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La caféine pour perdre du poids

Selon ce que rapporte Cyberpresse.ca, des études avancent que la consommation de caféine peut favoriser la perte de poids et aider à son maintien.

La caféine, membre de la famille des méthylxanthines et présente naturellement dans les fèves de café et de cacao, dans la noix de cola et dans les feuilles de thé, est reconnue pour être un stimulant.

Certains nutritionnistes suggèrent même à leurs clients d’augmenter leur consommation de café dans le cadre de leur régime amaigrissant.

Des études, effectuées sur des rongeurs, ont effectivement démontré que la consommation de caféine pouvait, à long terme, favoriser la perte de poids. Cette perte de poids est proportionnelle à la quantité de caféine qui est consommée.

Une autre étude, qui a été effectuée sur 12 ans, a confirmé que les personnes consommant le plus de caféine étaient moins sujettes à prendre du poids que les gens qui n’en consomment pas.

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Les périodes charnières de l’obésité

Selon des chercheurs français, l’obésité se prépare dès la petite enfance, particulièrement lorsque le bambin est âgé de 3 mois et de plus de 3 ans.

Ainsi, ce ne sont pas toutes les phases du développement chez l’enfant qui prédisposent de la même manière au surplus de poids, tant chez le garçon que la fille, concluent-ils.

C’est entre 1 an et deux ans que « la vitesse de prise de poids ne montre pas d’association avec la masse grasse ultérieure ».

Pour les chercheurs, cette découverte promet une intervention plus rapide et efficace chez les enfants pendant ces deux périodes charnières de leur développement.

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L’obésité infantile explose en Chine

Selon une étude de la Cellule nationale sur l’obésité infantile, présentée dans le cadre de l’assemblée annuelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les enfants chinois accumulent de plus en plus les kilos depuis les 30 dernières années. On note même une hausse de 156 % des cas d’obésité infantile.

En effet, 20 % des petits Chinois vivant en milieu urbain ont un surplus de poids et 7 % d’entre eux sont obèses.

Pour l’auteur principal de cette étude menée auprès de 80 000 enfants, le Dr Ding Zongyi, le phénomène d’obésité infantile en Chine est sur le point de devenir incontrôlable et seuls les États-Unis affichent un taux supérieur.

L’enrichissement collectif, l’occidentalisation des modes de vie et le manque d’exercice sont autant de facteurs qui peuvent expliquer la hausse du poids des enfants chinois.

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Cachez ce poids que je ne saurais voir

Une étude menée par Santé Canada auprès de 132 000 participants en dit un peu plus sur la perception des Canadiens de leur apparence physique. Lorsque vient le temps de dévoiler leur poids et leur taille, ceux-ci ont tendance à s’enlever quelques kilos et à ajouter quelques centimètres, question de se rapprocher des standards de la mode.

Les hommes ajoutent un centimètre de plus à leur taille réelle, tandis que les femmes exagèrent leur taille de 0,5 cm. Quant au poids, les messieurs affirment qu’ils retranchent 1,8 kg et les femmes, 2,5 kg à leur poids réel.

Dans les deux phénomènes, les personnes de petite taille et ayant un surplus de poids semblent plus enclines à « tricher » que les personnes qui ont une apparence physique dont elles sont satisfaites.

Mine de rien, ces données ont des répercussions sur la science, car les recherches sur l’obésité sont effectuées à partir des données que les sujets déclarent aux scientifiques. S’ils ont tendance à cacher leur poids véritable, la mesure de l’obésité de la population canadienne pourrait être faussée selon la Dre Margot Shield.

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Un surplus de poids causé par le biberon

Lors d’un congrès sur l’obésité qui s’est ouvert mercredi (14 mai) à Genève, des chercheurs ont présenté trois études démontrant toutes que les souris en contact avec les produits chimiques utilisés dans la fabrication des biberons ou des emballages alimentaires en plastique risquent davantage de souffrir d’un surplus de poids.

Selon Jerry Heindel, du National Institute of Environmental Health Sciences aux États-Unis, ces découvertes pourraient changer la vision de l’obésité et les moyens d’y remédier. « Si ces résultats sont vérifiés aussi pour l’être humain, la perspective ne doit plus être de perdre du poids à l’âge adulte, mais de prévenir la prise de poids en évitant un contact avec de telles substances », a-t-il noté.

Quant à l’Organisation mondiale de la santé, elle estime que d’ici 2015, près de 700 000 personnes seront obèses à l’échelle planétaire.

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Le surplus de poids, dangereux au volant

Lors du congrès mondial de la Society of Automotive Engineers, les principaux joueurs de l’industrie automobile se sont entretenus à propos d’une récente étude qui met en garde les conducteurs automobiles ayant un surplus de poids.

En effet, ces derniers sont plus à risque que les personnes ayant un poids santé pour la simple et bonne raison qu’ils sont plus réticents à porter la ceinture de sécurité en raison de l’inconfort ressenti.

D’autres recherches vont dans le même sens. Celle de 2002 mentionnait que la masse en mouvement pouvait augmenter le risque de blessures chez les personnes obèses, tandis qu’une autre réalisée en 2003 prétendait que le taux de blessures abdominales chutait lorsque le conducteur était mince.

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L’obésité programmée dès l’enfance

Dès l’enfance, l’être humain a un nombre prédéfini de cellules adipeuses, aussi nommées les adipocytes, et aucun régime amaigrissant ne diminuera le nombre de ces cellules, selon des chercheurs suédois de l’Institut Karolinska.

Les régimes ne modifient peut-être pas la quantité des adipocytes, mais celles-ci voient leur taille réduite, ce qui provoque une compensation des nouvelles cellules, qui se renouvellent de 10 % chaque année. Ce phénomène explique ainsi pourquoi il est si difficile de maintenir son poids après un régime.

L’équipe du Dr Peter Arner a aussi découvert que les cellules graisseuses se développent plus rapidement chez les obèses et que leur croissance est plus importante que chez les personnes qui ont un poids santé.

Grâce à cette découverte, les scientifiques espèrent que l’obésité pourrait être traitée dès l’enfance plutôt qu’à l’âge adulte.

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Le surplus de poids selon la région habitée

Une étude, qui sera dévoilée lors du congrès de l’Association francophone pour le savoir, et dont le Journal de Montréal a obtenu copie, découpe les régions du Québec en fonction du poids santé de ses habitants. Ainsi, la population du centre-ville de Montréal et de Sherbrooke semble être moins touchée par l’embonpoint, tandis que celle de la Rive-Sud de Montréal, de Gatineau et de la Gaspésie accuse un surplus de poids.

Pour Alexandre Lebel, coauteur de cette recherche, il est clair que les kilos en trop sont associés à la région habitée et qu’ils vont bien au-delà des saines habitudes de vie, du revenu, de l’âge et de l’éducation.

Ce phénomène est toutefois différent selon les sexes. En effet, les femmes résidant dans des villes telles que Mirabel, Grand-Mère, Drummondville et dans l’Ouest-de-l’Île de Montréal ont tendance à souffrir d’excès de poids; les hommes souffrent davantage de surcharge pondérale lorsqu’ils habitent Longueuil, Chambly et Saint-Hyacinthe.

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Manger autant et perdre du poids, une réalité possible ?

Des scientifiques de l’Institut Howard Florey en Australie ont réussi à stimuler la perte de poids chez des souris, sans réduire pour autant le nombre de calories ingérées quotidiennement.

Pour ce faire, l’équipe du Dr Michael Mathai a retiré l’enzyme ACE de l’organisme des rongeurs, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter l’activité de leur métabolisme et de brûler davantage de calories.

Cette découverte pourrait mener à la création de médicaments qui permettraient de brûler les cellules graisseuses.

Chez les souris, en plus d’accélérer le rythme du métabolisme, cette intervention diminue le risque de souffrir de diabète en raison de la transformation plus courte du sucre.

Il reste maintenant à savoir si ce phénomène observé chez les rongeurs pourrait être reproduit chez les humains.

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L’obésité et la sédentarité dans la mire des chercheurs

Une recherche financée par la Société canadienne du cancer démontre que les personnes ayant survécu au cancer ont tendance à bouder l’exercice physique et à prendre du poids.

Parmi les 114 000 adultes ayant participé à cette recherche, seulement 25 % sont actifs physiquement et 53 % affirment faire de l’embonpoint ou se disent obèses.

Pour l’organisme, il est essentiel de mieux encadrer les personnes ayant survécu à un cancer et de les inciter à adopter de saines habitudes de vie. « Ces résultats importants favoriseront la mise au point de solutions efficaces pour soutenir les personnes ayant souffert du cancer. Tous les changements, même les plus petits, peuvent avoir un effet positif sur le patient. Il peut notamment s’agir de veiller à faire un peu d’exercice et à manger sainement au cours de la période de traitement et de récupération, si le patient est en mesure de le faire et s’il en a le temps », a souligné Heather Chappell, gestionnaire principale des politiques de lutte contre le cancer à la Société canadienne du cancer.