Catégories
Uncategorized

Le jeûne n’est pas la solution

Il n’aura pas fallu une étude très profonde et exhaustive pour constater les effets néfastes du jeûne dans une tentative de perte de poids.

En fait, selon ce que rapporte Santé Log, il n’aura fallu aux chercheurs que 30 sujets (des femmes) pour tirer leurs conclusions.

Et ces dernières ne sont pas en faveur du jeûne, le fait de ne pas manger, allant même jusqu’à mettre en garde la population des dangers possibles d’un tel comportement.

L’étude a été publiée dans le magazine Nutrition & Metabolism et souligne néanmoins qu’il est possible d’utiliser le jeûne temporaire comme outil dans une démarche de perte de poids massive, mais sous supervision d’un professionnel (médecin, nutritionniste, etc.).

On associe au fait de se priver totalement de nourriture durant 24 à 72 heures des symptômes et effets secondaires qui vont des troubles du sommeil à l’anxiété, l’angoisse et la somnolence en journée, jusqu’à la déshydratation et des troubles du caractère (stress, irritabilité).

On suggère donc, particulièrement aux jeunes et aux adolescents, d’éviter ce type de comportement extrême. On rappelle qu’il existe beaucoup de dangers inhérents au fait de prendre ou de perdre du poids rapidement.

Catégories
Uncategorized

Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

Catégories
Uncategorized

Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!

Catégories
Uncategorized

Les mythes concernant certains produits « légers » sont tenaces

La minceur et la santé sont tellement omniprésentes dans les valeurs modernes de nos sociétés que les compagnies alimentaires font des affaires d’or en ajoutant simplement la mention « léger » à leurs produits.

Or, plusieurs mythes concernant ces produits sont tenaces, et e-sante.fr rapporte qu’il ne faut pas se fier uniquement aux emballages alléchants pour nous convaincre que nous faisons des choix santé.

C’est particulièrement le cas, toujours selon le site, en ce qui a trait aux crèmes, sauces et beurre, qui sont proposés en moult versions, marques et appellations.

Ainsi, une margarine « bonne pour le cholestérol » n’est pas nécessairement une margarine allégée, et cette dernière contient pratiquement autant de calories que le beurre. Donc, il est clair que pour la cuisson, l’idéal est d’utiliser des méthodes alternatives qui ne nécessitent pas de corps gras.

On suggère fortement d’éviter aussi le beurre pour la confection des sauces, et de prôner l’utilisation d’autres ingrédients moins « lourds » pour l’organisme.

Pour les crèmes, on suggère la 15 %, qui s’avère un bon compromis entre santé et goût.

Même son de cloche du côté des vinaigrettes à salade, dont les versions allégées ne semblent pas être véritablement moins caloriques que les autres.

Au final, le meilleur conseil est de toujours lire les fiches nutritives retrouvées sur les produits, afin de faire des choix qui vont de pair avec vos besoins et vos objectifs (calories – poids, gras – cholestérol, sodium – sel, etc.).

Catégories
Uncategorized

Un enzyme responsable de la prise de poids lors de la ménopause

Les femmes en période de ménopause qui prennent du poids peuvent cesser la culpabilité, car de récentes études proposent que la faute repose sur un enzyme, et non sur leurs habitudes alimentaires.

La prise de poids chez les femmes ménopausées est fréquente et s’ajoute aux nombreux désagréments et « effets secondaires » liés à cette période de la vie d’une femme.

Assez de choses à penser alors, pour ne pas se mettre en plus à être obsédées par ce qu’elles mangent, car selon topsante.com, le phénomène est naturel, bien que dérangeant.

C’est que le fameux enzyme verrait son activité être amplifiée massivement au contact de l’œstrogène, et doublement lors de la phase de ménopause.

Cela dit, les chercheurs répètent que même si la prise de poids est normale et naturelle, il est faux de croire que rien ne peut être fait.

Tout comme aux autres personnes aux prises avec des problèmes de gain de masse rapide, il est fortement conseillé de couper le sucre (jus, sodas, gâteaux) et les viandes grasses, de manger plus de poissons et de noix, ainsi que d’éviter les repas usinés ainsi que les restaurants.

Catégories
Uncategorized

La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

Catégories
Uncategorized

La technologie dans votre fourchette

La technologie n’a pas que de mauvais côtés en ce qui a trait à la santé. On parlait notamment de ces applications pour téléphone intelligent, qui proposent de compter vos calories ingérées pour vous, et de quelques autres astuces technologiques du genre.

En voici une nouvelle qui devrait faire quelques adeptes. Il s’agit d’une fourchette électronique qui vous alerte lorsque vous mangez trop rapidement, rapporte La Presse.

Il est vrai que l’un des facteurs qui peuvent aider à la perte de poids est de ralentir le rythme en mangeant, de prendre de petites bouchées et de bien mastiquer.

S’il est parfois dur d’y parvenir, affamé devant un délicieux repas, la fourchette électronique sera là pour vous prévenir!

L’inventeur, Jacques Lépine, avoue avoir créé l’outil afin de régler un problème qu’il vivait lui-même.

« On démontre de plus en plus que manger vite est mauvais, que ça contribue à faire grossir. Je n’arrivais pas à corriger ce comportement. Et puis un jour, en regardant ma fourchette, je me suis dit que j’y arriverais peut-être avec la fourchette. »

Il semble qu’il y soit parvenu. Son invention sera présentée au fameux CESde Las Vegas, avant d’être commercialisée en avril prochain, si tout va comme prévu.

Catégories
Uncategorized

Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

Catégories
Uncategorized

Arrêter l’alcool : d’une pierre deux coups

De plus en plus d’études viennent confirmer l’impact négatif de l’alcool sur l’organisme. On parle bien sûr ici d’une surconsommation, qui vient alors nuire à plusieurs systèmes du corps et peut même entraîner des troubles de la mémoire à long terme, entre autres.

Il y a aussi l’aspect calorique de l’alcool, rapporte topsante.com. C’est justement pour cette raison que le WCRF conseille vivement à ceux qui souhaitent perdre du poids, ou le maintenir, de songer sérieusement à arrêter l’alcool complètement.

Si une association qui lutte contre le cancer se mêle de la partie, c’est qu’une perte de poids ou un maintien du poids santé est un gage d’une bonne santé en général et contribue à faire baisser les risques de développement de différents cancers.

Kate Mendoza, du WCRF, lance : « Réduire sa consommation d’alcool peut jouer un grand rôle dans la perte de poids ou le maintien d’un poids normal. Des études récentes ont montré que les consommateurs d’alcool n’ont pas souvent conscience des calories dans les boissons alcoolisées et ne les prennent pas en compte dans leur apport calorique quotidien ».

Parions que plusieurs se reconnaissent dans ce comportement…

Catégories
Uncategorized

Penser avant de manger, ça marche

Il existe une panoplie de trucs et conseils sur la nutrition, en plus des sempiternelles rengaines à propos des fruits, des légumes et de l’exercice régulier.

Voilà que www.nlm.nih.gov rapporte un conseil qui pourrait s’avérer l’un des plus importants de tous, quoique si simple qu’on l’oublie trop souvent. Il s’agit de penser avant de manger!

Les anglophones appellent le phénomène de manger sans réfléchir le « mindless eating », que l’on pourrait traduire par « la nutrition irresponsable ».

Par là, on entend qu’aucun questionnement n’est effectué avant la consommation d’aliments, qu’aucun processus de réflexion n’est fait avant de porter la fourchette à sa bouche.

On conseille plutôt de se demander d’abord si l’on a vraiment faim, la plupart des collations et repas devenant trop fréquents et lourds dans notre mode de vie.

De plus, évitez de vous créer des limites, des impositions, mais misez surtout sur la modération et l’incorporation d’un régime alimentaire quotidien sain, ce qui vous permettra de « tricher » à l’occasion sans remords.

L’un des meilleurs conseils (et des plus efficaces) est de noter ce que l’on mange dans un livre de bord, par exemple, afin de garder le compte des apports nutritionnels et des calories ingérées dans la journée.

On suggère aussi de consulter un spécialiste, un médecin ou un (e) nutritionniste pour vous aider à prendre de bonnes décisions.