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Les bienfaits de l’avoine se confirment

Pour bien commencer la journée et faire le plein d’énergie, rien ne serait mieux qu’un bol de lait avec des flocons d’avoine, rapporte Health News.

Selon le site, plus de 40 études démontrent les bienfaits de l’avoine sur la santé humaine. La céréale apporte une quantité intéressante de fibres solubles qui favorisent la diminution du cholestérol, ainsi que les risques de maladies cardiaques.

Des essais cliniques menés au Centre canadien de médecine fonctionnelle démontrent également que l’avoine favorise la perte de poids, car elle procure un sentiment de satiété.

Les avantages d’un déjeuner de qualité ont maintes fois été prouvés, notamment pour les enfants, car un bon déjeuner augmente la réussite scolaire.

Pour agrémenter le goût des flocons d’avoine, il est possible d’y ajouter un peu de miel ou de cannelle.

L’avoine est aussi un ingrédient que l’on retrouve dans le pain, les gâteaux et les biscuits, de même que dans les produits cosmétiques, comme certains savons et masques pour le visage.

Maintenant, on retrouve de plus en plus sur le marché le son d’avoine, qui n’était autrefois mangé que par les animaux. Le son d’avoine accélère le transit intestinal. Il représente également des bienfaits non négligeables pour la santé.

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Rapport troublant sur les jeunes filles

Le Times fait part des troublants résultats d’un sondage réalisé auprès des jeunes filles.

Le plus surprenant est que dès l’âge de 10 ans, les jeunes filles deviennent de plus en plus obsédées par leur poids et veulent désespérément être minces, non pas pour leur santé, mais pour répondre aux critères de beauté de la société actuelle. Ainsi, on observe une dramatique baisse de l’estime de soi.

Bien que l’obsession du poids chez les jeunes filles ne soit pas nouvelle, cela commence maintenant de plus en plus jeune. En plus des troubles alimentaires et des nombreux régimes draconiens, on fait face aux chirurgies esthétiques très tôt.

Selon l’étude dévoilée par le Times, 12 % des jeunes filles âgées de 11 à 13 ans envisagent de recourir à des chirurgies, comme un anneau gastrique ou autre opération similaire. Ce pourcentage grimpe à 14 % chez les 13 à 16 ans. Ensuite, jusqu’à 21 ans, cela augmente radicalement à 50 % des filles qui souhaitent recourir au bistouri pour maigrir.

On rappelle qu’à cet âge, la chirurgie esthétique est loin d’être un choix éclairé. C’est seulement une réponse à la pression que subissent les adolescentes quant à l’apparence physique.

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Prenez une pause pour manger

On ne le dira jamais assez, il est important de prendre le temps de bien manger et de bien mastiquer. Une nouvelle étude le confirme encore, manger vite nous pousse à trop manger.

Les agendas surchargés, la pile de dossiers à régler et le stress sont tous des facteurs qui nous obligent bien souvent à « manger sur le pouce », rapidement, devant l’ordinateur même. En quelques minutes, notre repas est ingurgité et on reprend notre travail.

Rien de mieux pour vous conduire vers une prise de poids non désirée. Selon la nouvelle étude du Kaiko General Hospital à Athènes, lorsque nous mangeons, nous libérons une hormone qui indique graduellement au cerveau le niveau de satiété et nous invite à terminer notre repas. Toutefois, lorsque nous mangeons trop vite, nous sommes portés à manger plus, car cela freine la libération de l’hormone. Ainsi, nous ne savons plus que nous sommes arrivés à satiété.

Encore une fois, on préconise une pause de plusieurs minutes afin de bien manger, mais surtout de prendre le temps de manger calmement, hors de son poste de travail idéalement. Après tout, manger ne devrait-il pas être un plaisir de la vie?

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Les hommes préfèrent quel type de femmes?

 

Le journal scientifique en ligne Perception déclare que les jeunes hommes trouvent que les femmes de taille 0, comme certaines célébrités, sont beaucoup moins attrayantes.

 

Une étude a été réalisée auprès des étudiants de l’Université de St-Andrews. On a demandé à 84 jeunes filles de répondre à un questionnaire sur leur état de santé, on a pris leur tension artérielle et on les a photographiées.

 

Les photos ont ensuite été montrées à de jeunes hommes âgés de 18 et 26 ans. Ils devaient dire quelles étaient les filles les plus attrayantes et qui paraissaient les plus saines. Majoritairement, ce sont les filles d’un poids moyen, dit « normal » qui ont remporté la palme.

 

Selon l’étude, cela envoie un message fort aux jeunes femmes qui croient que la taille zéro est plus attrayante pour les hommes. Ici, on démontre clairement le contraire. Les garçons préfèrent les femmes de taille « normale ».

 

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Les antipsychotiques ont des effets nocifs chez les jeunes

Publiés dans la revue JAMA, les résultats d’une étude concernant les effets des antipsychotiques chez les jeunes ont de quoi inquiéter.

272 patients de 4 à 19 ans ont été analysés. Ils n’avaient jamais pris d’antipsychotiques avant l’étude et chacun avait différents problèmes, soit des troubles de l’humeur (47, 8 %), une schizophrénie (30,1 %) ou des comportements agressifs et destructeurs (22,1 %)

Tous ont reçu différents types d’antipsychotiques pendant 12 semaines, sauf quinze d’entre eux qui ont refusé. Ils ont alors été étudiés comme groupe échantillon.

Au bout de onze semaines, ceux qui avaient reçu l’antipsychotique olanzapine avaient une prise de poids de 8,5 kilos. Avec la quétiapine, elle était de 6 kg. Avec la rispéridone, la prise de poids était de 5,3 kg en moyenne et ceux ayant reçu l’aripirazole avaient vu leur poids augmenter d’environ 4,3 kilos. Le groupe échantillon n’avait eu qu’une prise de poids moyenne de 200 grammes.

De plus, les chercheurs ont noté une augmentation du cholestérol et de triglycérides dans le sang de ceux qui avaient pris l’olanzapine et la quétiapine.

Des résultats plutôt inquiétants quand on sait que le surpoids occasionne de nombreux problèmes de santé.

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Les adolescents très préoccupés par leur poids

Selon un sondage mené sur le Web par Habbo, 2 adolescents sur 3 en France se préoccupent de leur poids et un sur trois dit ressentir une forte pression à ce sujet.

La grande majorité des adolescents mentionnent avoir une alimentation équilibrée, alors que 31 % disent vouloir la changer pour maigrir et améliorer leur apparence.

61 078 répondants provenant de 30 pays ont participé à l’enquête. Il semble que les Portugais et les Brésiliens seraient les plus préoccupés par leur poids, alors que les Norvégiens et les Néerlandais s’en soucient beaucoup moins.

En ce qui concerne les corps stéréotypés que l’on retrouve dans les médias, 60 % des adolescents français estiment que cela est irréaliste.

Parmi les répondants en France, plus des trois quarts déclarent prendre trois repas par jour, mais moins de la moitié d’entre eux mentionnent n’en avoir jamais sauté un.

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Les fibres pour aider les femmes ménopausées

Une étude est en cours à l’Université de Montréal sur les effets des fibres sur les femmes ménopausées.

Selon les résultats préliminaires, la consommation de fibres alimentaires aiderait les femmes ménopausées obèses ou en surpoids à maîtriser leur appétit. On demeure toutefois prudent, car ce n’est pas encore un remède pour traiter l’excès de poids.

Les fibres diminuent d’environ 25 % le taux de ghréline, cette hormone qui stimule l’appétit. Chez les femmes ménopausées qui ont pris des fibres, ce taux demeurait bas plus longtemps et retardait ainsi la sensation de faim.

L’étude a été réalisée sur 35 femmes, âgées de 46 à 68 ans, obèses ou avec un excédent de poids et qui n’avaient pas le diabète.

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Des acides gras qui portent à prendre du poids

Il semblerait que certaines graisses contenues dans la nourriture nous poussent à manger davantage, selon une étude réalisée par des chercheurs du centre médical UT Southwestern, aux États-Unis.

Les résultats, publiés dans The Journal of Clinical Investigation, démontrent que certaines graissent agissent sur le cerveau et l’empêche de dire au corps qu’il a assez mangé. Les acides palmitiques, des graisses que l’on retrouve notamment dans le beurre et le fromage, provoquent cette réaction.

Les aliments chargés de graisses apportent des acides gras au cerveau, ce qui fait en sorte que notre corps résiste à l’insuline et à la leptine, les deux hormones chargées de la régulation du poids. Ainsi, le cerveau ne peut plus dire d’arrêter de manger et il en résulte une prise de poids.

Pour cette étude, les chercheurs ont injecté des acides gras directement au cerveau d’animaux en passant par la carotide. D’autres animaux ont été nourris par un tube relié à l’estomac. Les deux groupes ont reçu les mêmes quantités de graisses.

Les acides palmitiques étaient ceux qui influençaient le plus le cerveau à ignorer les signes de satiété, comparativement aux acides oléiques que l’on retrouve dans l’huile d’olive par exemple.

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Manger la nuit favorise la prise de poids

Des chercheurs de l’Université de Northwestern, en Illinois, arrivent à la conclusion que les collations nocturnes sont beaucoup plus nocives pour la santé, car elles favorisent une prise de poids. Ils ont publié les résultats de leur étude dans le magazine Obesity.

Le fait de manger à des heures contradictoires aux rythmes normaux du corps perturbe le métabolisme et provoque une prise de poids.

Durant l’expérience, on a observé que les rats de laboratoire nourris avec des aliments gras en pleine nuit ont pris jusqu’à 48 % plus de poids que ceux nourris de la même manière durant les heures normales du jour.

Plusieurs facteurs influencent le métabolisme : la température du corps, la dépense énergétique, les hormones et la qualité du sommeil notamment.

On recommande fortement d’éviter les collations nocturnes et de prendre de bons repas durant le jour afin de ne pas avoir faim à des heures anormales.

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Deux facteurs de risque du cancer du sein

Une recherche effectuée par Vishnee Bissonauth, de l’Unité de recherche en épidémiologie du CHUM, a démontré que le tabagisme et la prise de poids augmentent l’incidence du cancer du sein, malgré l’absence d’une mutation des gènes BRCA 1 et BRCA 2 associée à la maladie.

La chercheuse a comparé les différents facteurs de risque du cancer du sein chez 280 femmes en bonne santé et 280 autres présentant la mutation génétique.  

Les résultats démontrent qu’engraisser de plus de 15,5 kg après 20 ans fait augmenter de 68 % le risque de souffrir de la maladie. Plus le gain de poids survient tard dans la vie, plus l’incidence croît.

Quant à la cigarette, à raison d’un paquet par jour, elle augmente le risque du cancer de 59 % si la patiente a fumé pendant 9 ans. L’effet du tabagisme est moindre chez les femmes ménopausées, mais demeure élevé, soit de 50 %.

Malgré cette étude, la Dre Bissonauth croit que d’autres recherches devront être menées afin de vérifier l’influence de ces deux facteurs sur le développement de la maladie.