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Kristie Alley poursuivie pour une arnaque reliée à sa perte de poids

En fait, la diététiste Marina Abramyan croit que la vedette de Cheers et les fabricants des suppléments en question se sont engagés dans ce qu’elle n’appelle « rien de plus qu’une bonne déception ».

Elle estime que les cent livres perdues par Alley ne sont donc pas reliées aux suppléments qu’elle a pris et qu’elles sont « le résultat d’un régime d’exercices plus intenses que la normale et d’une alimentation extrêmement faible en calories ».

De plus, elle soutient que les nombreuses heures de danse quotidiennes ont contribué à la perte de poids de Kristie Alley.

Elle accuse donc la campagne Organic Liaison mettant en vedette Alley de violer les règlements de la Federal Trade Commission.

Toutefois, la compagnie nie tout et refuse de retirer ses publicités présumées mensongères.

Les représentants de l’actrice et de la compagnie n’ont pas encore émis de commentaires sur l’affaire.

Rappelons que la participation à l’émission de danse de Kristie Alley, 61 ans, remonte à 2011.

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Ne-Yo refuse le rôle de Martin Luther King Jr.

Afin d’incarner Martin Luther King Jr., le chanteur Ne-Yo aurait dû gagner une trentaine de livres.

Toutefois, l’artiste regrette de ne pas avoir pu participer au projet.

« Ils voulaient commencer à tourner au moment où l’album R.E.D. serait lancé et voulaient que je gagne trente livres, alors je n’ai pas pu le faire. Je me pousse moi-même, mais le cinéma ne peut pas prendre la place de la musique. En plus, je me suis tué au gym depuis des mois en prévision de cet album parce que je voulais un relooking complet », a-t-il déclaré au Sunday Mirror.

Même s’il souhaite faire davantage de cinéma, Ne-Yo soutient donc que la priorité demeure sa carrière musicale.

Récemment, on a pu voir le chanteur dans de grosses productions américaines comme Battle: Los Angeles et Red Tails.

Rappelons que le disque The R.E.D. Album est le cinquième album studio de Ne-Yo. Il sortira le 18 septembre prochain aux États-Unis. Les simples Let Me Love You et Lazy Love figureront sur l’opus.

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Cancer du sein : Accoucher de gros bébés n’aiderait pas

Des chercheurs de l’Université du Texas affirment que les femmes qui ont de gros bébés ont un niveau plus élevé d’hormones, comme l’oestrogène, qui est d’ailleurs connu pour être associé à un risque accru de la maladie, révèle un article du Daily Mail.

Le fait d’avoir de gros bébés propulserait la croissance analogue à l’insuline libre associée au développement du cancer du sein et pourrait modifier les niveaux de trois hormones qui, en conséquence, créent un « environnement procancérigène », spécifie l’article.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les premiers accouchements de 410 femmes et ont pris en considération le poids des bébés en excluant les autres facteurs qui pourraient influencer le développement d’un cancer du sein, tels que le poids des femmes elles-mêmes, les antécédents médicaux ou l’utilisation de l’hormonothérapie substitutive.

Plusieurs peuvent se demander pourquoi un cancer apparaîtrait 30 ans après l’accouchement. À en croire les experts, le corps peut conserver une « mémoire » du niveau d’oestrogène élevé en raison de l’enfant qui avait un poids élevé.

« Bien que cette étude ait révélé un lien statistique entre les femmes dont le premier bébé avait un poids élevé à la naissance et un risque plus élevé de cancer du sein, il n’est pas prouvé que le poids élevé du bébé à la naissance ou les hauts niveaux d’hormones sont source d’un risque accru de cancer du sein », précisent les chercheurs.

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Le gain de poids est plus important dans les trois mois après l’arrêt du tabac

Après avoir analysé 62 études sur le sujet, des chercheurs concluent qu’arrêter de fumer vous fera prendre quelques kilos, mais les avantages pour la santé sont plus importants que ce gain de poids.
 
« Si vous arrêtez de fumer à 40 ans, votre gain en espérance de vie en bonne santé est de neuf ans », mentionne un des auteurs de l’étude, Henri-Jean Aubin.
 
« Les études montrent qu’un petit gain de poids n’accroît pas le risque de décès, contrairement à la cigarette », ajoute le professeur Estève Fernandez.
 
En moyenne, les gens vont prendre de 4 à 5 kilos dans l’année qui suit l’abandon du tabagisme. C’est surtout dans les trois premiers mois que cela survient, car après cette période, les gens ont pris en moyenne 2,9 kg.
 
Il est surprenant également de constater que 16 % des gens qui ont cessé de fumer auront perdu du poids, alors que 13 % auront pris plus de 10 kg.
 
« Il est impossible de prédire ce qu’on prendra ou pas au bout d’un an, et l’obsession de la silhouette est un obstacle à la réduction du tabac, surtout chez les femmes », ajoute le Pr Aubin.
 
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L’effet boomerang des régimes mieux compris

Les habitués des régimes alimentaires connaissent bien les effets yo-yo ou encore boomerang, c’est-à-dire qu’ils reprennent tout le poids perdu après un régime, et même plus.
 
Des chercheurs viennent de faire la lumière sur ce phénomène dans le Journal of the American Medical Association.
 
« La perte de poids entraîne des adaptations biologiques, notamment une diminution de la dépense énergétique de base et une augmentation de la faim, qui conduisent à une reprise de poids après le régime », mentionnent les chercheurs.
 
Le corps a un nombre de calories de base qu’il brûle chaque jour pour assurer son fonctionnement de routine. Lors de régimes, l’organisme tente de compenser la privation et se met alors en mode ralenti.
 
Après le régime, il conserve ce mode plus lent, ce qui fait que la dépense énergétique est moins grande qu’avant le régime. Il y a donc une reprise du poids perdu, et même plus encore.
 
La reprise de poids est aussi plus grande avec le régime réduit en graisse, car le corps s’est mis encore plus au ralenti qu’avec le régime faible en sucre. Toutefois, l’un et l’autre ne sont pas à choisir.
 
« Globalement, ce sont les variations de glycémie qui sont nocives, car elles entraînent des envies de sucre et des stockages excessifs », dit le Dr Alain Scheimann, nutritionniste.
 
« Pour maintenir la perte de poids, l’essentiel est d’éviter les privations qui conduisent inéluctablement à la frustration. Pour le reste, il faut conserver une alimentation équilibrée : limiter les sucres rapides, sans les exclure, garder les sucres lents (féculents, légumineuses), maintenir les protéines et les lipides en quantité très raisonnable. »
 
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Pour augmenter la libido, perdez du poids

Avec l’âge, les hommes croient que leur libido diminue. Ainsi, des chercheurs irlandais ont évalué 900 hommes prédiabétiques, en surpoids et ayant en moyenne 54 ans.
 
Selon leurs résultats, présentés lors du congrès de l’Endocrine Society, les hommes qui ont perdu du poids ont augmenté leur niveau de testostérone de près de 50 %.
 
Nous le savons, la testostérone est l’hormone qui régit la libido masculine. Les hommes en surpoids en ont un niveau plus bas que leurs homologues de poids normal.
 
Un manque de testostérone peut occasionner des troubles érectiles.
 
Les 900 hommes ont été divisés en trois groupes. Le premier suivait un régime et faisait 150 minutes de sport par semaine. Le second groupe prenait de la metformine, un médicament antidiabétique, et le troisième groupe recevait un placebo.
 
C’est dans le premier groupe que l’on a noté des résultats intéressants. Les hommes ont perdu en moyenne 8 kg en un an, leur diabète a reculé et leur niveau de testostérone a augmenté de 50 %.
 
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L’activité physique et le contrôle du poids sont des atouts contre le cancer du sein

Faire du sport et contrôler son poids après la ménopause peut aider à réduire de 30 % les risques de cancer du sein, mentionne une étude qui sera publiée sous peu dans la revue Cancer.
 
Nous savions déjà que l’activité physique était un atout majeur dans la lutte contre le cancer du sein, mais les chercheurs n’avaient pas vraiment mesuré l’impact de l’intensité, de la fréquence et du contrôle du poids.
 
1504 femmes ont été suivies. 233 avaient un cancer non invasif, et 1271 avaient un cancer invasif. 1555 femmes faisaient partie du groupe témoin. Toutes les participantes étaient âgées de 20 à 98 ans.
 
Les résultats montrent que les femmes qui ont fait de l’exercice dans leurs années de procréation ou postménopausiques ont réduit les risques de cancer, et ce, peu importe si les activités étaient d’intensité modérée ou intense.
 
Les femmes qui faisaient de l’activité de 10 heures à 19 heures par semaine réduisaient de 30 % les risques de développer la maladie.
 
« L’observation d’un risque réduit de cancer du sein, en particulier pour les femmes qui se sont engagées dans l’exercice après la ménopause, est particulièrement encourageante si l’on prend en compte l’âge tardif de l’apparition du cancer du sein », mentionne l’auteure de l’étude, Lauren McCullough.
 
À noter que toute prise de poids substantielle annule par contre les bienfaits de l’activité physique.
 
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Les fillettes prennent plus de poids que les garçons

Ainsi, dès l’âge de huit ans, les filles ne font en moyenne que 17 minutes d’exercice physique par jour, ce qui représente le tiers de ce qui est recommandé. Les garçons, quant à eux, en font durant 24 minutes, selon une étude de la Newcastle University.

Sur les jeunes ayant participé à l’étude, seulement 4 % du temps des enfants était consacré à l’activité physique, soit environ vingt minutes.

Les chercheurs croient que cette tendance est une bombe à retardement d’obésité. De plus, l’auteur de la recherche, le docteur Mark Pearce, trouve inquiétant que les filles, à l’âge de huit ans, soient déjà moins actives que les garçons.

De précédentes études avaient déjà démontré que plusieurs filles perdaient leur intérêt pour le sport à l’adolescence, mais jamais on n’avait soupçonné qu’elles perdaient leur enthousiasme à un si jeune âge.

Le docteur Pearce croit qu’il faudrait que les jeunes filles perçoivent les femmes athlètes comme des modèles afin de les encourager à faire du sport.

Rappelons que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et, par conséquent, ne montrent pas l’exemple à leurs enfants.

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Il ne faut pas toujours se fier à l’IMC

Le calcul de l’IMC n’est pas une mesure assez fiable pour déterminer l’obésité infantile, selon les chercheurs de la Leeds Metropolitan University.

Les scientifiques ont comparé les résultats de trois tests sur plusieurs enfants. D’abord, avec l’IMC, plus de 20 % des garçons et plus de 18 % des jeunes filles étaient considérés comme à risque de développer de l’obésité.

Pour ce qui est de la mesure du tour de taille, ces chiffres s’élevaient à 26 % chez les garçons et à 36 % chez les filles.

Finalement, pour le rapport tour de taille/taille, les résultats obtenus ressemblaient plus au test du tour de taille qu’à l’IMC.

Les experts croient donc qu’il serait mieux de revoir et de mieux définir les méthodes de mesure pour prévenir plus efficacement l’obésité infantile.

De plus, on peut lire sur Santélog.com que la prise en compte de l’adiposité centrale de l’enfant serait plus représentative et pertinente.

Rappelons que la majorité des parents ne sont pas conscients de ce qui cause l’embonpoint chez leurs enfants. Cependant, de récentes études ont révélé que les enfants d’âge préscolaire sont sédentaires 85 % du temps.

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Réduire les choix alimentaires ne fait pas perdre de poids

Offrir moins d’options de malbouffe ne réduit pas la quantité globale de calories ingurgitées, donc n’aide en rien la perte de poids, rapporte une étude américaine dévoilée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Cette étude met donc en garde contre les régimes qui limitent la variété des aliments.
 
200 personnes en surpoids ou obèses ont participé à cette recherche. Elles ont été divisées en deux groupes et ont fait des modifications de leur style de vie pour perdre du poids.
 
Elles ont eu des rencontres de groupes, une alimentation réduite en calories et des activités physiques. Cinquante pour cent des personnes ont vu leur choix de malbouffe être réduit à deux options seulement.
 
Après 18 mois, tous les participants avaient perdu du poids, et dans les deux groupes, la réduction globale des calories était la même.
 
On constate que même en réduisant les choix alimentaires de la malbouffe, il y a compensation ailleurs, avec d’autres aliments. Ainsi, le nombre global de calories consommées n’est pas plus petit en réduisant les choix alimentaires.