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Le point G existe réellement

En 2010, des chercheurs affirmaient que le point G n’était qu’un mythe populaire, mais cette fois, une étude publiée dans le Journal of Sexual Medecine dit plutôt le contraire.
 
Des chercheurs de l’Institute of Gynecology de St-Petersburg en Floride ont découvert, sur un cadavre de femme, une zone distincte à l’endroit même où on mentionne depuis des années que le point G se trouve.
 
On y voit clairement une poche dont les rebords rappellent les tissus érectiles.
 
La zone érogène se situe sur la membrane périnéale, à 16,5 mm de la partie supérieure du méat urétral et à 35 degrés de l’urètre.
 
Cette zone est également appelée zone de Grafenberg, nom du sexologue allemand Ernest Grafenberg, qui a été le premier à évoquer l’existence du point G dans les années 50.
 
Elle est constituée de terminaisons nerveuses qui, lorsqu’elles sont activées, procurent un plaisir sexuel intense.
 
Après des années de débat, la nouvelle étude a réellement observé une zone bien distincte qui délimite le point G chez les femmes.
 
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Le point G demeure introuvable

Depuis des années, les scientifiques se sont penchés sur la question. Le point G existe-t-il vraiment?
 
Il a été évoqué pour la première fois en 1950 par le Dr Granfenberg. Il évoquait une zone érogène sur la paroi vaginale qui, une fois stimulée, garantissait un orgasme aux femmes.
 
Depuis des années, les hommes tentent de le trouver, certaines femmes également, alors que la majorité de la gent féminine affirme que le point G existe réellement.
 
Le Journal of Sexual Medicine affirme que cette fameuse zone érogène demeure introuvable. Après une centaine d’articles sur 60 ans, des tests, des études de cas et autre, personne n’a pu prouver avec certitude l’existence du point G.
 
On croit que le terme proprement dit, qui a commencé à être utilisé dans les années 80, serait seulement lié à la période de la libération sexuelle.
 
On espère plutôt que cela enlèvera de la pression aux personnes qui ne parviennent pas à le localiser.
 
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Les Français ont trouvé le point G

Quelques semaines après qu’une étude britannique ait mentionné que le point G était inexistant, les Français affirment plutôt le contraire, rapporte le Daily Mail.

Des chercheurs du King’s College de Londres avaient étudié 1 800 femmes et n’avaient trouvé aucune preuve de l’existence de cette zone érogène appelée le point G. Toutefois, lors d’une rencontre de gynécologues à Paris, ces derniers ont dénoncé l’étude, la qualifiant non seulement de mensongère, mais également d’irrespectueuse des femmes.

Les Français, qui sont toujours prêts à défendre leur réputation d’être de bons amants, affirment que les Britanniques ont simplement été incapables de trouver le point G chez une partenaire.

L’étude anglaise disait que le point G n’était qu’une pure fantaisie encouragée par les magazines et les sexologues.

Or en France, on affirme que 60 % des femmes possèdent un point G et qu’il suffit de le trouver. On ajoute que la précédente étude était erronée et uniquement basée sur des observations génétiques, ce qui donne inévitablement des résultats totalement faussés.

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Le point G serait imaginaire

Messieurs, cessez de le chercher! Selon une étude britannique, le point G n’existerait tout simplement pas.

L’étude, réalisée auprès de 1 800 femmes âgées de 23 à 83 ans, arrive à la conclusion qu’il est presque impossible de trouver des traits réels au fameux point G.

C’est une équipe du King’s College de Londres qui s’est penchée sur la question, selon le Daily Mail. Cette zone érogène féminine ne serait que le fruit de l’imagination collective encouragée par les nombreux magazines et sexologues.

Selon l’étude, 56 % des femmes questionnées disent avoir un point G et ces dernières ont tendance à être plus jeunes, donc plus actives sexuellement.

Le point G, situé dans le vagin, est censé être une concentration de terminaisons nerveuses qui, une fois stimulées, procurent un plaisir sexuel intense. Selon les chercheurs anglais, cette zone n’existe pas.

La sexologue Beverly Whipple, qui a popularisé le point G en 1981, met en doute cette étude, insistant sur le fait qu’elle ne tient pas compte des « prouesses » sexuelles des divers partenaires.

Le point G tient son nom du gynécologue allemand Ernst Gräfenberg qui revendiquait sa découverte en 1950.

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Nouvelle collection Jean Paul Gaultier

Samedi soir dernier (3 octobre), le couturier Jean Paul Gaultier a présenté sa collection Point G qui s’inspire des codes de la rue et propose un look à la fois libertin et militaire, rapporte NouvelObs.

Cette collection, pour la saison été 2010, se veut séduisante et sensuelle. Le designer a donc effectué un retour aux sources en utilisant des choses qu’il aime, sans compromis.

Plusieurs visages connus étaient présents lors de ce défilé, notamment Catherine Deneuve, Rihanna, Janet Jackson et Dita Von Teese.

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Le mystère sur le point G enfin résolu

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Aquila permet d’en comprendre davantage sur le point G, qui a été découvert dans les années 1950 par le sexologue allemand Ernest Gräfenberg.

Selon la Dre Emmanuele Jannini et son équipe, les femmes qui sont pourvues de tissu plus épais dans la région de la paroi antérieure entre l’urètre et le vagin ont des orgasmes plus intenses que celles dont le tissu est plus mince.

Le groupe de participantes se composait de neuf femmes ayant des orgasmes vaginaux et onze qui n’en ressentaient pas.

La technique des ultrasons a ensuite été utilisée afin de déterminer l’existence du point G chez les sujets. La Dre Jannini est formelle : les femmes qui n’ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d’orgasme vaginal.

D’autres experts remettent toutefois en cause cette recherche de la Dre Jannini et prétendent que l’épaisseur de la partie antérieure du vagin est uniquement en lien avec la taille du clitoris.

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Du collagène pour regonfler le point G

Cette zone érogène du corps féminin serait, avec les années, moins sensible et moins volumineuse. Selon le docteur David Matlock, gynécologue et chirurgien esthétique en Californie, le fait de le regonfler avec une injection de collagène pourrait augmenter ou redonner du plaisir à la femme. 

Le produit breveté par le docteur Matlock lui-même se nommerait G-Shot et se vendrait 1 800 $ la dose.

Dans certains pays, la même technique est pratiquée, mais le produit utilisé serait plutôt de l’acide hyaluronique, ayant comme propriété d’être moins allergène que le collagène.

Selon l’expérience du dermatologue de Repentigny, le docteur Alain Dansereau, le traitement fonctionnerait dans environ 50 % des cas et devrait être renouvelé tous les quatre mois.