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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Mercure, PCB, dioxines : deux portions de poisson par semaine, pas plus

L’agence de sécurité alimentaire (Anses) recommande de consommer deux portions de poisson par semaine, mais pas plus, un équilibre entre nos besoins nutritifs et les risques de contamination au mercure ou aux PCB.

Dans un avis rendu public vendredi (5 juillet), l’Anses précise que sur les deux portions recommandées, il faut une portion de poisson gras (saumon, sardine, maquereau, hareng ou truite fumée).

L’agence émet également de sérieux bémols sur la consommation de plusieurs espèces de poissons d’eau douce et de certaines autres espèces, en particulier par les populations les plus à risque comme les femmes enceintes ou les jeunes enfants.

L’Anses indique avoir « étudié différents scénarios » en tenant compte à la fois des « effets bénéfiques sur la santé » de la consommation des acides gras oméga-3 qu’on trouve principalement dans les poissons gras et du niveau de contamination des poissons en dioxine, MeHg (mercure organique) et PCB (polychlorobiphényles, isolant utilisé dans l’industrie) « dont l’action toxique est particulièrement importante pendant la période périnatale ».

Les effets positifs des oméga-3 ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques ces dernières années, qu’il s’agisse de leur effet protecteur face à certains cancers, comme celui du sein, ou de leur intérêt pour le coeur. Ils pourraient également jouer un rôle dans le fonctionnement cérébral.

Toutefois, un nombre croissant d’experts s’inquiètent de l’aggravation de la pollution des eaux de mer et de rivières par des produits toxiques allant des hydrocarbures aux métaux lourds.

Les consommateurs sont incités à manger leurs deux portions de poisson « en variant les espèces et les lieux d’approvisionnement (sauvage, élevage, lieux de pêche) dans le cadre d’une alimentation diversifiée ».

La consommation de poissons d’eau douce fortement bio-accumulateurs (anguille, barbeau, brème, carpe, silure) est pour sa part limitée à 2 fois par mois pour la population générale, mais à une fois tous les deux mois pour les femmes en âge de procréer, enceintes ou allaitantes ainsi que les enfants de moins de trois ans, les fillettes et les adolescentes.

Les femmes enceintes ou allaitantes ainsi que les jeunes enfants sont également invités à limiter leur consommation de poissons prédateurs sauvages (lotte, loup ou bar, bonite, anguille, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, thon) et même à éviter celle d’espadon, marlin, siki et requin « en raison du risque lié au mercure ».

L’Anses relève que les produits de la mer et des rivières peuvent également être contaminés par des micro-organismes d’origine humaine ou animale, qui sont majoritairement détruits par la cuisson, et met en garde tout le monde contre la consommation de produits crus ou insuffisamment cuits, qu’il s’agisse de poissons ou de coquillages.

La consommation de ces produits est spécifiquement déconseillée aux populations « sensibles » (femmes enceintes, jeunes enfants, personnes âgées, ou immunodéprimées ou souffrant de pathologies comme le cancer ou le diabète) tout comme celle de crustacés décortiqués vendus cuits.

L’Anses rappelle enfin qu’il faut cuire le poisson de mer frais « à cœur » et qu’il faut « éviter la consommation de coquillages s’ils ne proviennent pas d’une zone d’élevage autorisée et contrôlée ».

Quant aux amateurs de sushis faits maison, il leur est conseillé de congeler le poisson utilisé « pendant 7 jours afin de détruire les parasites potentiellement présents ».

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Les Américains gagnent un autre prix peu enviable en alimentation

Les Américains peuvent désormais ajouter un autre titre à leur palmarès du « mauvais goût » ou plutôt de la mauvaise alimentation, selon Top Santé

Cet autre tour de force de la malbouffe prendrait la forme d’un poisson frit baptisé Big Catch, vendu dans une chaîne de restauration rapide nationale.

C’est le CSPI (Center for Science in the Public Interest) qui sonne l’alarme, alors que l’organisation tient à aviser le public que la notion de « poisson » est probablement tirée par les cheveux dans ce cas-ci.

En fait, ces portions de poisson frit viennent avec un lourd bagage de gras trans, de gras saturés et de sel. À un tel point que le CSPI tient à sensibiliser les consommateurs contre cet ennemi du cœur! D’autant plus qu’il est servi avec des pommes de terre et des oignons… frits.

« Ce repas mérite d’être enterré 20 000 lieues sous les mers. Les acides gras trans partiellement hydrogénés sont dommageables pour la santé. Ils augmentent votre taux de mauvais cholestérol, diminuent le bon cholestérol et nuisent aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins », lancent avec conviction et dégoût deux membres de la direction du CSPI.

Un autre jour au royaume de la malbouffe!

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Les bienfaits de l’huile de poisson et des oméga-3 : fausse propagande?

Le Telegraph (UK) propose une théorie des plus intéressantes : et si les bienfaits liés à l’huile de poisson et aux oméga-3 étaient plus minimes que ce qu’on croit et ce qu’on nous martèle depuis un bon moment?

C’est le constat auquel semblent arriver des chercheurs du National Institute for Health and Care Excellence, qui publient un rapport indiquant des effets réels, mais « minimes », en ce qui concerne ces fameux oméga-3, suppléments du genre, et huiles de poisson diverses.

Si l’association en question voit juste, la vraie question serait donc plutôt : sommes-nous victimes de propagande?

« Les nouvelles preuves démontrent que les risques d’accidents cardiovasculaires sont maintenant en baisse à cause des nouveaux traitements offerts. Cela signifie que l’impact des huiles de poisson sur les crises cardiaques serait minime », lance un porte-parole du National Institute for Health and Care Excellence.

Un nouveau point de vue fort intéressant…

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Quand l’ONU recommande de manger des méduses

La branche de l’ONU qui s’occupe des pêches, de l’agriculture et de l’alimentation y va d’une recommandation surprenante, mais qui prend son sens lorsqu’on écoute les explications proposées, selon Top Santé

Les spécialistes recommandent d’ajouter la méduse à notre menu, afin d’encourager la pêche ou la capture de l’animal marin. Ce dernier causerait du tort à certaines familles de poissons, sa gourmandise mettant même en danger d’extinction certaines espèces.

Rien à voir avec le goût de la méduse, alors, mais il s’agit plutôt d’une tentative désespérée de contrer les ravages qu’elle cause en ce moment dans nos océans.

Outre son insatiable faim pour les poissons et leurs rejetons, la méduse semble en pleine croissance et se multiplie à un rythme alarmant.

« L’océan est en train de devenir un océan de méduses », lancent les experts de l’ONU.

Serez-vous du nombre à tenter l’expérience gastronomique de la méduse au nom de l’écologie marine?

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Le saumon génétiquement modifié, bientôt dans une assiette près de chez vous

Radio-Canada rapporte une nouvelle alimentaire qui fera sursauter les puristes et les plus complotistes de ce monde.

On apprend l’apparition d’un saumon génétiquement modifié, en provenance du Panama, qui commence à passer du rêve à l’assiette dans certains endroits, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

Mine de rien, il s’agirait du premier animal génétiquement modifié connu à se retrouver véritablement dans notre système alimentaire, un fait qui n’est pas à négliger.

Le poisson modifié peut atteindre sa taille normale deux fois plus vite, mais il vieillit aussi deux fois plus rapidement. Des données qui donnent froid dans le dos pour plusieurs, à commencer par le journaliste Étienne Leblanc.

« Puisque c’est un poisson carnivore et un poisson qui grandit plus vite, il devra aussi être nourri beaucoup plus rapidement, avec davantage d’autres poissons qui auraient pu nourrir des populations », lance Leblanc, qui voit ici la nouvelle dans son ensemble.

Le « projet » attend l’aval des autorités américaines de la santé (FDA), une autorisation qui est bien loin d’être assurée pour le moment.

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Le poisson-zèbre vient en aide aux humains

Top Santé révèle des études qui dévoilent des faits étonnants concernant le poisson-zèbre, qui pourrait bien venir en aide aux humains sans le savoir.

C’est qu’on attribue à ce poisson des caractéristiques qui permettraient de mieux comprendre certains phénomènes et le développement de certaines maladies chez l’humain, notamment grâce à un génome presque identique à celui de l’homme.

En fait, on estime que le génome du poisson-zèbre est à 70 % similaire au nôtre, selon la plus récente recherche publiée dans la revue Nature.

Les conclusions proviennent de chercheurs de l’Université de Cambridge, qui révèlent que plusieurs chercheurs à travers le monde travaillent déjà avec le poisson-zèbre dans leurs travaux.

Le poisson-zèbre, originaire de l’Inde, serait particulièrement efficace dans la compréhension des maladies génétiques.

« L’idée est d’utiliser un organisme modèle comme le poisson-zèbre pour essayer de voir exactement ce que ces gènes font (…), de passer en revue chaque gène du génome et de regarder ce qu’une perte de fonction provoque chez le poisson », résume le chercheur Ross Kettleborough.

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Les suppléments et les oméga-3 n’amélioreraient pas les performances cognitives

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche sur les capacités cognitives, et qui attaque le mythe qui veut que la prise de suppléments alimentaires comme l’huile de poisson améliore les performances du cerveau.

Ces conclusions proviennent des recherches conduites à l’Hôpital St Michael de Toronto, et elles risquent de ne pas plaire aux amateurs de produits naturels et de compléments alimentaires, notamment ceux riches en oméga-3.

C’est qu’on associe depuis longtemps ces produits à une meilleure capacité cognitive, ce que réfutent les chercheurs canadiens.

Ces derniers suggèrent plutôt de se tourner vers des jeux qui stimulent le cerveau et l’esprit, comme de simples mots croisés ou encore le sudoku.

Plus efficaces, presque gratuits, et n’influençant aucunement votre régime alimentaire et vos apports nutritifs, ces jeux pourraient bien avoir un impact direct et vérifiable sur vos performances cognitives.

C’est après avoir analysé et compilé des données issues de 32 essais cliniques, qui touchaient par ailleurs près de 25 000 patients, que les chercheurs torontois sont arrivés à cette conclusion simple, mais importante.