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Les effets bénéfiques du jus de bleuet biotransformé

Selon le Guide de référence santé en ligne, le jus de bleuet nain nord-américain, biotransformé à l’aide d’une bactérie fermentée extraite de la pelure du fruit, aide à diminuer les risques d’obésité et de diabète.

Cette étude, publiée dans l’International Journal of Obesity, a été réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal, de l’Institut Armand-Frappier et de l’Université de Moncton. Ils ont observé les effets du jus biotransformé et du jus de bleuet courant en effectuant des tests sur des souris.

Le directeur de cette recherche, Pierre S. Haddad, a déclaré : « Les résultats de cette étude démontrent clairement que le jus de bleuet biotransformé présente un grand potentiel dans la lutte contre l’obésité et le diabète. Le jus de bleuet biotransformé pourrait se révéler être un nouvel agent thérapeutique parce qu’il réduit l’hypoglycémie chez les souris diabétiques et qu’il peut protéger les jeunes souris prédiabétiques de l’obésité et du diabète. »

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Découverte de la fatostatine

Le Dr Salih Wakil, de la Faculté de médecine de l’Université du Texas, et le Dr Motonari Uesugi, de l’Université de Kyoto, croient bien avoir trouvé un médicament qui pourrait éventuellement traiter l’obésité, le cholestérol et le diabète.

Ce traitement, appelé fatostatine, aide l’organisme à produire moins de graisse grâce à son action sur une série de gènes qui sont associés à la suralimentation.

« La fatostatine a bloqué la hausse de poids, de glycémie et l’accumulation de graisses dans le foie des souris obèses », se sont félicités les auteurs de cette recherche.

Après quatre semaines de traitement, les rongeurs avaient perdu 12 % de leur poids initial et le taux de glycémie avait chuté de 70 %.

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L’obésité, un facteur de récurrence

Selon le Dr Stephen Freedland, du Centre de recherche sur le cancer de la prostate de l’Université Duke en Caroline du Nord, l’obésité fait augmenter l’incidence de récidive du cancer de la prostate.

Pour en arriver à ces conclusions, le scientifique a examiné les dossiers médicaux de 1 415 patients ayant souffert de la maladie et qui avaient subi une prostatectomie comme traitement.

« Nous avons découvert qu’un indice de masse corporelle élevé était associé à un risque accru de récurrence du cancer, tant chez les Blancs que chez les Noirs », ont précisé les auteurs de cette recherche.

Ces derniers croient qu’un surplus de poids altère le taux d’hormones, comme l’œstrogène et la testostérone, ce qui pourrait rendre plus agressive la tumeur, comme le suggèrent des études antérieures sur le sujet.

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Une bonne hygiène de vie payante

Une étude, dont les résultats se trouvent dans le Journal of the American Medical Association, arrive à la conclusion qu’une bonne alimentation, un programme d’exercice physique et un poids santé sont la clé pour un coeur en santé.

Le Dr Luc Djousse, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, a travaillé avec 83 882 femmes et 20 900 hommes chez qui il a évalué le risque de maladies cardiovasculaires et les habitudes de vie.

Parmi toutes les bonnes habitudes à adopter, l’auteur de cette étude croit que c’est l’exercice physique qui se distingue. À titre d’exemple, le risque de défaillance cardiaque chez les sportifs est de 11 % et augmente à 14 % chez les sédentaires.

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Surplus de poids et arthrose

Selon une récente étude qui sera publiée dans l’édition d’août de Radiology, l’arthrose risque de progresser plus rapidement en cas d’obésité, alors que le surplus de poids use plus rapidement les cartilages des genoux et les rend ainsi plus vulnérables à la maladie.

L’équipe du Dr Frank W. Roemer, de l’Université de Boston, a travaillé pendant 30 mois avec 336 patients et a découvert que chaque point supplémentaire de l’indice de masse corporelle augmente de 11 % la perte de cartilage.

« Nous savons que la perte de poids est le plus important facteur pour ralentir la progression de l’arthrose. D’autres recherches devront toutefois être menées afin de vérifier si d’autres paramètres, comme les vitamines, peuvent aider à ralentir la maladie », ont signalé les auteurs de cette recherche.

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Le stress fait engraisser

Selon une recherche, dont les détails sont publiés dans l’American Journal of Epidemiology, le stress ferait engraisser particulièrement les personnes qui ont déjà un surplus de poids.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Jason Block, de l’Université Harvard aux États-Unis, a travaillé avec 1 355 sujets.

Ce sont les femmes qui sont plus sensibles aux effets du stress comparativement aux hommes. Ces dernières avouent que ce sont les situations familiales difficiles et les finances personnelles qui génèrent le plus de stress chez elles, tandis que les hommes sont plus stressés par la vie professionnelle.

« Nos résultats montrent que le stress devrait être reconnu comme une menace pour le bien-être des adultes américains, surtout ceux qui sont déjà en surpoids. De plus, on remarque des différences apparentes liées au sexe dans la façon dont le stress influence la prise de poids », a indiqué le Dr Block.

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Le poids à la naissance serait associé à la leucémie

Les auteurs d’une étude publiée dans l’International Journal of Cancer, le Dr Robert W. Caughey de l’école de santé publique de Harvard et la Dre Karin B. Michels du Brigham and Women’s Hospital à Boston, ont découvert un lien entre le poids à la naissance et la leucémie.

Par rapport à un poids normal à la naissance, un poids trop élevé augmente les risques d’une leucémie de 35 %. Le risque passe à 23 % pour une leucémie lymphatique aigüe et à 40 % pour une leucémie myéloïde aigüe. Pour chaque kilo de plus, on note une augmentation de 1,18% des risques de l’ensemble des leucémies.

Quant à ceux qui ont un poids sous les normales à la naissance, les chercheurs ont noté une augmentation de 49 % du risque de leucémie myéloïde aigüe.

Ces conclusions sont basées sur l’analyse de 32 études incluant 16 501 cas de tous les types de leucémie, 10 974 cas de leucémie lymphatique aigüe et 1 832 cas de leucémie myéloïde aigüe.

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Surplus de poids et asthme

Une recherche menée par la Dre Salome Scholtens de l’Institut de santé publique et de l’environnement à Bilthoven, aux Pays-Bas, l’amène à conclure que le surplus de poids chez les enfants de 6 à 7 ans peut augmenter le risque de développer les premiers symptômes de la maladie respiratoire.

La scientifique a aussi remarqué lors de ses travaux que les symptômes d’asthme s’atténuaient considérablement dès que les enfants atteignaient un poids santé.

Pendant 8 ans, la Dre Scholtens a demandé aux parents de 3 756 enfants de mesure leur poids et d’évaluer les symptômes d’asthme.

Les sujets qui ont continué à enregistrer un surplus de poids entre 6 et 7 ans avaient 68 % plus de risque d’éprouver des difficultés respiratoires à l’âge de 8 ans.

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Quelques kilos en trop pour vivre vieux

Une recherche menée avec plus 11 000 sujets ayant un surplus de poids a permis de conclure que cette condition n’entrave pas la longévité, bien au contraire.

En fait, selon l’équipe du Dr Mark Kaplan, coauteur de l’étude, ces patients vivent plus vieux que ceux qui ont un poids santé.

« Cela peut être attribué au fait que les quelques kilos en trop protègent les gens un peu plus âgés contre le déclin de la santé. Mais cela ne veut pas dire que les personnes ayant un poids santé peuvent engraisser sans s’en soucier », ont indiqué les auteurs.

Les résultats démontrent qu’un poids en dessous de la moyenne est associé à un risque de mortalité de 70 % supérieur à ceux ayant un poids normal.

Quant à ceux ayant un surplus de poids, le taux de mortalité était de 17 % inférieur aux patients ayant un poids santé.

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Les phtalates et le poids des nouveau-nés

Une étude, qui sera bientôt publiée dans The Journal of Pediatrics, s’est penchée sur l’exposition aux phtalates, une gamme de produits chimiques que l’on retrouve dans les plastiques, sur les nouveau-nés.

Selon l’auteur principal de cette recherche, le Dr Renshan Ge, on a trouvé la présence de phtalates dans le cordon ombilical chez 70 % des poupons participants à ces travaux, particulièrement chez ceux dont le poids à la naissance était inférieur à la moyenne.

« Les résultats démontrent qu’une exposition aux phtalates est omniprésente chez les bébés et ce phénomène peut maintenant être considéré comme un facteur de risque environnemental pour la naissance de bébés de petits poids », a souligné l’auteur.