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La minceur motive

Une recherche menée par l’Université Mount Allison, au Nouveau-Brunswick, démontre que le degré de motivation à suivre un entraînement physique est plus élevé chez les personnes minces que chez celles qui ont quelques kilos à perdre.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Terry Belke, mentionne : « Bien qu’il puisse y avoir de fortes incitations – sociales et cognitives – à s’entraîner pour une personne au poids excessif, cela peut ne pas être suffisant pour lui permettre de surmonter le désir instinctif de s’asseoir et de se relaxer. »
 
Il semble que plus le poids baisse, plus il y a un élément gratifiant à poursuivre un entraînement physique dans le but de perdre plus de poids.
 
Le Dr Belke croit également que notre mode de vie sédentaire peut expliquer la hausse de l’obésité. « Nous sommes entourés, en tout temps, d’aliments riches en calories, et nous n’avons pas besoin de travailler dur pour nous les procurer. »

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Un bon moyen pour maigrir

De nouvelles études révèlent que les gens aux prises avec un surplus de poids peuvent perdre facilement 4,5 kilos par semaine en utilisant un podomètre quotidiennement, et ce, sans même modifier leur alimentation.

« C’est que les programmes de marche avec podomètre sont efficaces pour encourager les gens à marcher davantage », révèle l’auteure principale de la recherche, la Dre Caroline R. Richardson.

Le podomètre, ajusté à la taille, compte les pas qu’effectue la personne, que ce soit à la marche, à la course, à l’escalade ou en dansant. On peut se lancer un défi au quotidien en déterminant le nombre de pas à effectuer, ce qui augmente la motivation.

La perte de poids ne serait pas l’unique bénéfice de cet exercice. Comme plusieurs activités physiques, la marche avec podomètre peut réduire la pression sanguine, diminuer le stress et améliorer l’humeur.

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Nouvelle étude sur l’obésité chez les Premières Nations

Santé Canada publie une nouvelle étude qui contient les plus récentes statistiques sur l’obésité chez les populations autochtones au pays. On y apprend que ces dernières sont toujours aux prises avec des surplus de poids, particulièrement les femmes de 19 à 30 ans.

En 2004, les autochtones âgés de 19 à 50 ans avaient deux fois et demie plus de risques d’être obèses que les Canadiens non autochtones.
 
Cette recherche précise que l’apport calorifique quotidien pourrait expliquer l’obésité chez les femmes autochtones consommant 359 calories de plus que ce qui est recommandé. On note aussi que chez ces femmes, 36 % de l’apport calorifique est consommé en dehors des repas.

En plus de la présence de grignotines au menu, Santé Canada note que les recommandations du Guide alimentaire canadien ne sont pas toujours suivies par les Premières Nations.

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Un entraînement calme les douleurs au cou

Des chercheurs danois du National Research Centre for the Working Environment, de Copenhague, suggèrent aux femmes qui ont souvent des douleurs au cou et dans la région des trapèzes de soulever des poids et de suivre un entraînement physique afin d’atténuer ces douleurs.

« La venue de l’ordinateur au travail a fait exploser les douleurs chroniques au cou », note le Dr Lars L. Andersen, l’auteur principal de cette recherche.
 
Son équipe a demandé à 48 femmes âgées de 30 à 60 ans, aux prises avec des douleurs chroniques au cou, de suivre pendant 10 semaines deux méthodes de conditionnement physique : un entraînement musculaire avec des haltères et un programme d’entraînement physique avec un vélo ergomètre.
 
Après 10 semaines, la douleur a diminué de 71 % dans le premier groupe de sujets et de 79 % chez les femmes qui suivaient la deuxième méthode.
 
La recherche est publiée dans l’édition de janvier de la revue Arthritis Care and Research.

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Une fausse couche influence le poids du bébé

Une équipe de chercheurs de l’Université Virginia Commonwealth ont analysé les dossiers médicaux de 45 500 femmes, ainsi que celui de leur enfant, afin de déterminer les facteurs à risques pour justifier leur poids sous la normale à leur naissance.

Ils ont découvert que le taux de naissance prématurée (en dessous de 37 semaines de gestation) et de bébés ayant un petit poids augmentent lorsque les mères sont d’origine africaine, sont jeunes ou âgées, avec un faible niveau d’éducation ou célibataires.

De plus, il semble que celles qui ont connu une fausse couche ou un avortement ont 67 % plus de chances d’accoucher prématurément que les femmes qui n’en ont pas connu.

L’étude est publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Un régime sans fructose

Selon une recherche menée par l’Université de la Floride, il vaut mieux éviter le fructose, un sucre entrant dans la composition du sucrose, principal sucre du sirop d’érable. Les chercheurs en arrivent à la conclusion que les régimes qui proscrivent le pain, les pommes de terre et le riz se trompent de cible.

« Il y a peu de preuves démontrant que les aliments à base d’amidon causent l’obésité, tandis que c’est le contraire pour les aliments qui contiennent du sucre ». D’ailleurs, le Dr Richard Johnson, l’auteur principal de cette étude, suggère aux personnes surveillant leur poids d’utiliser un index des fructoses plutôt que des glucides.

Le sucre de table est composé en parts égales de fructose et de glucose. Une trop grande consommation de fructose augmente le taux d’acide urique, ce qui provoque une inhibition de l’insuline et dans le pire des cas, le diabète de type 2.

Évidemment, le taux de fructose n’est pas le seul facteur responsable de l’obésité. Trop de calories ingérées, la malbouffe et les gras saturés en sont aussi la cause.

Aux États-Unis, 33 % de la population a un surplus de poids ou est obèse.

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La forme physique avant le poids santé

Une recherche publiée cette semaine dans le Journal of the American Medical Association prouve que l’exercice et la bonne forme physique chez les personnes de plus de 60 ans permettent d’accroître la longévité chez celles-ci. De plus, il semble que l’indice de masse corporelle est moins important que l’on croit.

Le docteur Xuemei Sui, auteur principal de l’étude réalisée en collaboration avec l’Université de la Caroline du Sud, explique : « Nous avons observé que des personnes obèses plus âgées mais en bonne forme cardiorespiratoire avaient un risque de mortalité, quelle qu’en soit la cause, plus bas que celles ayant un poids normal. Nos données laissent penser que le niveau de forme cardiorespiratoire chez les plus de 60 ans modifie le rapport entre obésité et mortalité. »

Les conclusions démontrent donc toute l’importance de l’exercice physique quotidien, peu importe le poids des personnes âgées.

Près de 2 603 adultes de 60 ans et plus ont été observés pendant 12 ans pour les besoins de l’analyse. Cette étude contredit donc les précédentes qui prétendaient que le surplus de poids augmente le risque de mortalité.

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Obésité rime avec cancer de la prostate

Selon une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université Duke, les hommes obèses s’exposent davantage au cancer de la prostate. En effet, leur volume sanguin est plus élevé que chez les hommes ayant un poids santé. Or, cela rend plus difficile l’évaluation du taux de PSA, une molécule habituellement détectée lors de tests de dépistage précoce. Le diagnostic s’en trouve retardé ainsi que le traitement des patients atteints de cette forme de cancer.

Les scientifiques ont démontré qu’un indice de masse corporelle de plus de 35 % masque de 11 à 21 % le taux de PSA dans le volume sanguin.

Une autre recherche effectuée à l’Université de Harvard dévoile que chez les hommes possédant un surplus de poids, les risques de récidive du cancer sont 1,8 fois plus élevés dans les huit années suivant le premier diagnostic. Dans cette étude, les processus hormonaux, en plus du PSA, pourraient expliquer ce phénomène.

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Comment retrouver sa taille de guêpe

Une recherche de la Kaiser Permanente et de la Faculté de médecine de Harvard démontre que le surplus de poids accumulé pendant la grossesse pourrait fondre davantage si les nouvelles mères dorment plus.

Selon l’étude, les femmes qui ont moins de cinq heures de sommeil par nuit pendant les six mois qui suivent la naissance de leur enfant ont trois fois plus de chances de conserver les kilos accumulés pendant leur grossesse.

Selon Erica P. Gunderson, principale auteure de l’étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology, un bon sommeil réparateur est aussi important qu’une saine alimentation ou de l’exercice. « Nous savons depuis quelque temps que le manque de sommeil est associé au gain de poids et à l’obésité dans la population générale, mais cette étude montre que le fait de dormir assez (même juste pendant deux heures) peut être aussi important qu’une saine alimentation ou un exercice pour les nouvelles mères qui espèrent retrouver leur poids d’avant la grossesse », a-t-elle expliqué.

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Les professionnels aident à la perte de poids

Des chercheurs de la Tufts University School of Medicine de Boston ont étudié près de 12 000 personnes qui ont suivi un régime. Il en résulte que la perte de poids est plus importante lorsqu’une diète est accompagnée des conseils d’un professionnel de la santé.

En effet, les résultats comparatifs entre les gens qui font un régime seul et ceux qui accompagnent leur régime de conseils professionnels démontrent une perte de poids de 6 % supérieure lorsqu’il y a un encadrement.

L’étude affirme que les régimes restreignant les calories, accompagnés d’un suivi professionnel, ont obtenu les meilleurs résultats. Trois ans après une telle diète, la majorité des répondants avaient conservé la moitié de leur perte de poids. Un bémol cependant : après cinq ans, tous les participants avaient retrouvé leur poids d’autrefois.