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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Les régimes « yo-yo » seraient mauvais pour le coeur

Ce qu’on appelle le phénomène des régimes « yo-yo » est défini par le fait de perdre du poids rapidement et de le reprendre tout aussi vite.

Ce processus serait néfaste pour le cœur, spécialement chez les femmes un peu plus âgées. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle d’une étude affirmant que ces femmes voient leurs chances de développer une maladie ou un problème cardiaque augmenter substantiellement.

Bien que le fait de perdre du poids soit une excellente chose pour la santé, c’est lors de la reprise de ces kilos perdus que le pire se produit. Non seulement ces personnes retrouvent tous les facteurs négatifs sur la santé d’avant, mais la reprise de poids les accentue.

C’est donc dire qu’elles seront en moins bonne santé après la reprise de poids qu’avant d’en perdre, théoriquement.

« Pour les femmes post-ménopausées qui considèrent une perte de poids, maintenir leur poids peut être tout aussi bénéfique que d’en perdre. Même une reprise partielle de la masse perdue peut mener à des risques accrus de diabète et de problèmes cardiovasculaires », explique l’auteur en chef de l’étude, Daniel Beavers.

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Maigrir avant Noël, c’est encore possible!

Si vous êtes découragé de ne pas entrer dans le complet ou la robe que vous prévoyiez porter lors du temps des fêtes, ne sombrez pas dans la déprime, il est encore possible de perdre du poids d’ici Noël.

Il peut être effectivement démotivant de constater un gain de poids à l’approche des fêtes, surtout en sachant que le passage obligé vers la nouvelle année comprendra son lot de buffets, de viandes, de sucreries et d’alcool.

Et c’est d’ailleurs cet élément (l’alcool) auquel vous devrez tenter de résister d’ici Noël, selon ce que suggère topsante.com. C’est bien connu, l’alcool est très calorique et peut aussi donner des impressions d’avoir faim, alors que ce n’est pas vraiment le cas.

Il faudra aussi « couper dans le gras » et arrêter les viandes. Il est préférable d’opter pour les poissons, riches en oméga-3 et moins caloriques, ainsi que le poulet.

Le sucre s’avère votre principal ennemi. Malheureusement, tant de choses sur le marché en contiennent! Il vous faudra bien lire les étiquettes et faire les bons choix.

Doit-on vraiment vous rappeler que la clé du succès réside dans les fruits et légumes?

Et, bien sûr, tout cela devrait être accompagné d’activités physiques. La combinaison des deux permet assurément une perte de poids, en peu de temps.

Il est donc encore possible de réaliser un miracle de Noël!

 

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La mémoire serait trompeuse et jouerait un rôle dans l’appétit

On apprend que la mémoire pourrait bien s’avérer un ennemi mortel lorsqu’on tente de surveiller son poids et de conserver sa ligne, selon topsante.com.

Un ennemi mortel et discret, selon ce que l’on comprend, ce qui le rend doublement plus insidieux. C’est que l’appétit ne serait pas qu’un réflexe instinctif, affirment des chercheurs britanniques.

En fait, la mémoire jouerait un rôle primordial dans le processus de la faim et de l’appétit, si l’on en croit l’étude publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE. Ainsi, le niveau de la faim ressentie aurait beaucoup à voir avec ce que l’on se souvient d’avoir mangé, et non ce que l’on a réellement mangé.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les comportements de 100 personnes volontaires. Ils se sont rendu compte que ceux qui étaient encore rassasiés après quelques heures n’étaient pas ceux qui avaient mangé le plus, mais plutôt qui se souvenaient clairement d’avoir en effet mangé.

« La mémoire de notre dernier repas a un plus gros impact sur notre appétit que la taille de notre repas », lance le professeur de psychologie Jeffrey Brunstrom, également directeur de l’étude.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Jessica Simpson risque son contrat avec Weight Watchers

Jessica Simpson et son fiancé, Eric Johnson, star de la NFL, ont accueilli leur petite fille, Maxwell, le 1er mai dernier. Peu de temps après l’accouchement, Simpson a accepté de devenir porte-parole du renommé programme minceur Weight Watchers.

À l’origine, la star fanatique de mode avait un surplus de poids de 60 livres. Ce gain de poids étant dû à sa grossesse.

Récemment, nous avons pu la voir, arborant sa toute nouvelle silhouette, avec ses 60 livres en moins. Cependant, Weight Watchers est furieux d’apprendre qu’elle serait à nouveau enceinte.

C’est une source qui en a informé le magazine Us Weekly. « Elle était déjà sur la corde raide avec eux, puisqu’elle n’avait pas perdu suffisamment de poids lors de sa première publicité, alors qu’ils devaient la filmer jusqu’à la taille. »

Ainsi, une seconde publicité a dû être réalisée, entraînant des coûts supplémentaires. Maintenant que Simpson est prétendument enceinte, Weight Watchers ne pourra pas mettre en ondes cette publicité. « Personne ne veut entendre parler d’une femme enceinte qui fait la promotion d’un régime », a poursuivi la source.

Même si le couple, selon film-news.co.uk, ne s’attendait pas à ce deuxième enfant, ils sont surexcités par la nouvelle.

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Manger et boire beaucoup de fruits, pas toujours un gage de perte de poids

On répète sans cesse que les fruits et légumes représentent la base d’une alimentation saine, et c’est un fait. Cependant, trop de gens croient que d’en manger constamment permet de se rassasier adéquatement, et d’ainsi prévenir le gain de poids.

Or, une nouvelle étude rapportée par www.nlm.nih.gov conclut qu’il pourrait s’agir d’un mythe. Des chercheurs ont tenté l’expérience, en proposant des fruits et légumes avant les repas à un groupe de patients tests (dont les bilans de santé variaient d’obèse à normal). D’autres ont reçu un jus de fruit, ce qui n’a pas semblé freiner les ardeurs gastronomiques des sujets, au contraire.

Des 34 participants à l’étude, presque tous ont quand même enregistré des gains de poids en ajoutant des fruits, ou des jus de fruits, à leur alimentation quotidienne.

Cela s’expliquerait par le fait que le simple fait d’ajouter des fruits et légumes ne signifie pas une perte de poids automatique, mais plutôt qu’il faut alors diminuer la consommation d’autres aliments.

De plus, l’absorption de liquides comme les jus de fruits ne stimule pas l’organisme de la même façon que le font les solides, ce qui vient brouiller les cartes.

On suggère donc de remplacer de « mauvais » aliments par des fruits, et non pas de les manger en plus! De plus, il semble que les jus de fruits sont à éviter, alors que les sujets de l’étude qui en ont reçu avant les repas ont mangé près de 200 calories par repas de plus que leurs congénères.

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Les légumes, les aliments clés de l’hiver

L’hiver comprend son lot de défis difficiles à surmonter, à commencer par se lever le matin, pour certains. Conserver sa ligne fait également partie de la liste des difficultés rencontrées par bon nombre de personnes en hiver. De plus, le manque de luminosité et les changements dans le style de vie sont propices à des vagues de faiblesse, de fatigue ou de dépression saisonnière.

Il est donc d’autant plus important de surveiller ce que l’on mange et d’aller chercher les apports nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

Topsante.com rappelle également qu’il faut miser sur les vitamines, dont celles contenues dans les légumes, à commencer par la carotte. Cette dernière comprend également des fibres et du bêta-carotène.

On suggère aussi les oignons et l’ail, qui contiennent plusieurs éléments nutritifs importants. L’ail, notamment, renforce le système immunitaire et préviendrait de plusieurs cancers.

L’hiver est aussi la saison idéale pour les soupes de tous acabits, et pourquoi ne pas miser sur les lentilles et les fèves, qui sont gorgés de fibres, de calcium, de protéines et de vitamines? Ne lésinez pas sur les légumes lorsque vous cuisinez vos soupes réconfortantes.

Pour finir, on conseille un légume mentionné plus rarement : le navet. Il appert que celui-ci contient son lot non négligeable de minéraux, ainsi que des vertus anti-cancer.

Bonne saison hivernale en santé!

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Le virage santé des chaînes de fast-food serait-il inutile?

Plusieurs grandes chaînes de restauration rapide ont pris le virage santé ces dernières années, offrant aux clients qui le désirent de nouvelles options moins néfastes pour l’organisme.

Le simple fait d’ajouter des aliments plus verts aux menus ne rendrait pas le phénomène des fast-food plus sain pour la population et ne ferait pas baisser le nombre moyen de calories ingérées non plus.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les conclusions d’une étude parue dans l’édition de novembre de l’American Journal of Preventive Medicine. Les chercheurs ont analysé les menus de plusieurs grandes chaînes de restauration rapide, dont McDonald’s, Burger King, Wendy’s, Taco Bell, PFK, Arby’s et Dairy Queen, entre autres.

Pour Katherine Bauer, auteure en chef de l’étude, l’effort est louable, mais l’impact minime. Elle explique : « Une entrée de salade, de plus en plus populaire, peut aussi être néfaste. Avec du poulet frit sur le dessus et de la sauce à salade traditionnelle, votre salade pourrait contenir plus de calories qu’un hamburger ».

Des nutritionnistes appelés à commenter l’étude se disent d’accord avec ces résultats.

Les chercheurs suggèrent notamment de limiter les visites dans ce genre de restaurants et de manger plus souvent à la maison.