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Être trop mince comporte aussi des risques pour la santé

Une nouvelle étude estime qu’une personne sous le poids santé recommandé court aussi plusieurs risques pour sa santé et pourrait même voir son espérance de vie diminuer, rapporte le ScienceWorldReport.

C’est un physicien du St. Michael’s Hospital de Toronto, le Dr Joel Ray, qui s’est penché sur la question et a analysé les données de 51 études précédentes qui étudiaient les impacts sur la santé d’un poids considéré trop faible.

Les risques de décès prématurés seraient aussi grands, sinon plus, chez les personnes trop minces que chez les personnes obèses, observe le Dr Ray. Ce dernier croit par ailleurs qu’il pourrait être utile de revoir nos façons de penser en termes de quantification et d’analyse du poids des patients.

« Nous avons l’obligation de nous assurer d’éviter de créer une épidémie d’adultes trop minces, et qui seraient en temps normal de poids correct. Nous sommes alors obligés d’utiliser le bon outil de mesure. Si notre objectif est plutôt la lutte à l’excès de gras, nous pourrions changer pour une mesure de la circonférence de la taille », explique le Dr Ray, en lien avec le l’IMC (Indice de Masse Corporelle), qu’il croit désuet et non représentatif.

L’étude complète a été publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health.

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Un an pour perdre le surplus de poids de votre grossesse

Des chercheurs de l’hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada, ont observé la courbe de perte de poids de 300 femmes, suivant leur accouchement. Ils ont réalisé que la perte de poids débute habituellement 3 mois après la grossesse et peut s’échelonner, normalement, jusqu’à 12 mois.

Ce fut le cas, rapporte bbc.news, pour 75 % des femmes observées. Le quart des femmes qui n’ont pas réussi à perdre l’excès de poids à l’intérieur d’un an se sont avérées plus à risque de développer des problèmes de santé. Certaines d’entre elles avaient même repris des livres.

Selon l’équipe menée par Dr Ravi Retnakaran, ce 25 % de femmes présentait une pression plus élevée, des risques de développer du diabète de type 2, ainsi que des problèmes cardiovasculaires. De plus, elles augmentaient les chances d’être en surpoids 15 ans plus tard.

Retnakaran affirme qu’il est normal pour une femme de prendre un surplus de 20 % de son poids d’origine pendant la grossesse. Pour perdre ces livres en trop, il est essentiel de faire des activités physiques dès que possible.

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Boire de l’eau ne ferait pas maigrir

Une spécialiste en nutrition américaine contredit et invalide le mythe qui veut que le fait de boire de l’eau contribue à faire maigrir, rapporte Top Santé, de quoi décevoir les adeptes de l’eau en plein cœur d’un régime.

C’est la nutritionniste Beth Kitchin qui s’attaque au mythe en rappelant d’abord qu’il n’existe que bien peu d’études, d’essais ou de travaux démontrant véritablement les bienfaits d’une consommation accrue d’eau sur le succès d’un régime et sur le maintien du poids.

« Je ne dis pas que boire de l’eau n’est pas bon, mais on ne dispose que d’une seule étude montrant que les personnes qui consommaient plus d’eau dépensaient quelques calories de plus par jour », lance d’abord Mme Kitchin.

Elle poursuit en étayant son opinion sur le sujet, écorchant au passage les indications qui nous somment de consommer au moins 1,5 litre d’eau quotidiennement.

« Oui, on a besoin d’apports liquides, mais pas obligatoirement en eau… On ne dispose pas de preuves démontrant qu’elle fait fondre les graisses ni qu’elle entraîne un sentiment de satiété. Adopter une alimentation contenant des aliments riches en eau comme les fruits, les légumes et les soupes peut contribuer (à un régime) », poursuit la spécialiste en nutrition.

En clair, même l’eau ne peut servir de solution miracle et d’excuse pour ne pas intégrer un régime alimentaire sain et l’exercice physique à son quotidien si l’on veut perdre du poids!

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Obésité infantile en baisse significative aux États-Unis

Il s’agit des résultats publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rapporte Top Santé. Si l’on compare les données de ce jour avec celles de 2003, l’obésité chez les 2 à 5 ans a diminué de 43 %.

Même Michelle Obama, femme du Président des États-Unis, a commenté ces résultats ahurissants. Elle s’implique énormément dans la santé des Américains et se dit « ravie des progrès accomplis ces quelques dernières années pour faire baisser le taux d’obésité parmi les plus jeunes Américains. »

Les 4 dernières années ont été décisives selon la Première dame. Les parents et enfants participent de plus en plus au programme Let’s Move, qui encourage l’activité physique et des habitudes de vie plus saines.

Top Santé indique que jeudi dernier, 27 février, la Maison-Blanche a déclaré obligatoire l’affichage de la valeur nutritionnelle sur les emballages des aliments. Une mesure qui permettra aux consommateurs d’effectuer des choix éclairés.

Rappelons qu’il s’agit néanmoins d’une petite victoire, puisque globalement, l’obésité chez le reste des Américains n’a pas diminué.

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L’obésité est maintenant aussi un phénomène européen

L’Amérique du Nord et les États-Unis n’ont plus le « monopole » de l’obésité, semble-t-il, alors que le phénomène semble maintenant s’étendre jusqu’en Europe.

C’est ce que rapporte Top Santé, qui reprend un rapport de l’OMS sur la santé des Européens et sonne l’alarme alimentaire sur le territoire du vieux continent.

Le rapport de l’OMS parle de « nouvelle norme » en matière de poids pour l’Europe, statuant que le surpoids est maintenant plus une moyenne qu’une exception, à l’image des Américains.

L’alimentation des citoyens des 53 pays analysés ferait très souvent largement défaut, ce qui fait augmenter les statistiques de surpoids chez les plus jeunes. 33 % des jeunes 11 ans seraient près de l’obésité, pour 27 % des adolescents, toujours en Europe.

« L’obésité gagne du terrain pour deux raisons. Un trop peu d’activité physique et une surconsommation de produits riches en sucre, en sel et en graisse. Cette combinaison de facteurs est mortelle, d’autant que le phénomène n’étonne plus », lance la directrice de l’OMS en Europe, Zsuzsanna Jakab.

Outre la sédentarité, il ne faudrait peut-être pas oublier de mentionner le phénomène « d’américanisation » observable un peu partout dans le monde, qui comprend ses avantages, mais aussi ses inconvénients.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La technologie est-elle à blâmer pour la hausse des cas de diabète et d’obésité?

Une nouvelle étude pose une question des plus intéressantes en matière de santé globale : serait-il possible que la technologie soit en partie responsable de la hausse des cas de diabète et d’obésité observable partout sur la planète?

Car si les populations des pays développés jouissent depuis un bon moment des avancées technologiques comme la voiture, les téléphones portables, la télévision, les ordinateurs et l’internet, le phénomène devient maintenant aussi vrai pour des pays moins riches ou en voie de développement.

En analysant les comportements des différentes strates de population dans le monde, en se basant sur les salaires moyens, les chercheurs canadiens en tête de l’étude observent bel et bien un impact des technologies sur la santé, selon The National Library of Medicine

Résultat? Il existe bel et bien une hausse observable des cas d’obésité et de diabète de type II dans les pays en voie de développement ou qui se situent dans la moyenne faible des salaires. Les populations qui découvrent les joies de la technologie semblent afficher un tour de taille plus important que celles des pays pauvres qui ne possèdent pas d’appareils comme des ordinateurs ou des téléphones portables.

Cependant, il est étonnant de constater que cette cause n’est pas observable lorsqu’on passe du côté des pays développés ou « riches », comme le Canada ou la Suède par exemple.

« Même si on a découvert une forte association entre la possession de ces appareils et les taux de diabète et d’obésité dans des pays à faibles revenus, nous avons été incapables de détecter la même relation dans les pays à revenus élevés », confirme l’auteur de l’étude, le Dr Scott Lear.

Les conclusions complètes de cette étude ont été publiées dans le Canadian Medical Association Journal.

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Des SMS au service de votre santé

Une campagne inédite et innovatrice est lancée en Angleterre, rapporte Top Santé, alors qu’une ville propose un système de SMS bien spécial chargé de motiver les personnes affichant un surplus de poids.

500 sujets prennent part au projet, et recevront à toutes heures du jour des messages textes les rappelant à l’ordre ou leur suggérant des actions à entreprendre.

Des messages comme « Monte plus souvent les escaliers » et « Mange des fruits et légumes » pourraient donc envahir les téléphones des sujets de l’expérience, qui auront bien entendu le dernier mot dans le choix de leurs actions au quotidien.

On saura au bout de ces dix semaines d’essai si l’expérience s’avère concluante, ce dont doutent beaucoup des membres de l’opposition municipale de la ville de Stoke-on-Trent, théâtre de l’initiative.

« L’argent pourrait être utilisé plus judicieusement, comme pour des groupes de soutien pour perdre du poids », lance le chef de l’opposition, Abi Brown.

Même si l’expérience s’avère négative, il s’agit tout de même d’une belle utilisation des moyens technologiques actuels pour sensibiliser et aider les personnes aux prises avec un problème de poids. Si la méthode s’avère toutefois positive, il y a fort à parier que l’initiative de Stoke-on-Trent fera des petits ailleurs en Angleterre.

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Des pompiers testent la diète méditerranéenne

La diète méditerranéenne remporte une autre victoire au royaume de la nutrition, rapporte avec justesse The National Library of Medicine, alors qu’une nouvelle étude impliquant des pompiers américains vient en confirmer les bienfaits pour la santé.

C’est pas moins de 800 pompiers qui ont été sondés dans le cadre de cette étude américaine effectuée par des chercheurs de l’Université Harvard, et qui visait à déterminer une nouvelle fois les impacts de ce type de régime.

La diète méditerranéenne, qui comprend de forts apports en fruits, légumes, poissons, noix, eau et vin, est de plus en plus prisée et suggérée par les consommateurs et les spécialistes en santé et nutrition.

Et pour cause, car comme le confirme cette étude, on estime que les personnes qui intègrent ce régime à leur style de vie verront leurs risques de développer des troubles cardiovasculaires et d’autres problèmes de santé liés au « syndrome métabolique » chuter de 35 %.

L’analyse de ces pompiers « volontaires » aura aussi permis de constater une plus grande facilité à maintenir un poids santé en suivant cette diète, avec un risque de prise de poids réduit de près de 50 %.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal PLoS One.

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Un test génétique pour choisir le bon régime

Il y a tant de régimes miracles sur le marché et tant de témoignages différents pour chacun d’eux qu’il est devenu difficile de savoir à quel saint se vouer et quelle diète sélectionner.

Or, selon MedicalNewsToday, un nouveau test génétique pourrait faire son apparition et permettre aux consommateurs de connaître précisément quel type de régime serait le plus pertinent à leur métabolisme.

Publiant une recherche sur le sujet dans le magazine Cell Metabolism, les chercheurs Sean Curran et Shanshan Pang affirment avoir identifié une série de gènes qui permettent à l’organisme de s’adapter au type d’alimentation proposé.

Ces mêmes gènes indiqueraient par le fait même quel régime alimentaire serait le plus adéquat pour un individu donné, réglant définitivement la guerre des régimes et la confusion qui s’y rattache.

« Ces études ont révélé qu’une seule mutation d’un gène peut altérer la capacité de l’organisme à utiliser une diète spécifique. Chez les humains, de petites différences dans la génétique d’une personne […] peuvent expliquer pourquoi certaines diètes fonctionnent pour certaines personnes et pas pour d’autres », résume Sean Curran.

Une théorie qui abonde dans le même sens que celle proposée par plusieurs observateurs, spécialistes et utilisateurs de régimes, et qui profite d’une logique quasi à toute épreuve : une seule solution ne peut s’appliquer à tous les humains, vu la complexité de l’homme.