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Brûler les graisses en dormant

On sous-estime bien souvent les troubles du sommeil. Dormir sert non seulement à se détendre et à faire le plein d’énergie, cela aide également à brûler les graisses.
 
Un sommeil réparateur stimule en effet le corps à brûler les graisses.
 
« Le sommeil peut réellement augmenter la capacité du corps à brûler les graisses. Pendant le sommeil, le corps métabolise les glucides pour l’utiliser comme énergie », explique l’experte Christine Free à MedicMagic.
 
Le manque de sommeil perturbe donc le métabolisme et cause des dépôts de graisses, ce qui conduit à un gain de poids.
 
Comme nous le savons déjà, faire de l’exercice permet de brûler les calories et perdre du poids, mais cela favorise également le sommeil. En bougeant, vous risquez de mieux dormir une fois l’heure venue.
 
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Manger lentement pour perdre du poids

Si vous avez de la difficulté à perdre du poids, et ce, peu importe le régime suivi, essayez de manger plus lentement.
 
Le Health Day rapporte que les personnes en surpoids auraient tendance à manger plus rapidement que les personnes minces.
 
De plus, les hommes mangent également plus vite que les femmes, soit 80 calories à la minute contre 52.
 
Cette dernière différence entre les sexes peut aussi s’expliquer par le fait que les hommes ont des besoins énergétiques plus grands que les femmes.
 
Les chercheurs constatent également que les céréales de blé et le pain de seigle, par exemple, se consomment moins rapidement que les céréales raffinées. La raison en est que les grains entiers ont besoin de plus de mastication et de digestion, notamment.
 
En mangeant plus lentement, on consommerait moins de calories, et il y aurait ainsi une perte de poids.
 
Changer sa vitesse de consommation n’est pas chose aisée, car c’est une caractéristique innée. Il vaut tout de même la peine de tenter de le faire, selon les experts.
 
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Les règles de la santé infantile

Plusieurs études ont démontré l’influence du sommeil et du temps passé devant la télévision sur la santé et le poids des enfants. On lit donc sur Medical News Today un résumé des lignes directrices à suivre.

On souligne que le sommeil peut aider notre enfant à maintenir un poids santé. Il a plusieurs fois été démontré que dormir suffisamment aidait efficacement à avoir un poids corporel normal.

Les enfants qui dorment moins de 9 heures par nuit ont 2 fois plus de risques d’avoir un surpoids, en comparaison avec ceux qui cumulent 11 heures de sommeil. Ceux qui dorment de 9 à 10 heures par nuit ont quant à eux un risque de surpoids 1,3 plus élevé.

On a aussi prouvé que plus un enfant passe de temps devant la télévision ou l’ordinateur, plus il a tendance à faire de l’embonpoint. De plus, le tour de taille des enfants a déjà été mis en relation directe avec le type de comportement adopté (actif ou passif).

D’autre part, l’alimentation est influencée par le temps passé devant l’écran. Les enfants qui regardent beaucoup la télévision consomment des aliments gras, et surtout très élevés en sucre.

En considérant ces corrélations à l’inverse, on remarque qu’un enfant qui a un comportement actif durant ses temps libres et qui passe moins de temps devant la télévision sera plus enclin à adopter une saine alimentation.

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Le désordre augmenterait les mauvaises habitudes alimentaires

Étrangement, certains experts croient que si votre maison est en désordre, vos avez plus de chance de prendre du poids. Pourquoi? Parce que vous aurez tendance à manger plus souvent à l’extérieur.
 
Si votre maison est encombrée et sens dessus dessous, vos habitudes alimentaires risquent fort bien de l’être tout autant. C’est une opinion que partage Peter Walsh dans son livre Does This Clutter Make My Butt Look Fat?.
 
Les vieux magazines qui traînent, les boîtes de chaussures qui s’empilent, bref si votre maison, et surtout votre cuisine, est encombrée, vous risquez de moins cuisiner et donc de succomber aux plats pour emporter ou aux repas au restaurant.
 
Notre maison serait le reflet de notre esprit et de notre corps. Apparemment, en remettant de l’ordre dans notre foyer, les mauvaises habitudes alimentaires ont tendance à disparaitre également, rapporte le Daily Mail.
 
La première étape vers une perte de poids serait donc de réévaluer son style de vie et son environnement afin de partir du bon pied et favoriser la réussite du programme.
 
Rendre son chez-soi propice aux bons repas sera un atout majeur dans la démarche.
 
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Weight Watchers, meilleur que les suivis médicaux

Une nouvelle étude confirme des données dévoilées précédemment concernant les programmes commerciaux de perte de poids de style Weight Watchers.
 
Ce type de programme est plus efficace pour une perte de poids durable que les suivis médicaux, indique le British Medical Journal.
 
Les chercheurs croient que le meilleur investissement consisterait à encourager les gens à suivre les programmes commerciaux et assister aux rencontres de soutien.
 
740 obèses ou personnes en surpoids ont été recrutés pour l’étude. Ceux qui avaient suivi les programmes comme Weight Watchers avaient eu une perte de poids plus significative.
 
Après un an, seul le programme Weight Watchers marquait les chutes de poids les plus importantes,et le plus grand nombre de participants qui avaient continué d’assister aux rencontres.
 
Toutefois, d’autres spécialistes ajoutent que la meilleure façon de perdre du poids est de choisir la méthode qui nous convient et qui est la bonne pour nous, peu importe laquelle.
 
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Couper les calories est aussi bon pour le cerveau

Couper le nombre de calories consommées quotidiennement ne va pas seulement avoir un impact sur votre poids, mais également sur votre mémoire.
 
Après avoir fait une étude sur 50 femmes de poids normal ou légèrement en surpoids, les chercheurs constatent que réduire le nombre de calories consommées améliore significativement la mémoire.
 
Sur les 50 participantes, 20 ont vu leur nombre de calories être réduit, 20 avaient augmenté leur consommation d’acides gras insaturés, et 10 conservaient leur régime habituel.
 
C’est uniquement sur le premier groupe que l’on a noté un impact sur la mémoire. Non seulement les femmes avaient perdu du poids, mais elles avaient également amélioré leurs résultats aux tests de mémoire de 20 %.
 
Ce sont des conclusions tout à fait surprenantes, rapporte le Proceedings of the National Academy of Sciences. Même si le nombre de participantes n’est pas élevé, les résultats sont assez significatifs pour être pris en considération par les chercheurs, qui pousseront plus loin leurs analyses prochainement.
 
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De plus en plus de jeunes sautent des repas

Il est troublant de constater que de plus en plus de jeunes prennent de très mauvaises habitudes. Selon le Daily Mail, nombreuses sont les jeunes filles d’à peine 10 ans qui commencent à sauter des repas et éliminer les aliments essentiels dans l’espoir d’avoir un corps parfait.
 
L’étude faite sur 83 000 jeunes démontre qu’ils sont énormément influencés par les célébrités et l’image corporelle dépeinte dans les médias.
 
Ainsi, le tiers des fillettes de 10 ans interrogées disaient avoir sauté le petit déjeuner, et 24 % avaient également sauté le dîner de la veille. Cette proportion augmente avec l’âge, car chez les 14-15 ans, ce sont les deux tiers qui ne prennent pas le petit déjeuner.
 
Malheureusement, 40 % des garçons et des filles évitent de consommer des protéines et le quart dit aussi consommer régulièrement des croustilles, des friandises et du chocolat.
 
De plus, ils ont tendance à adopter d’autres habitudes malsaines comme fumer et consommer de l’alcool. Les résultats de cette recherche montrent que des jeunes de 12 ans seulement consomment l’équivalent de 19 verres de vin par semaine. La plupart des jeunes boivent de l’alcool à la maison.
 
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Le poids de naissance et l’autisme

Des chercheurs de l’University of Pennsylvania ont mené une vaste étude quant à un lien entre le poids d’un bébé et l’autisme. Leur recherche s’étant étalée sur 21 ans a été publiée dans Pediatrics. Il s’agit d’une analyse unique en son genre.

Selon leurs résultats, un enfant qui naît avec un faible poids de naissance serait plus à risque d’être atteint d’autisme. Parallèlement, un bébé prématuré se retrouverait cinq fois plus vulnérable quant à l’autisme qu’un enfant né avec un poids normal.

Les enfants de cette recherche sont nés entre septembre 1984 et juillet 1987 dans différents secteurs du New Jersey. Ils pesaient, à la naissance, entre 500 et 2000 grammes, et tout au plus 4,4 livres.

Le lien entre le faible poids de naissance et les problèmes cognitifs avait déjà été relevé, mais c’est la première fois que l’on met ainsi en lumière sa relation avec la prévalence de l’autisme.

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Redéfinir la malnutrition chez l’enfant

On associe habituellement la malnutrition aux enfants vivant au sein de pays en voie de développement. Or, il s’agit aussi d’une réalité partagée par bien des enfants des pays industrialisés.

On peut lire dans Deutsches Ärzteblatt International que cela touche de 2 à 24 % des jeunes patients des hôpitaux pédiatriques dans les pays industrialisés. La malnutrition peut nuire au développement physique de l’enfant, mais aussi à l’atteinte de sa maturité psychomotrice. Ses aptitudes intellectuelles et son immunité peuvent également être touchées.

Les symptômes les plus courants de la malnutrition sont le plus souvent un poids insuffisant ou une perte de poids, laquelle est causée par un manque de nutriments. On rappelle que plus tôt la malnutrition est remarquée, meilleur sera le traitement attribué à l’enfant.

D’autre part, on note qu’un retard de croissance peut aussi être engendré par une maladie sous-jacente. Le retard est souvent un symptôme d’une maladie neurologique ou gastro-intestinale. Le traitement doit alors cibler la maladie en tant que telle, mais un apport nutritionnel peut aussi être apporté à l’enfant atteint.

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Les garçons autistes croissent plus vite

Un garçon autiste présenterait certains signes d’une croissance plus rapide que les autres, lorsqu’il est un bébé, lit-on dans les Archives of General Psychiatry. Des chercheurs ont relevé que des bébés garçons atteints d’autisme auraient une plus grosse tête, une plus grande taille et un poids plus élevé.

Il s’agirait ici de nouvelles façons de déceler le syndrome. Il semble par ailleurs que les petits garçons qui présentent cette croissance accélérée montreraient aussi des symptômes de l’autisme plus graves, et ce, en particulier pour les aptitudes sociales.

On comprendrait mieux, grâce à cette découverte, certains des mécanismes sous-jacents de l’autisme. Une plus grosse tête sous-entendrait un plus gros cerveau. Toutefois, on doit poursuivre la recherche sur d’autres facteurs morphologiques avant de donner une réponse définitive sur ce point.

Les chercheurs perçoivent déjà que cette croissance exagérée puisse être l’une des causes de l’autisme. Soit elle ferait en sorte que les symptômes s’aggravent, soit elle représenterait un sous-type du syndrome, lequel serait marqué par cette croissance et de plus sévères déficits sociaux. La réponse à cette croissance accélérée n’est toutefois pas encore connue.