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Le sevrage de la cigarette, plus difficile pour les femmes

Un sondage Angus Reid, mené pour le compte de Johnson & Johnson, nous apprend que les femmes sont plus préoccupées par l’irritabilité et le gain de poids provoqués par le sevrage de la cigarette, au point où elles remettent en question l’abandon de cette habitude.

77 % des répondantes ont affirmé être inquiètes à l’idée d’engraisser lors de l’arrêt du tabagisme, comparativement à 48 % de la gent masculine.

De plus, dans 10 % des cas, les femmes interrogées ont avoué griller des cigarettes dans l’espoir de mieux contrôler leur poids, voire même maigrir.

« L’image de soi chez la femme est très souvent biaisée et tend à encourager un tel comportement », a expliqué Nadine Bonneville, nutritionniste et intervenante en cessation tabagique à la Clinique d’aide aux fumeurs de l’Hôpital Laval de Québec.

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L’IMC complètement dépassé

La nutritionniste Marie-Claude Paquette, de l’Institut national de santé publique du Québec, affirme que l’indice de masse corporelle (IMC), qui sert à évaluer le poids santé d’une personne, est complètement dépassé.

Lors du congrès Journées annuelles de santé publique, Mme Paquette a mentionné : « Les professionnels de la santé devraient y penser à deux fois avant de conseiller à leurs patients de perdre du poids sur la base de leur IMC, car celui-ci est loin de révéler le véritable état de santé de la personne. »

Pour la nutritionniste, les kilos en trop ne sont surtout pas synonymes de mauvaise alimentation et de sédentarité. À l’inverse, plusieurs personnes ayant un IMC dans la moyenne sont adeptes de la malbouffe et ne pratiquent aucun sport.

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Les troubles du sommeil, signe d’embonpoint

Le Dr Jacques Montplaisir et son équipe, du Centre d’excellence en médecine du sommeil de l’Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, affirment que les troubles du sommeil, comme les terreurs nocturnes, le bruxisme, l’énurésie et l’éveil nocturne, ne sont pas sans conséquence chez les enfants.

Selon eux, les enfants qui dorment moins de 10 heures par nuit voient le risque de souffrir d’embonpoint multiplié par 4.

« 26 % des enfants qui dorment moins de 10 heures par nuit entre deux ans et demi et six ans font de l’embonpoint; le taux est de 15 % chez les enfants qui dorment 10 heures et il tombe à 10 % chez ceux qui dorment 11 heures », affirme le Dr Montplaisir.

Le chercheur croit que les changements de sécrétion hormonale causés par le manque de sommeil pourraient expliquer les kilos en trop chez les participants à cette étude. « Lorsque nous dormons moins, nous produisons plus de ghréline, une hormone sécrétée par l’estomac et qui stimule l’appétit », a-t-il expliqué.

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Gare aux kilos en trop durant la grossesse

Prendre plus de 18 kilos pendant la grossesse augmente le risque d’avoir un bébé pesant plus de 4 kilos à la naissance, nous apprend une recherche dont les résultats sont publiés dans Obstetrics & Gynecology.

Selon les chercheurs, 1 femme enceinte sur 5 engraisse de plus de 18 kilos lors de sa grossesse, ce qui leur fait craindre le pire. En effet, les nouveaux nés ayant un poids supérieur à la moyenne sont plus à risque de fractures lors de leur naissance. Cela risque aussi d’être plus compliqué pour leur mère, qui s’expose à des déchirements ou à une césarienne.

De plus, ces enfants, une fois adultes, souffrent davantage d’obésité et de diabète de type 2.

Pour en arriver à ces conclusions, la Dre Jennifer Wu, de l’Hôpital Lenox Hill de New York, a étudié l’état de santé de 41 540 femmes enceintes, à qui l’on a fait passer un test de dépistage du diabète de grossesse.

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La pilule miracle pour perdre du poids?

Des scientifiques de l’Université de Copenhague se sont penchés sur un nouveau traitement contre l’obésité : le tesofensine. Selon eux, ce médicament est deux fois plus efficace pour perdre les kilos en trop que les placebos.

« Le tesofensine entraîne une perte de poids de 10 % comparativement au placebo ou aux régimes suivis par les patients obèses », prétend l’auteur derrière ces résultats, le Dr Arne Astrup.

Le Dr Astrup va même jusqu’à affirmer que ce traitement miraculeux pourrait remplacer la chirurgie bariatrique. Il croit aussi que la perte de poids pourrait atteindre 20 % si le tesofensine est jumelé à un régime strict.

Tous les détails de cette étude se retrouvent dans la version en ligne du journal médical The Lancet.

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Manger rapidement fait engraisser

Une recherche, publiée en ligne sur le site du British Medical Journal, nous apprend qu’ingérer rapidement des aliments peut tripler le risque de surplus de poids.

3 287 personnes, âgées de 30 à 69 ans, ont participé à cette étude, d’une durée de 3 ans, où les chercheurs évaluaient les habitudes alimentaires.

50,9 % des hommes et 58,4 % des femmes ont confié qu’ils cessaient de manger uniquement lorsque le sentiment de satiété était atteint.

Dans 45,6 % et 36 % des cas, les hommes et les femmes ont respectivement confié que le temps des repas passait à la vitesse de l’éclair.

Ce sont d’ailleurs ces sujets qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne, comparativement aux participants qui mangeaient lentement de plus petites portions.

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Aimer manger pour mieux maigrir

Une équipe de psychologues de l’Université du Texas croient que l’apparition de l’obésité pourrait s’expliquer par une réaction chimique dans le cerveau.

Les chercheurs ont fait passer des tests d’imagerie du cerveau afin d’évaluer les réactions cérébrales liées à la production de dopamine pendant que les sujets mangeaient. Cette molécule, qui joue un rôle dans le désir et la sensation de plaisir, s’active lorsque la personne mange.

Il semble que les chercheurs ont pu prédire que les participantes, dont la sécrétion de dopamine était moins élevée, allaient prendre plus de poids au cours des mois suivants. « Cette recherche révèle que les personnes obèses pourraient compter moins de récepteurs de dopamine dans leur cerveau les conduisant à manger plus pour compenser ce déficit de plaisir », prétend l’auteur derrière ces résultats, le Dr Eric Stice.

Le Dr Stice croit toutefois que l’obésité n’est pas un automatisme lorsque les zones du cerveau liées au plaisir émettent moins de dopamine. Une saine alimentation et de l’exercice physique sont encore le meilleur moyen de prévenir le surplus de poids.

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Le roman qui fait maigrir

Lors du congrès annuel de l’Obesity Society, qui se déroulait à Phoenix, aux États-Unis, des chercheurs ont annoncé qu’un bouquin, écrit en collaboration avec des pédiatres, a réussi à favoriser grandement la perte de poids chez les adolescentes qui en ont fait la lecture.

L’héroïne principale de ce roman valorise une saine alimentation et un programme d’exercice régulier, ce qui encouragerait les jeunes filles dans leurs démarches pour atteindre un poids santé, selon la Dre Sarah Armstrong, qui a mené la recherche.

64 adolescentes âgées de 9 à 13 ans ont été réparties en trois groupes. Le premier ne lisait aucun livre, le deuxième lisait un livre « contrôle » et le troisième groupe lisait le roman en question, Lake Rescue.

Après six mois, les chercheurs ont observé une perte de 0,71 % de l’indice de masse corporelle chez le troisième groupe.

Ces résultats encouragent la Dre Armstrong, qui croit que cette méthode pourrait être utilisée auprès d’une jeune clientèle luttant contre le surplus de poids.

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L’historique des régimes joue sur la grossesse

Des chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord ont démontré, dans une nouvelle étude, que les femmes qui avaient restreint leurs habitudes alimentaires prenaient trop ou pas assez de poids durant leur grossesse.

Sur plus de 1 200 femmes, on a trouvé que celles qui suivaient un régime avant leur grossesse avaient tendance à prendre trop de poids comparativement à celles qui avaient un poids normal, un surplus de poids ou étaient obèses en début de grossesse.

D’un autre côté, celles qui étaient sous un poids normal en début de grossesse ne prenaient pas assez de poids.

Selon les recommandations des spécialistes, une femme devrait prendre de 12 à 18 kilos durant sa grossesse si elle est trop maigre avant celle-ci; entre 11 et 15 kilos si elle a un poids normal; entre 6 et 11 kilos si elle a un surplus de poids et environ 6 kilos si elle est obèse.

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Le poids à la naissance lié au cancer du sein

Selon la Dre Isabel dos Santos Silva du London School of Hygiene and Tropical Medicine, un poids et une taille à la naissance au-dessus de la moyenne pourraient expliquer le cancer du sein.

« Notre recherche démontre une évidence significative entre le poids et la taille à la naissance et le marqueur du cancer du sein une fois adulte », a précisé la Dre Silva, qui ignore les raisons pour expliquer ce lien.

Après avoir éliminé les facteurs de risque, comme l’âge en général et celui où survient la ménopause, les chercheurs ont observé que le poids à la naissance était le facteur de risque le plus élevé pour développer un cancer du sein.

À titre d’exemple, les filles qui pesaient plus de 4 kilos avaient 12 % plus de chances de souffrir d’un cancer du sein que les bébés qui pesaient 3 à 3,5 kilos.