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Le poisson qui rend intelligent

Une recherche, publiée dans la revue médicale Acta Paediatrica, nous apprend que manger régulièrement du poisson augmente le quotient intellectuel des adolescents.

« Nous avons découvert un lien clair entre la consommation fréquente de poisson et les résultats (de QI des adolescents) élevés », a souligné l’auteur derrière cette étude, Kjell Torén de l’hôpital universitaire Sahlgrenska de Göteborg en Suède.

Selon le chercheur, les jeunes de 15 ans obtenaient un résultat aux tests cognitifs de 7 % au-dessus de la moyenne quand le poisson était au menu au moins une fois par semaine. Les résultats étaient 12 % plus élevés quand les sujets mangeaient du poisson plus d’une fois par semaine.

Plusieurs recherches antérieures ont démontré que les oméga-3, que l’on retrouve en abondance dans certains poissons, pourraient favoriser le développement et le fonctionnement du cerveau.

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Une diète méditerranéenne pour préserver les os

Selon une étude de l’Université Harokopio à Athènes, un mode alimentaire méditerranéen, avec une grande consommation de poisson et d’huile d’olive et une faible quantité de viande rouge, contribuerait à préserver la densité osseuse chez la femme.

Nous le savons, les nutriments essentiels à notre squelette sont le calcium et le phosphore, qui composent 80 à 90 % des os. Les autres essentiels sont les protéines, les minéraux et les vitamines.

Adopter une diète méditerranéenne, comme le suggère cette étude, aurait donc un impact significatif sur la santé des os de la femme adulte.

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Le régime méditerranéen, bon pour le cerveau

Une alimentation riche en fruits et légumes, en poisson et en huile d’olive serait bénéfique pour le coeur, mais aussi pour le cerveau, selon le Dr Nikolaos Scarmeas, de l’Université Columbia à New York.

Le chercheur prétend que le régime méditerranéen réduit de 48 % l’incidence de troubles cognitifs, comme la démence ou la maladie d’Alzheimer à un stade léger.

Le Dr Scarmeas est toutefois prudent devant ces résultats. « Il ne s’agit pas d’une étude clinique, mais bien de résultats observés. On ne peut pas affirmer hors de tout doute que le régime méditerranéen prévient des troubles cognitifs », a-t-il mis en garde.

Plusieurs recherches antérieures laissent toutefois croire que cette diète diminue le taux de mauvais cholestérol, réduit l’inflammation ainsi que les risques de maladies cardiovasculaires.

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Le poisson, bénéfique pour les diabétiques

Une recherche menée auprès de 22 000 adultes, dont 517 aux prises avec le diabète, conclut que le poisson, au menu deux fois par semaine, peut réduire l’incidence de maladies aux reins chez ces derniers.

Les chercheurs ont aussi observé que ceux qui consommaient du poisson une fois par semaine avaient des traces d’albumine (une protéine) dans leur urine dans 18 % des cas, tandis que les diabétiques qui mangeaient du poisson deux fois par semaine avaient cette même protéine dans seulement 4 % des cas.

« La présence de protéines dans l’urine est l’un des premiers signes d’une maladie aux reins. Changer son alimentation est relativement simple et peut diminuer le risque », a indiqué la Dre Amanda Adler, du Centre hospitalier Addenbrooke à Cambridge.

Tous les détails se retrouvent dans l’édition de novembre de l’American Journal of Kidney Diseases.

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Du poisson au menu

Une recherche, publiée dans Archives of Disease in Childhood, démontre que les bébés de moins de 9 mois qui ont mangé du poisson sont moins enclins à souffrir d’eczéma.

Alors qu’en 2000, l’American Academy of Pediatrics recommandait aux parents avec un historique d’eczéma de ne pas donner de poisson à leur enfant avant qu’il n’ait atteint l’âge de 3 ans, l’association faisait volte-face en 2008, et affirmait que le poisson ne représentait plus un risque pour les enfants.

« Il y a eu une crainte face à l’introduction du poisson chez le bébé avec un historique d’allergies. Les chercheurs croyaient que ça pouvait causer de l’eczéma, mais à la lumière de nos recherches, nous recommandons maintenant aux parents de donner du poisson à leur bébé », a souligné l’auteur de l’étude, le Dr Bernt Alm, de l’Université de Gothenburg.

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Un autre avantage à suivre le régime méditerranéen

Le Dr Francesco Sofi et son équipe de l’Université de Florence ont réussi à prouver que les personnes qui suivent exclusivement un régime méditerranéen étaient moins à risque de souffrir de maladies dégénératives, comme les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

Le Dr Sofi a étudié 12 recherches sur les habitudes alimentaires et l’impact sur l’état de santé de plus de 1,5 million de participants.

Il a observé que le taux de mortalité liée à des maladies cardiovasculaires chutait de 9 % chez le groupe composé de sujets qui adoptaient cette diète. Le risque de maladies de Parkinson et d’Alzheimer diminuait de 13 % et de 6 % pour le cancer.

Composé essentiellement d’huile d’olive, de poisson, d’un peu de vin rouge, d’une abondance de fruits et de légumes, le régime méditerranéen avait déjà été reconnu pour diminuer l’incidence de maladies cardiovasculaires.

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Le poisson, allié de votre coeur

Une nouvelle étude réalisée par des chercheurs américains, qui sera publiée la semaine prochaine dans le Journal of the American College of Cardiology, indique que les gens qui consomment du poisson ont moins de problèmes cardiaques.

Les gens qui mangent régulièrement du poisson ont des artères en meilleure santé et plus d’oméga-3 dans le sang. Les oméga-3 sont de bons acides gras présents en grande quantité dans le poisson.

L’enquête a été réalisée auprès de 870 personnes quadragénaires, parmi lesquelles on retrouve des Japonais nés et vivants au Japon, ainsi que des Américains, dont certains sont d’origine japonaise. Les Japonais sont réputés pour manger énormément de poisson, comparativement aux Américains.

Les chercheurs ont comparé le degré d’athérosclérose des patients. Seulement 9 % des Japonais présentaient un début de maladie, contre 26 % des Américains d’origine européenne et 31 % des Américains d’origine japonaise. Cette caractéristique ne serait donc pas génétique.

Les chercheurs pensent que cette meilleure santé cardiovasculaire serait due à l’alimentation riche en poissons et en oméga-3 des habitants du Japon. L’expérience a également montré que les Japonais avaient un taux d’oméga-3 dans le sang deux fois supérieur à celui des Américains.

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Un QI plus élevé grâce au poisson ?

Une recherche publiée récemment dans l’American Journal of Epidemiology annonce que des bambins âgés de trois ans ont obtenu des résultats supérieurs à des tests d’intelligence lorsque leur mère a craqué pour les poissons lors de sa grossesse.

Les chercheurs apportent toutefois un bémol à ces résultats puisque le mercure contenu dans plusieurs produits de la mer semble avoir eu l’effet inverse. Les enfants exposés à cette substance lorsqu’ils étaient dans le ventre de leur mère ont moins bien performé à ces mêmes tests.

Pour la Dre Emily Oken et ses collègues de l’école de médecine de l’Université Harvard, les femmes enceintes ne doivent toutefois pas s’abstenir de consommer du poisson lors de la grossesse en raison du mercure puisque les effets des oméga-3 sur le développement du cerveau sont notables.

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Le régime méditerranéen bénéfique pour les diabétiques

Selon une récente étude publiée dans le British Medical Journal, les personnes qui ont adopté le régime méditerranéen riche en fruits et légumes voient leur risque de souffrir du diabète de type 2 diminuer de 83 % comparativement aux personnes n’ayant pas choisi ce régime alimentaire, où trônent aussi le poisson et l’huile d’olive en abondance.

13 000 sujets âgés en moyenne de 38 ans ont été suivis pendant quatre ans; l’équipe du chercheur Miguel Martinez-Gonzalez a porté une attention particulière à leurs habitudes alimentaires.

Ce dernier se dit d’ailleurs très surpris que le régime méditerranéen soit si efficace pour réduire le risque de diabète de type 2.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, 180 millions de personnes sont touchées par le diabète et l’organisme croit que cette statistique va doubler d’ici 2030.

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Favoriser le poisson

C’est que le poisson contient une source importante d’Oméga-3, des acides gras nécessaires au bon développement du cerveau, des yeux et des nerfs. Les Oméga-3 aideraient aussi à prévenir plusieurs maladies, dont celles du coeur, l’Alzheimer et le Parkinson.

Leur consommation doit cependant être suffisante. « On consomme très peu de poisson en Amérique du Nord. Au Québec, c’est une fois par mois en moyenne, alors qu’on recommande d’en manger deux à trois fois par semaine !» a indiqué la nutritionniste Marie Breton au quotidien Le Soleil.

Le hareng, le maquereau, la sardine, le saumon et la truite sont ainsi à privilégier dans nos repas, tout comme certaines sources végétales. La graine de lin, le soya, le canola et les noix de Grenoble contiennent également l’acide gras convoité.