, plus nutritifs, plus intelligents. C’est une rééducation. Je vois que ça tient compte de la vraie vie », confiait Valérie Blais à BUM Interactif Groupe en entrevue téléphonique.

« Ma fille mange aussi de vrais aliments maintenant, alors ça me permettait de m’ajuster. Avec moi, ça ne marche pas les interdits. Je peux encore manger un croissant à l’érable avec Weight Watchers, mais je choisis quand et comment. On finit par ressentir les bienfaits de la perte de poids, avoir plus d’énergie et être plus en forme, alors les choix finissent par se faire naturellement. Dans mon cas, je finis par avoir moins envie de sucre. C’était ça mon péché. »

Valérie s’est aussi entourée d’un groupe d’amis qui ont le même objectif du retour à la santé, et tous s’encouragent et se stimulent dans le processus.

Elle avoue que depuis des années, elle ne connaît plus son poids et ne veut pas le savoir; elle veut seulement connaître ce qu’elle a perdu. « Moi, ça ma convient mieux de cette façon, je me concentre sur les bonnes nouvelles. Ça ne me tente pas de pleurer sur mon poids. Mon objectif est de faire de meilleurs choix santé. La vraie démarche est de gagner la santé et de faire de meilleurs choix. Je m’entraîne depuis des années. On pense à tort que les personnes en surpoids ne s’entraînent pas. Ce n’est pas toujours vrai. Mais le stress, ce qu’on mange et la rapidité à laquelle on le mange peuvent influencer le poids. Il y a donc toute une rééducation, mais dès que les bénéfices se font sentir, on ne veut plus retourner en arrière. Ça prend un peut de courage pour changer nos habitudes, mais en ayant un enfant, on se dit que si on a été capable de faire ça, on est capable de changer nos habitudes. »

Au bout du compte, Valérie sera en meilleure forme, et sa fille pourra aussi bénéficier d’avoir une maman qui pourra la suivre partout. « J’ai eu ma fille à 42 ans. Je trouve que c’est aussi important d’être en forme pour elle et d’être près d’elle le plus longtemps possible. »

Les premières publicités de Weight Watchers avec Valérie Blais devraient se faire voir dès l’automne.

Catégories
Uncategorized

Le régime méditerranéen efficace même sans perte de poids

The National Library of Medicine publie une nouvelle étude qui vante les mérites du régime méditerranéen, et ce, même lorsqu’aucune perte de poids n’est observable.

On avance que le cœur bénéficierait grandement de ce changement de cap alimentaire, peu importe si des changements corporels sont observables ou non.

Le régime méditerranéen permet d’abaisser le taux de mauvais cholestérol dans l’organisme, un bienfait majeur pour la santé cardiaque.

C’est après avoir analysé les impacts de cette diète, qui gagne beaucoup en popularité depuis quelque temps, sur 19 sujets masculins que les chercheurs ont pu tirer ces conclusions.

Le régime méditerranéen favorise la consommation de poissons, de fruits, de légumes, de pâtes, de grains entiers, de vin et de noix, notamment, au détriment des aliments gras, usinés ou encore des viandes.

Les études s’accumulent concernant ce régime, et on avance même qu’il peut favoriser une plus grande longévité, comme on l’observe chez certaines populations de la planète qui adoptent le régime méditerranéen dès l’enfance.

Catégories
Uncategorized

Le thé vert pourrait contribuer à la perte de poids et au contrôle de la glycémie

Santé Log rapporte une étude coréenne qui cible deux vertus bien précises du fameux thé vert, déjà abondamment reconnu pour ses bienfaits sur la santé.

Cette fois, on parle de son impact sur le contrôle du poids et de la glycémie, indiquant ainsi que les personnes diabétiques et celles en surpoids pourraient bénéficier grandement de l’ajout de cette boisson à leur régime alimentaire.

Voici donc de nouvelles données qui s’ajoutent aux précédentes concernant le thé vert, à qui l’on accorde déjà des propriétés qui préviendraient de plusieurs maladies graves ou chroniques et du cancer.

Ce sont des tests effectués sur des rongeurs par des chercheurs de l’University School of Medicine Keimyung, publiés par la suite dans les Archives of Pharmacology, qui ont révélé la capacité de ce thé à réguler plus facilement les taux de glycémie dans le sang, en plus de favoriser une perte de poids.

De plus, une autre étude récente donne quant à elle raison à des recherches précédentes qui donnaient au thé vert la faculté de prévenir la maladie d’Alzheimer.

Il n’y a donc vraiment plus de raison pour ne pas essayer d’intégrer le thé vert à son régime alimentaire… sauf le goût, peut-être.

Catégories
Uncategorized

Manger sans grossir grâce aux noix

Les noix profitent d’une belle presse ces temps-ci, alors que plusieurs études sur le sujet sortent les unes à la suite des autres, confirmant l’impact positif de ces aliments sur la santé.

En plus d’apporter son lot d’éléments nutritifs intéressants pour la santé, les noix sont aussi un excellent moyen de manger sans prendre trop de poids.

C’est d’ailleurs précisément sur cet état de fait que s’attarde cette nouvelle super-étude rapportée par The National Library of Medicine, qui analyse les données publiées dans plusieurs autres recherches précédentes.

Les chercheurs américains, en provenance du New Jersey, concluent donc que les noix ne sont pas un facteur de prise de poids, comme le suggèrent certains spécialistes et nutritionnistes.

« La majorité des études sur les noix ne démontrent pas une prise de poids significative chez les patients, en contraste à ce que plusieurs pensent. Nos conclusions supportent l’ajout de noix dans un régime alimentaire sain, ainsi qu’en prévention des maladies cardiovasculaires », résume l’équipe de chercheurs.

Troquer le sac de croustilles pour une boîte de noix (plusieurs variétés sont offertes) s’avère donc une décision que vous ne pouvez tout simplement pas regretter!

Catégories
Uncategorized

Des avantages inédits pour les grossesses tardives

Il semblerait donc que contrairement à ce qu’en disent les médecins et autres spécialistes, il n’y a pas que des dangers qui sont reliés aux femmes enceintes qui dépassent la trentaine. Avec une grossesse tardive, la croissance du bébé serait favorisée, et son métabolisme moins à risque de contracter des maladies infantiles.

Selon PLoS ONE, ce sont 277 bébés qui ont été pesés et suivis. Les chercheurs ont par ailleurs constaté que la production de la molécule IGF-I, chaînon important de la croissance, se faisait en plus grande quantité chez ces enfants. Cela expliquerait que tous les bébés étaient plus grands que ceux des mères de moins de 30 ans.

Quant aux mamans de plus de 35 ans, à ces données s’ajoutait un poids différent et mieux réparti. Les gras étaient moins présents, donnant des bébés plus minces, mais ayant développé une sensibilité accrue au sucre. Résultat : un avantage qui fait chuter le risque d’obésité.

Pour le moment, les chercheurs de cette étude sont les seuls à contrer les autres études, qui tendent toutes vers les risques associés aux grossesses tardives. À vous de voir si les avantages prévalent pour vous lancer dans l’aventure.

Catégories
Uncategorized

Le Québec franchit le cap : un Québécois sur deux en surpoids

Ça y est! Le Québec vient de franchir une étape peu enviable dans le dossier de l’obésité en Amérique du Nord, alors qu’un récent rapport fait état d’un Québécois sur deux qui serait en situation de surpoids.

Il s’agit d’une progression spectaculaire, alors que la statistique ne parlait que d’un citoyen du Québec sur trois dans cette situation à la fin des années 80.

Selon les chiffres publiés par l’Institut national de santé publique du Québec et rapportés par La Presse, non seulement 50 % des Québécois souffrent d’embonpoint, mais de plus en plus de ceux-là s’approchent carrément de l’obésité.

On parle donc de 2 075 000 Québécois qui ne sont pas du tout près de leur poids santé, dont plus de 1 000 000 sont obèses.

De plus, on rapporte que le fléau touche plus les hommes que les femmes, et que le Québec n’est pas la pire province canadienne en la matière.

On constate également, en conclusion, que le problème de société touche aussi plus largement les gens à faible revenu ainsi que certaines personnes sans études supérieures.

Catégories
Uncategorized

Moins manger n’est pas gage de longévité

Il faut bien distinguer la différence entre le fait de manger peu et avoir un corps en santé, rapporte Top Santé, alors qu’une étude sur l’obésité rappelle que le fait de moins manger n’est pas un gage de longévité.

Si l’on inverse le raisonnement, donc, ce n’est pas le fait de manger beaucoup qui met votre santé (et votre vie) en danger, mais plutôt la prise de poids associée à ces comportements alimentaires qui crée un impact sur la durée de vie potentielle.

On revient ici sur la fameuse étude qui traçait un lien entre les nombreux centenaires recensés au Japon et leurs habitudes alimentaires, mais voilà que plusieurs autres recherches sur le sujet placent un bémol sur ce genre de raisonnement.

D’autres tests sur des rongeurs ont permis de constater que la quantité de nourriture ingérée ne changeait rien à leur espérance de vie.

Un constat qui fait dire au magazine La Recherche, qui publiait ces nouvelles conclusions : « Si on ne peut pas vivre plus longtemps en mangeant moins, on peut en revanche vivre plus longtemps en mangeant mieux ».

De sages paroles!

Catégories
Uncategorized

Coca-Cola crée la surprise en abordant le sujet de l’obésité

C’est toute une décision que celle des dirigeants de Coca-Cola, qui ont abordé ouvertement le sujet de l’obésité, un fléau qui met en cause plusieurs produits, dont les boissons gazeuses.

C’est donc doublement stupéfiant que de voir l’une des deux plus grandes multinationales de boissons gazeuses se pencher sur l’épineuse question du surpoids, comme le rapporte La Presse.

Le tout se déroule sur notre propre territoire, au Québec, alors que Coca-Cola lance une publicité dans laquelle on peut entendre : « Si vous buvez et mangez plus de calories que vous en dépensez, vous allez prendre du poids ».

Une évidence qu’il serait facile de contrer en bougeant plus, en mangeant mieux et en consommant moins de boissons gorgées de sucre, comme le Coke.

La compagnie suggère aussi de se tourner vers ses mini-canettes ou encore ses boissons moins lourdes, comme la nouvelle Vitaminwater Zero.

L’initiative a été décriée par la directrice de la Coalition Poids, Suzanne Pellerin, qui s’exclame : « L’objectif de Coca-Cola, c’est de détourner le regard de ses produits, c’est de laisser croire que si les gens engraissent, c’est parce qu’ils ne font pas suffisamment d’activité physique. »

Un dossier à suivre, qui risque de beaucoup faire jaser les Québécois prochainement.