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Manger gras ne ferait pas grossir

Voici des résultats bien surprenants qui remettent en question une vieille croyance. L’apport alimentaire en lipides, à lui seul, ne ferait pas prendre du poids. C’est la conclusion à laquelle parviennent une série d’études scientifiques, selon NutriNews.
 
Après avoir analysé l’évolution annuelle du poids et de la consommation de lipides de près de 90 000 personnes âgées en moyenne de 53 ans, on n’établit aucun lien clair entre la consommation de gras et la prise de poids.
 
En fait, durant l’étude, l’apport énergétique quotidien de ces personnes en lipides (acides gras saturés, mono-insaturés et polyinsaturés) représentait 34 %. Sur un an, on a noté une prise de poids de 100 à 800 grammes.
 
Toutefois, après avoir tenu compte des autres composantes de l’alimentation et du mode de vie de chaque personne, les chercheurs ne peuvent établir une relation qui mettrait en évidence un lien entre une alimentation grasse et une prise de poids.
 
Ce ne sont donc pas seulement les gras les grands responsables du surpoids. Ainsi, imposer des régimes stricts et faibles en gras pourrait ne pas avoir les effets escomptés.
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Les recherches sur les bleuets se poursuivent

Récemment, on affirmait que les bleuets pouvaient devenir une arme particulièrement efficace contre l’obésité. De nouveaux détails viennent d’être publiés à ce sujet, selon le magazine Times.
 
En effet, les bleuets peuvent supprimer des cellules graisseuses, toutefois, on ne connaît pas encore la dose exacte nécessaire sur l’humain pour parvenir à des résultats concluants sans effets indésirables.
 
Shiwani Moghe, chercheuse de la Texas Women’s University, s’est penchée sur la recherche portant sur les effets des polyphénols contenus dans les bleuets.
 
Avec des rats de laboratoire, on a soumis un groupe à de fortes doses de polyphénols. Ceux-ci ont pu réduire leurs cellules graisseuses jusqu’à 73 %. Ceux ayant eu de plus petites doses ont tout de même réduit leur gras de 23 %.
 
Des essais sur des humains sont donc envisagés afin de confirmer les résultats et trouver la bonne dose qui permettra des résultats aussi remarquables.
 
Les experts le confirment, les bleuets peuvent aider à perdre du poids, sans compter tous les autres bénéfices pour lesquels ils sont déjà reconnus, comme des effets sur le cancer et une meilleure santé cardiaque.
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Perdre du poids améliore la mémoire

Une étude menée sur des personnes obèses démontre qu’en réduisant leur poids corporel, celles-ci ressentent des bénéfices au niveau de leurs facultés cognitives.
 
Selon le PsychCentral, les personnes avec un surplus de poids peuvent améliorer leur mémoire et leur concentration simplement en perdant du poids.
 
Le Dr John Gunstad et son équipe ont suivi 150 personnes obèses, dont 109 ont subi une chirurgie bariatrique et 41 sont demeurées obèses.
 
Plusieurs présentaient au départ des tests cognitifs moindres. 12 semaines après avoir subi la chirurgie bariatrique, les patients ont vu leur mémoire et leur concentration être améliorées.
 
On croit également qu’en perdant du poids, en adoptant un mode de vie sain et en suivant un programme d’exercices, les capacités cognitives pourront également être accrues.
 
Ainsi, non seulement les bénéfices se font sentir au niveau de la santé physique, mais il y a également des effets considérables sur la santé cérébrale. C’est la première fois que l’on établit ce genre de preuve dans une étude.
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Les pommes peuvent diminuer le mauvais cholestérol

Les pommes pourraient aider à diminuer le mauvais cholestérol sanguin. C’est ce qui ressort d’une étude effectuée auprès de femmes qui ont mangé 75 g de pommes séchées par jour pendant six mois.
 
Toutes ont vu leur taux de mauvais cholestérol être réduit de près du quart et elles avaient perdu en moyenne trois livres, malgré le fait qu’elles avaient pourtant consommé 240 calories de plus avec ce fruit.
 
Selon le Daily Mail, le bon cholestérol aurait été augmenté de 4 %.
 
On croit que les effets sur le taux de mauvais cholestérol seraient causés par les antioxydants des pommes. Pour la perte de poids, on l’attribue à l’effet coupe-faim de ce fruit. Ainsi, à cause de la pectine, les femmes avaient moins d’appétit.
 
Par contre, l’étude a été faite avec des pommes séchées. On mentionne que pour bénéficier des mêmes avantages avec des pommes fraîches, il faudrait en consommer quotidiennement quatre ou cinq.
 
Les scientifiques travaillent maintenant à créer une nouvelle variété de pomme « extra-santé » qui pourrait être vendue en magasins d’ici cinq ans.
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Les bleuets pour aider à perdre du poids

Pour perdre du poids, commencez par manger des bleuets. En effet, les chercheurs ont constaté qu’ils pouvaient réduire les cellules graisseuses du corps de trois quarts.
 
Ce petit fruit décompose les cellules adipeuses et il aide en plus à prévenir la formation de nouvelles cellules. Il pourrait donc être une arme puissante contre l’obésité.
 
Les bleuets sont déjà reconnus pour leurs nombreux bienfaits pour la santé, notamment pour prévenir les maladies cardiaques et le diabète de type 2. Ils contiennent aussi un niveau très élevé de polyphénols.
 
Des tests en laboratoire ont démontré qu’à forte dose, cela pouvait réduire les cellules graisseuses du corps de 73 %, alors que l’on parle plutôt d’une baisse de 27 % à petite dose.
 
Ces résultats ont été présentés lors du congrès de l’American Society for Nutrition.
 
Maintenant, les recherches seront plus approfondies afin de déterminer si les différentes doses peuvent entraîner des effets indésirables, mentionne le Daily Mail.
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Perte de poids efficace chez l’enfant

Une récente étude parue dans Pediatrics a fait la preuve que les parents doivent absolument participer lorsque leur enfant doit perdre du poids.

Des chercheurs ont suivi 165 enfants âgés de 6 à 10 ans ayant un surpoids. Les participants étaient divisés en trois groupes.
 
Une première partie suivait un programme amaigrissant basé sur l’atteinte de résultats, la résolution de problèmes et le renforcement positif. Celui-ci était expliqué aux parents par des diététistes.
 
Un second groupe suivait un programme d’activités physiques destiné aux enfants et expliqué par des enseignants en éducation physique. Les parents devaient alors démontrer leurs encouragements, et ce, très tôt.
 
Finalement, un dernier groupe suivait un programme combiné des deux premières façons de faire, dans lequel enfants et parents devaient participer.
 
Deux ans plus tard, les enfants qui démontraient une plus grande différence quant à leur indice de masse corporelle et leur circonférence de taille étaient ceux qui avaient suivi le dernier programme, soit une combinaison des deux premiers.

Il est donc primordial que les parents participent afin que leur enfant perde efficacement du poids.

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Le lait réduirait les risques cardiaques

Une nouvelle étude menée à l’Université Havard révèle que boire trois verres de lait quotidiennement réduit les risques de problèmes cardiaques de 18 %.
 
Ceci contredit le mythe voulant que le lait entraîne une prise de poids et conduise à l’apparition de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et même à la mort parfois.
 
Après avoir analysé 17 études d’Europe, d’Amérique et du Japon, les chercheurs n’ont trouvé aucun lien entre la consommation de lait ordinaire ou faible en gras et un risque accru de problèmes cardiovasculaires.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, une autre étude mentionne qu’une consommation élevée de calcium du lait serait plutôt associée à une perte de poids.
 
300 personnes avec un surplus de poids ont participé à cette recherche. Celles qui ont bu le lait riche en calcium ont perdu jusqu’à 38 % de leur poids sur deux ans.
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La perception du poids est familiale

Une récente étude américaine a démontré que dans les familles où les membres ont un surpoids ou sont obèses, ces derniers sous-estiment très souvent leur poids corporel.

Après avoir pris le poids des participants de l’étude, on a relevé que 68,5 % des mères étaient obèses ou en surpoids et que 38,9 % des enfants l’étaient.
 
Or, après que les participants aient répondu à un sondage, on a remarqué que 81,8 % des femmes obèses sous-estimaient leur poids corporel. La même chose a été observée chez 86 % des enfants obèses.

Ces données sont assez inquiétantes, car nous savons que l’obésité est en hausse dans les sociétés industrialisées et que ses conséquences peuvent être aussi graves que le diabète et les maladies du cœur.

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Lien entre l’asthme et l’obésité

D’après Medpage Today, une recherche américaine a établi un lien entre l’obésité à un jeune âge et l’asthme. Pour tirer cette conclusion, on a suivi plus de 800 enfants et jeunes adultes.

Il semble en fait que les enfants étant en surpoids et qui conservent ce surplus lorsqu’ils deviennent de jeunes adultes courent beaucoup plus de risques de souffrir de l’asthme que ceux qui conservent un poids normal en grandissant.
 
Précisément, ces jeunes étaient 2,4 fois plus à risques de devenir asthmatiques. Le lien était par ailleurs plus marqué chez les garçons. Ces derniers couraient donc 3,3 fois plus de risques, contre 1,9 chez les filles.

Finalement, les enfants en surpoids à l’âge de six à huit ans, mais qui étaient revenus à un poids normal avant la fin de leur secondaire, n’avaient pas de risques de devenir asthmatiques.

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L’autocompassion aide à maigrir

La psychologue Kristin Neff, de l’Université du Texas à Austin, a publié le livre Self-Compassion: Stop Beating Yourself Up and Leave Insecurity Behind. Elledévoile qu’une étude de 2007 avait démontré que l’autocompassion aidait à faire perdre du poids.
 
En fait, durant l’étude, certaines femmes avaient reçu des conseils d’autocompassion et d’autres non. Celles qui en avaient eu n’avaient pris qu’une petite quantité de bonbons lorsqu’on leur en avait offert une seconde fois, alors que les femmes qui n’avaient pas été conseillées en ont mangé beaucoup plus.
 
L’autocompassion ne veut pas dire se plaindre sur son sort, mais plutôt avoir une approche réconfortante, comme en témoigne un parent ou un ami pour une personne lorsque les choses ne vont pas.
 
De plus, les gens qui sont plus compatissants envers eux-mêmes ont tendance à être plus heureux et optimistes, donc moins enclins à la dépression.