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L’activité physique est plus efficace qu’une saine alimentation

Le rapport Obésité au Canada mentionne que pour prévenir l’obésité, il n’y a pas mieux que d’augmenter son taux d’activité physique plutôt que d’adopter une saine alimentation.
 
Selon l’étude canadienne, si tous les citoyens du pays changeaient leur alimentation, on pourrait réduire le cas d’obésité de 350 000 personnes.
 
Par contre, bouger plus de 15 minutes par jour, à faible intensité, diminuerait les cas d’obésité d’un million de personnes, soit 646 000 femmes et 405 000 hommes.
 
« On a été un peu surpris. On pensait que la nutrition aurait un impact plus important que ça. Mais c’est plutôt l’activité physique qui arrive en tête », déclare le vice-président recherche et analyse à l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), Jérémy Veillard.
 
Toutefois, le problème de l’obésité étant complexe et causé par divers facteurs, on ne pourrait tout régler.
 
Pour perdre du poids, c’est l’adoption d’une saine alimentation qui est le plus efficace.

L’obésité touche un adulte sur quatre au Canada et un enfant sur onze.

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La somnolence influence nos choix alimentaires

La somnolence diurne affecte le contrôle inhibiteur de notre cerveau devant la vision d’aliments alléchants et riches en calories. C’est la conclusion à laquelle parviennent des chercheurs, selon ce que rapporte le Science Daily.
 
En état de somnolence, il y aurait moins d’activation dans le cortex préfrontal devant des aliments caloriques. Ainsi, cela pourrait affecter nos choix alimentaires et nous faire privilégier les aliments moins sains.
 
Nous savons qu’avoir suffisamment d’heures de sommeil est essentiel pour la santé en général, mais nous ajoutons maintenant que cela aide à conserver la ligne. En effet, avec moins de sommeil, nous sommes inconsciemment portés à manger des aliments beaucoup plus caloriques, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids.
 
Finalement, l’obésité pourrait être mieux gérée si les personnes avaient un bon sommeil réparateur chaque nuit.

En 2010, des chercheurs avaient démontré que l’attrait des aliments plus caloriques était nettement plus élevé chez les femmes que chez les hommes, en réponse à leur activation différente dans le cortex préfrontal.

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L’obésité à l’adolescence augmente les risques de cancer plus tard

Une étude publiée dans les Annals of Oncology mentionne que l’obésité à 18 ans augmente les risques de mourir d’un cancer plus tard.
 
L’étude, qui a été réalisée auprès de 20 000 hommes, révèle que ceux en surpoids ou obèses lorsqu’ils étaient jeunes avaient 35 % plus de chances d’avoir un cancer que ceux qui avaient un poids santé.
 
Malheureusement, une perte de poids à un âge moyen ne réduit pas les risques de maladies. Les chances de développer un cancer du poumon, de la peau, des reins et de la prostate, de même que de la vessie, de l’œsophage et des testicules sont toujours bien présentes.
 
Même si la recherche a été réalisée auprès des hommes, les chercheurs affirment que les femmes auraient aussi des risques similaires si elles avaient un problème de poids à l’adolescence.

Il est donc primordial de maintenir un poids santé tout au long de sa vie pour réduire au maximum les risques de maladies.

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Proportions inquiétantes de boulimie infantile

On apprend dans le Journal of Clinical Nursing que plusieurs enfants d’à peine 10 ans présentent des signes de troubles alimentaires futurs. Selon une étude taïwanaise ayant porté sur près de 16 000 enfants et adolescents, se faire vomir est assez fréquent chez les plus jeunes.

En effet, pas moins de 16 % des enfants âgés de 10 à 12 ans ont avoué se faire vomir dans le but de perdre du poids, contre 15 % chez les 13 à 15 ans. Le taux semble en fait diminuer au fil des ans : seulement 8 % des 16 à 18 ans, dans le cadre de cette étude, se faisaient vomir.
 
La différence était aussi notable entre les garçons et les filles, car ces dernières se faisaient vomir dans 16 % des cas au total, contre 10 % chez les garçons.
 
Ce comportement est précurseur de troubles alimentaires comme l’anorexie et la boulimie. Vu le nombre de jeunes enfants s’y adonnant, la prévention s’impose afin de contrer ces futurs problèmes psychologiques.

Selon les chercheurs, ce réflexe de vomissement pourrait être prévenu en s’assurant que l’enfant déjeune chaque matin, qu’il dort suffisamment, qu’il mange le moins possible de grignotines à base de friture en soirée et qu’il passe moins de temps devant un ordinateur.

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La pilule contraceptive ne fait pas grossir

Longtemps, on a cru que la pilule contraceptive était à l’origine d’un gain de poids chez les femmes. Pourtant, il n’en serait rien.
 
Le Science Daily rapporte les résultats d’une nouvelle étude de l’Université de Göteborg en Suède. Celle-ci n’a établi aucun lien entre la prise de poids et l’usage de la pilule contraceptive. Les résultats ont été obtenus après un long suivi de 1 749 femmes suédoises.
 
L’année dernière en Oregon, une équipe de chercheurs menée par Judy Cameron était parvenue à la même conclusion et le site internet WebMD a publié les mêmes conclusions, affirmant que 44 études sur le sujet n’avaient trouvé aucun lien entre le médicament et la prise de poids chez les femmes.
 
Lorsque cela se produit, on croit plutôt que cette prise de poids est liée à l’âge. « Il semblerait que cette croyance persiste, car la prise de poids liée à l’âge est attribuée à ce médicament », explique Judy Cameron.
 
En ce moment, la pilule contraceptive est aussi à l’origine d’un débat concernant les risques accrus de cancer du sein. Cependant, les avis sont très partagés à ce sujet. Pour faire votre choix, consultez votre médecin, qui saura vous guider dans votre décision.
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La proximité des fast-foods n’influencerait pas le poids des jeunes

On a souvent mentionné que la présence d’établissements de restauration rapide près des écoles secondaires favorisait la prise de poids chez les jeunes, qui étaient alors plus tentés de s’y rendre pour manger.
 
Une étude rapportée par le Journal of Nutrition Education and Behavior affirme plutôt qu’il n’y a pas de lien entre le poids des élèves et la présence de fast-foods près de l’école.
 
Certes, chez les adolescents, ces établissements sont extrêmement populaires, mais n’auraient pas d’impact direct sur leur poids.
 
552 étudiants de 11 écoles ont été interrogés pour connaître leurs habitudes de consommation des produits de restauration rapide. La moitié des jeunes les fréquentaient une fois par semaine et un peu plus de 10 % y allaient tous les jours.
 
12,7 % de ces jeunes étaient en surpoids, 12,5 % étaient obèses, 73 % étaient de poids normal, alors que 1,8 % avaient un poids insuffisant.

On recommande donc plutôt de viser les comportements des jeunes et de leur enseigner les bonnes habitudes alimentaires dès leur enfance.

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Prolonger son sommeil limite la prise de poids

Une étude faite avec 43 personnes qui dormaient moins de six heures, âgées de 18 à 64 ans, révèle que celles qui prolongent leurs heures de sommeil vont prendre moins de poids avec le temps.
 
En vieillissant, tout le monde prend quelques kilos. Toutefois, les personnes qui dormaient moins de six heures et qui prolongent leur sommeil jusqu’à 7 ou 8 heures vont prendre moins de poids que les personnes qui persistent à dormir peu.
 
On peut observer une différence moyenne de 2,4 kg sur six ans, seulement en changeant ses habitudes de sommeil, mentionne la recherche publiée dans l’International Journal of Obesity.
 
« On sait que lorsqu’on manque de sommeil, plusieurs hormones — comme le cortisol, l’hormone de stress par excellence — sont perturbées. Je pense que les gens qui ont de bonnes nuits de sommeil gèrent mieux ces hormones de stress, qui sont en lien avec la prise alimentaire. Donc, ils mangent moins. En dormant plus, les gens sont moins exposés à notre environnement obésogène », explique Jean-Philippe Chaput qui a dirigé les travaux.

Effectivement, on est moins porté à grignoter lorsqu’on dort, alors qu’il est facile de succomber à la tentation si l’on est encore éveillé en pleine nuit.

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L’effet coupe-faim de la nicotine mis à jour

Découverte dans le monde médical concernant le tabagisme : des chercheurs sont parvenus à identifier les récepteurs du cerveau qui sont responsables de l’effet coupe-faim de la nicotine.
 
Cette découverte pourrait non seulement aider les fumeurs qui souhaitent arrêter de fumer à ne pas prendre de poids, mais aussi permettre éventuellement de mieux maîtriser l’obésité et les troubles du métabolisme.
 
La nicotine active un groupe de neurones qui indiquent au corps qu’il est rassasié, nous apprend la revue Science.
 
« L’identification de ces récepteurs est importante pour la compréhension des mécanismes liés à l’accoutumance, à la prise de poids et au tabagisme. Pour le moment, ces résultats se limitent à des souris, mais ils pourraient ouvrir la voie à des thérapies pour aider les fumeurs à cesser de fumer sans gain de poids », mentionne la Dre Mariella De Biasi, professeure adjointe de neurologie à la Faculté de médecine Baylor au Texas.

« Un grand nombre de fumeurs n’osent pas arrêter par crainte de grossir. Les résultats de notre recherche laissent penser que des médicaments qui stimuleraient ces récepteurs de nicotine devraient aider à limiter la prise de poids après avoir renoncé à la cigarette », dit-elle.

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La santé de maman durant la grossesse a des effets direct sur le bébé

Cette semaine seront présentés les résultats d’une autre étude qui atteste un risque du surpoids durant la grossesse pour le nouveau-né. On peut déjà en lire les grandes lignes sur Medical News Today.

Il semble, comme il a déjà été démontré lors de recherches précédentes, qu’une femme aura tendance à mettre au monde un bébé ayant un fort taux de gras si elle accuse un surpoids.
 
Selon cette nouvelle étude américaine, cela est indépendant du poids qu’avait la mère avant sa grossesse. On savait déjà que les enfants dont la maman avait pris trop de poids durant la grossesse avaient plus tendance à présenter un surpoids pour leur âge.
 
De plus, nous savons qu’un taux élevé en gras à la naissance est un facteur possible d’obésité infantile. Il y aurait donc raison de s’inquiéter quant aux répercussions d’un surpoids durant la grossesse.

Mentionnons finalement que les chercheurs de la présente recherche ont suivi 56 mamans. Aucune d’entre elles ne souffrait de diabète de grossesse. On a donc pu cibler le poids des femmes comme facteur sans tenir compte du diabète, ce que les études précédentes n’avaient pu faire.

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Les boissons énergisantes favorisent la prise de poids

Le Daily Mail rapporte que donner des boissons énergisantes à des enfants favorise un gain de poids, car ils ne sont pas assez actifs pour brûler les calories supplémentaires.
 
De plus, les chercheurs rappellent que le plus gros problème caché de ce type de boisson est le taux extrêmement élevé de caféine, soit 14 fois plus que dans les boissons gazeuses. Ce niveau est pratiquement toxique, encore plus pour les enfants.
 
C’est connu, la caféine est un stimulant lié aux convulsions, au diabète, aux problèmes cardiaques et aux troubles de comportement.
 
On recommande donc fortement que les enfants ne consomment pas de boissons énergisantes et qu’ils privilégient toujours l’eau, les jus de fruits ou le lait faible en gras avec les repas.