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Un surplus de poids nuit à la fécondation in vitro

Les médecins savaient déjà qu’un surplus de poids augmentait les risques de fausses couches pour les femmes ou encore que les futures mères devaient vivre avec des complications en raison de leur indice de masse corporelle (IMC).
 
Des médecins britanniques viennent toutefois de conclure qu’avec la fécondation in vitro (FIV), ces risques sont également présents.
 
Après avoir suivi 318 femmes qui sont tombées enceintes par FIV entre 2006 et 2009, on les a divisées selon leur IMC, un IMC de 18 à 24 étant normal, plus de 25 étant en surpoids et un IMC de plus de 30 signifie que la personne est obèse.
 
Après avoir éliminé les autres facteurs de risques comme l’âge, les antécédents familiaux et le tabagisme, on conclut que le risque de fausse couche avec une FIV pour les femmes de poids normal est de 22 % comparativement à 33 % pour celles en surpoids ou obèses. Lorsqu’elles conçoivent un enfant naturellement, les femmes fortes ont 23 % plus de risques de faire une fausse couche.
 
Ces résultats ont été présentés lors du congrès annuel de la Société européenne de reproduction humaine et embryonnaire qui s’est tenu à Rome.
 
Les chercheurs affirment que le meilleur moyen d’augmenter ses chances de tomber enceinte, et de le rester, est de perdre du poids.
 
On ignore exactement pourquoi un surplus de poids nuit à la grossesse, mais on croit que la graisse est nocive pour les parois de l’utérus et empêche l’embryon de s’implanter correctement.
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Les collations seraient bénéfiques pour les adolescents

Les adolescents qui prennent des collations durant la journée seraient moins susceptibles d’être en surpoids ou d’être obèses.
 
Après avoir étudié 5 800 adolescents américains, les chercheurs ont constaté que l’obésité et l’obésité abdominale étaient diminuées si les jeunes prenaient des collations, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
En fait, chez ceux qui ne prenaient pas de collation, le taux d’obésité était de 39 %, comparativement à un taux de 30 % pour ceux qui mangeaient deux collations durant le jour, de 28 % pour ceux qui prenaient 3 collations et de 22 % chez ceux qui s’accordaient quatre collations ou plus par jour.
 
Par le passé, plusieurs études ont associé le grignotage à la prise de poids, alors que d’autres préconisaient la consommation de plusieurs petits repas chaque jour au lieu de trois plus copieux. Évidemment, en prenant des collations, il faut équilibrer les autres repas en les diminuant, sinon il y aura effectivement une plus grande consommation de calories.
 
De plus, l’étude révèle que le taux d’obésité abdominale était de 24 % chez ceux qui se contentaient de trois repas, alors que pour le groupe des quatre collations par jour, il était de 11 %.
 
Des chercheurs demandent à ce que ce type de recherches se poursuive sur une plus longue période afin de confirmer la théorie voulant que le grignotage s’avère bénéfique finalement.
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Le poids d’une tumeur cancéreuse de la prostate est proportionnel au poids du patient

Lors de la rencontre annuelle de l’American Urology Association, le Dr Nilesh Patil, urologue de l’Hôpital Henry Ford à Détroit, a révélé les résultats de sa nouvelle étude.
 
Il affirme que la taille d’une tumeur cancéreuse de la prostate est directement proportionnelle au poids du patient. C’est ce que dévoilent ses résultats, obtenus après six ans de recherches sur les tumeurs de 3 327 personnes.
 
De plus, on constate que plus la tumeur est grosse, plus le cancer est agressif. « Lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) augmente, le volume de la tumeur s’accroît proportionnellement. À partir de nos résultats, nous pensons que le fait d’avoir une tumeur plus volumineuse pourrait aussi contribuer à une agressivité accrue du cancer chez les hommes ayant un IMC plus élevé », explique le Dr Patil.
 
L’âge moyen des patients qui ont collaboré à la recherche était de 60 ans. Ils ont été divisés en différentes catégories selon leur IMC : poids normal ou trop maigre (IMC de 24 ou moins), en surpoids (25 à 29,9), obèse (30 à 34,9) et très obèse (IMC de 40 et plus).
 
Les chercheurs ont observé que le poids de la tumeur était très lié au poids de la personne malade.
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Prendre trop de poids durant la grossesse est nocif pour le bébé

Accumuler les livres durant sa grossesse n’est pas souhaitable. Selon le journal Ciculation de l’Association américaine du coeur, « manger pour deux » est une fausse croyance qui devrait être évitée.
 
Selon les chercheurs, les femmes qui prennent trop de poids durant leur grossesse exposent leur enfant à des problèmes de santé graves plus tard, notamment des problèmes cardiaques. À l’âge de 9 ans seulement, les enfants issus de ces grossesses sont plus gros et ont un faible taux de bon cholestérol dans le sang.
 
Les femmes devraient donc surveiller leur prise de poids, surtout si elles ont un surplus de poids ou sont obèses au départ.
 
Selon la coauteure de l’étude, Dre Abigail Fraser, le plus important n’est pas de savoir combien une femme prend de livres durant sa grossesse, mais surtout de savoir quel est son poids avant qu’elle tombe enceinte. Les femmes obèses ont plus de complications durant leur grossesse et à l’accouchement.
 
Après avoir analysé les dossiers de 5 000 femmes, on recommande à une femme de poids normal de ne pas prendre plus de 35 livres (15,88 kilos), une femme en surplus de poids devrait se limiter à 25 livres (11,34 kilos), alors qu’une femme obèse ne devrait pas excéder une prise de poids de 20 livres (9,07 kilos).
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Plus de bébés en insuffisance pondérale en Alberta

L’Alberta est peut-être la province canadienne la plus riche, mais elle est aussi celle où le plus grand nombre de bébés en insuffisance pondérale (moins de 5,5 livres) ont vu le jour entre 2008 et 2009.
 
Selon l’Institut canadien d’information sur la santé, le taux de bébés trop petits représente 6,7 % de toutes les naissances. La moyenne canadienne est de 6 %.
 
Les bébés qui naissent en insuffisance pondérale peuvent avoir des retards de développement et des problèmes physiques. Ils peuvent également développer d’importants problèmes de santé plus tard, sans doute parce qu’ils n’ont pas terminé leur développement dans l’utérus. D’ailleurs, ils passent souvent beaucoup plus de temps à l’hôpital.
 
Le taux des naissances de bébés de faible poids varie d’une province à l’autre. À l’Île-du-Prince-Édouard, cela représente 4,9 % des naissances, au Manitoba 5,1 % et en Ontario, le taux est de 6,4 %.
 
La nouvelle étude démontre également qu’il y a de plus en plus de naissances qui se font à l’hôpital, une hausse de 4,8 % depuis 2006-2007.
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Les femmes prennent plus de poids à leur première grossesse

La prise de poids durant la grossesse est une question qui intéresse toutes les futures mamans. Un récent rapport fait maintenant la lumière à ce sujet.
 
5 554 femmes ont participé à une recherche et on a constaté qu’une femme qui attend son premier enfant est plus susceptible de prendre plus de poids que celles qui ont déjà eu une grossesse.
 
De plus, on note que les femmes plus jeunes, moins instruites ou encore autochtones auraient tendance à prendre plus de poids que ce qui est recommandé durant leur grossesse.
 
Pour une femme avec un indice de masse corporelle (IMC) inférieur à 20 avant de tomber enceinte, il est recommandé qu’elle prenne de 27,5 livres à 40 livres durant sa grossesse, sinon elle aura un bébé de petit poids.
 
Pour les femmes avec un IMC de 20 à 27 avant la grossesse, on recommande une prise de poids de 25 à 35 livres, mais pour les femmes avec un IMC de plus de 27,1, le gain ne devrait pas dépasser plus de 25 livres.
 
Or, 55 % des femmes en surpoids prennent trop de poids durant leur grossesse, alors que ce taux est de 41 % chez celles de poids normal et de 26 % chez celles étant trop minces.
 
De plus, cinq à neuf mois après la naissance de leur enfant, les femmes ayant pris le plus de poids sont souvent celles qui en conservent le plus également, en moyenne une dizaine de livres.
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Les régimes hypocaloriques augmentent le stress

Avec la période estivale qui approche, plusieurs seraient tentés de suivre un régime pour maigrir, mais sachez qu’avec les régimes hypocaloriques, il est plus difficile de perdre du poids et de le maintenir.
 
La majorité des personnes qui suivent ce genre de régime reprennent le poids perdu ensuite. En fait, aux États-Unis, sur les 47 % d’adultes qui se sont mis au régime, 64 % ont repris plus de poids qu’ils en avaient perdu.
 
Cela cause bien souvent l’effet yoyo nocif à la santé. Les chercheurs mentionnent que les restrictions caloriques augmentent la sécrétion de cortisol, l’hormone du stress, et favorisent donc une accumulation de la graisse abdominale.
 
Doctissimo rapporte que 121 femmes ont suivi différents régimes pendant trois semaines durant lesquelles leur niveau de stress était mesuré. On a noté un haut niveau de celui-ci chez les femmes qui comptaient leurs calories et chez celles qui devaient se contenter de 1 200 calories par jour.
 
On rappelle que pour que la perte de poids soit réussie, il faut supprimer l’idée de privation, de faim et d’inconfort. Les médecins préconisent une alimentation équilibrée et variée, des activités physiques régulières, de la discipline et beaucoup de motivation.
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Prendre trop de poids durant la grossesse augmente les risques d’obésité

L’American Journal of Clinical Nutrition rapporte que les femmes qui prennent trop de poids durant leur grossesse ont plus de chances d’être obèses dans les années après l’accouchement.
 
En général, ces femmes continuent de prendre en moyenne 44 livres dans les 21 années suivant leur accouchement. Les femmes qui prennent moins de poids ne gagnent en moyenne que 21 livres en 21 ans.
 
Pour en arriver à ces résultats, des médecins de l’Université du Queensland à Herston, en Australie, ont observé l’indice de masse corporelle (IMC) de 2 055 femmes avant et après leur accouchement.
 
Les femmes qui prennent beaucoup de poids alors qu’elles sont enceintes ont deux fois plus de chances d’avoir un surpoids et quatre fois plus de risques de devenir obèses plus tard.
 
Les chercheurs ont établi un lien clair entre le poids durant la grossesse et l’IMC des femmes. L’impact était plus marquant lorsque les chercheurs ont examiné le poids des femmes avant les grossesses et la différence ensuite.
 
Toutefois, il est controversé de demander aux futures mères de s’astreindre à un régime, car cela peut affecter la croissance du fœtus.
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Un petit poids à la naissance dû aux gènes

Le Nature Genetics rapporte que des scientifiques ont découvert deux variantes génétiques qui affectent le poids du bébé à sa naissance et augmente les risques de développer le diabète de type 2 une fois adulte.
 
On savait déjà que les bébés de petite taille avaient plus de chances de devenir diabétiques, mais on en ignorait les raisons.
 
Il est vrai que les habitudes alimentaires de la femme durant sa grossesse influencent la croissance de son bébé, mais aussi les risques de maladies dans l’avenir. Toutefois, les gènes joueraient aussi un rôle important dans le phénomène, notamment la variante CDCY5 qui est liée au risque de diabète de type 2.
 
Les bébés qui héritent des deux variantes génétiques sont beaucoup plus à risque, non seulement d’avoir un plus petit poids à la naissance, mais aussi de devenir diabétiques une fois adultes.
 
Le diabète de type 2 est de plus en plus fréquent et est une maladie qui interfère dans la capacité du corps à utiliser correctement le sucre et l’insuline.
 
Maintenant, les chercheurs doivent déterminer dans quelle proportion les habitudes de la mère et les gènes jouent un rôle dans les risques de maladies à l’âge adulte afin de mieux traiter et prévenir les problèmes de santé.
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Potins

Jennifer Hudson est fière de ses nouvelles formes

Elle n’avait pourtant pas pris tant de poids durant sa grossesse, mais après la naissance de son fils David en août dernier, Jennifer Hudson a senti qu’elle devait reprendre le contrôle de son corps.
 
Depuis, la chanteuse et actrice a perdu tous les kilos pris alors qu’elle était enceinte et même plus. Elle est plus mince qu’avant grâce au programme Weight Watchers dont elle est la nouvelle porte-parole. Maintenant, lorsqu’elle voit des photos d’elle durant sa grossesse, elle n’en revient pas. « Je ne me reconnais pas. Quoi? Oh mon Dieu, c’est moi! Maintenant, wow! Regardez la différence », dit-elle à People.
 
L’ancienne finaliste d’American Idol, qui a aussi reçu l’Oscar de la meilleure actrice de soutien en 2007 pour sa performance dans Dreamgirls, a complètement changé ses habitudes alimentaires. Elle souhaite donner l’exemple à son fils. Elle sait que de bonnes habitudes s’acquièrent dès le jeune âge.
 
De plus, son fiancé, David Otunga, a décidé de suivre son exemple et surveille maintenant davantage ce qu’il mange. « Dorénavant, lui aussi note tout ce qu’il mange. Il se pèse régulièrement. Il a un mode de vie très sain et même s’il a un physique de culturiste, il fait très attention », dit-elle.
 
Le 31 mai, Hudson entamera le tournage de Winnie, un film sur la vie de Winnie Madikizela-Mandela, l’ex-épouse de Nelson Mandela. Hudson jouera le rôle-titre.