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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Maximiser l’impact des oméga-3 lors de la cuisson des poissons

C’est bien connu maintenant : les poissons sont LA source d’oméga-3 par excellence. Ces acides gras sont reconnus pour leurs nombreuses vertus sur la santé et pour la prévention de certaines maladies graves.

Encore faut-il savoir apprêter le poisson correctement, afin d’en retirer tous les bénéfices. C’est ce qu’explique e-sante.fr, qui rapporte qu’il existe plusieurs méthodes pour y parvenir.

D’abord, il serait préférable d’effectuer une « cuisson douce », c’est-à-dire en évitant de cuire les poissons à très haute température. On prône notamment la cuisson à la vapeur ainsi que le bain-marie.

Ensuite, il semble primordial d’éviter les corps gras étrangers lors de la cuisson si l’on veut maximiser les impacts des oméga-3 dans notre assiette. Les huiles de cuisson grasses et le beurre, par exemple, viennent « éponger » les oméga-3 et vous empêchent de les consommer.

On suggère donc d’éviter de cuire avec ces matières ajoutées, mais il est possible d’en ajouter une fois dans l’assiette.

Par ailleurs, on signale que la consommation d’oméga-6 vient contrecarrer les effets des oméga-3. Si vous désirez suivre une diète qui implique une hausse des oméga-3 dans votre alimentation, vous devrez veiller à abaisser votre consommation d’oméga-6.

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Les poissons vendus à New York ne respectent pas tous les normes

Si vous habitez la Grosse Pomme ou que vous prévoyez un voyage à New York, vous voudrez peut-être éviter d’acheter ou de consommer des produits de la mer, notamment certains poissons.

On apprend, par l’entremise de www.nlm.nih.gov, que les poissons vendus à New York ne seraient pas tous respectueux des normes de qualité imposées.

De plus, il semble que plusieurs marchands n’hésitent pas à changer les étiquettes pour faire passer un produit pour ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire plus frais ou encore de meilleure qualité.

C’est le groupe de défense des océans Oceana qui publie une étude sur le sujet et qui veut sensibiliser les New-Yorkais ainsi que les autorités au problème. On rapporte que près de trois commerces d’alimentation sur cinq commettraient ces fautes d’étiquetage, laissant le consommateur dans une zone grise.

Bien entendu, la motivation derrière ces comportements est économique. Plusieurs marchands n’hésiteraient pas à faire passer un poisson peu coûteux pour un produit de qualité supérieure, afin d’épargner des frais. Même chose du côté de plusieurs restaurants de sushis de la Grosse Pomme.

New York ne serait donc pas un choix judicieux pour aller déguster des fruits de mer et des sushis cette année. On conseille aux citoyens et aux touristes d’être vigilants.

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Le poisson : oui, mais attention au mercure

Les études et suggestions provenant de nutritionnistes de partout qui conseillent de manger beaucoup de poisson sont un peu contredites par un rapport qui met en garde la population mondiale contre les dangers du méthylmercure.

Cet élément serait très présent dans les produits de la mer et peut avoir un effet néfaste sur la santé, notamment sur le cerveau.

On le sait, les poissons contiennent des oméga-3, éléments importants pour l’organisme et la prévention de plusieurs maladies. Or, cet effet pourrait être contrecarré par les taux de mercure qu’ils contiennent.

C’est du moins ce qu’affirme une coalition internationale, qui comprend pas moins de 94 organisations, dans un rapport déposé et rapporté par Santelog.com.

Les spécialistes veulent sensibiliser la population au problème, avant qu’un accord officiel soit signé. On attend justement la ratification d’un traité international par les Nations Unies, qui devrait légiférer dans le dossier.

Le traité devrait être finalisé pour janvier 2013.

D’ici là, on parle de consommer le poisson de façon raisonnable. Le rapport des bienfaits des oméga-3 comparativement aux effets néfastes du mercure est encore à définir. Les chercheurs croient que plusieurs autres études seront nécessaires pour savoir si un argument l’emporte sur l’autre.

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Les suppléments connaissent une hausse de popularité sans précédent

Qui aurait cru que l’homéopathie aurait sa revanche, alors que des études démontrent clairement que la prise de suppléments alimentaires est une pratique de plus en plus populaire en Amérique du Nord.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui parle également d’un tiers de ces gens qui ne consulteraient pas leur médecin de famille avant d’entamer un tel « traitement ».

Les suppléments visés par l’étude sont l’huile de poisson, l’échinacée et le ginseng, qui ne sont ni des minéraux ni des vitamines à proprement parler.

Robert Blendon, professeur de santé à la Harvard School of Public Health, publiait récemment ses explications dans le Archives of Internal Medicine. « Il y a des choses que les cliniciens peuvent traiter avec des solutions beaucoup plus complexes. Les médecins doivent être mis au courant de ce que leurs patients ingèrent en termes de solutions alternatives. »

Il semble que si de plus en plus de gens consomment ces suppléments, une trop grande part de ceux-ci ignorerait pourquoi elle le fait.

L’étude conclut donc, en plus de la hausse de popularité, à l’importance de discuter de la prise de suppléments avec votre praticien.

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Nourrir les bébés de poisson pour contrer l’asthme

Pediatrics publie les résultats d’une étude démontrant que les bébés qui ont du poisson au menu à l’âge de six à douze mois ont un risque moindre de développer plus tard des problèmes d’asthme.

Cet effet était plus marqué chez ces bébés que chez ceux qui mangeaient du poisson pour la première fois avant six mois, ou encore après 1 an.

Des chercheurs néerlandais ont analysé les données provenant de 7210 enfants, séparant ceux-ci en trois groupes, selon l’âge auquel ils avaient commencé à manger du poisson.

Comparant ces données avec des symptômes d’asthme lorsque les enfants atteignaient l’âge de quatre ans, les chercheurs ont observé que les bébés du groupe 6-12 mois avaient un risque d’asthme 36 % moins élevé.

« Il semble y avoir une fenêtre d’exposition idéale chez les bébés de 6 à 12 mois, durant laquelle la consommation de poisson réduit les risques d’asthme », a dit l’auteure de l’étude, Jessica Kiefte-de Jong.

Le Dr Bernard Kinane, un pneumologue qui n’a pas participé à l’étude, a ajouté que les résultats identifiant la période d’exposition idéale entre 6 et 12 mois « avaient du sens, puisque c’est à cet âge que le système immunitaire fait son éducation ».

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Des gras de poisson qui aident à perdre du poids!

Il y a de quoi être stupéfait lorsqu’on lit que des aliments gras sont non seulement suggérés et conseillés, mais qu’ils peuvent aussi aider à perdre du poids!

C’est pourtant vrai dans le cas de plusieurs poissons, même en croquettes, rapporte topsante.com.

Plusieurs d’entre vous auront sans doute deviné que si l’on parle de poisson, on parle presque inévitablement d’oméga-3. C’est cette composante qui, alliée aux autres éléments, permettrait la « lipolyse », mot qui désigne l’action de fonte de graisses par l’organisme. On parle donc carrément d’aliment qui aide à maigrir, ici.

Plusieurs « bons » poissons sont cités, notamment le saumon, le hareng, les sardines et le flétan.

Vu la teneur élevée de ces aliments en iode, en protéines et en oméga-3, certains spécialistes n’hésitent pas à les conseiller, peu importe leur mode de cuisson ou leur format.

Par contre, on indique aux gens qui font congeler leurs poissons qu’ils ne doivent pas attendre trop longtemps avant de les consommer. Les bénéfices des oméga-3 seraient grandement diminués, alors que ceux-ci seraient coupés de 50 % après six mois de congélation.

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Le poisson, mais pas les suppléments, protégerait contre les crises cardiaques

Vous pouvez diminuer vos risques d’attaque cardiaque en intégrant du poisson à votre régime alimentaire, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Et non, les suppléments n’ont pas le même impact que le vrai poisson, selon ces chercheurs. De quoi raviver les débats déjà houleux entre partisans de prise de suppléments d’oméga-3 et de poissons véritables.

Donc, l’étude indique que quelques portions par semaine (2 à 4) de poissons peuvent grandement augmenter vos chances d’éviter une attaque. On cible particulièrement les poissons huileux, visqueux, comme la sardine ou le maquereau.

Des changements sont observés lorsqu’une personne ajoute deux portions de poisson à son régime alimentaire hebdomadaire, concluent les chercheurs, mais passer de trois à quatre portions fait descendre les risques de crise cardiaque de 6 %. Les gens qui en consomment très souvent (cinq portions ou plus par semaine) verraient les mêmes risques diminuer parfois jusqu’à 12 %.

Le Dr Rajiv Chowdhury, de l’Université Cambridge en Angleterre, est convaincu de ce qu’il avance, mais tient à répéter une fois de plus que les suppléments alimentaires n’ont pas le même impact que le vrai poisson, voire pas d’impact du tout.

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Un aquarium géant pour Singapour

Singapour a annoncé l‘ouverture d’un super aquarium, le plus grand du monde, pour décembre prochain. Voilà un intérêt de plus pour les touristes qui aimeraient visiter l’État souverain, lui qui attire déjà un nombre impressionnant de voyageurs.

L’aquarium sera situé à l’intérieur du complexe touristique Resorts World Sentosa (RWS), sur l’île de Sentosa, selon ce que rapporte le site du Routard.

Les touristes pourront y découvrir plus 800 espèces différentes d’animaux marins, tout en profitant des autres attraits situés à proximité.

Entre autres, on prévoit construire un parc aquatique qui comprendra une glissade hydromagnétique, ainsi qu’un récif artificiel qui permettra aux curieux de voir des requins, des dauphins, des raies et d’autres poissons et mammifères.

Abritant déjà un des studios Universal ainsi qu’un casino fort populaire, le parc aquatique promet d’en mettre plein la vue. Le centre aurait, selon les chiffres proposés, attiré près de 30 millions de visiteurs en 2010.

Singapour ne finit plus de surprendre la communauté mondiale par ses succès financiers et sa débrouillardise, l’État ne comptant que sur peu de ressources et ayant surmonté bon nombre de problèmes. Il est maintenant un exemple cité à travers le monde, ainsi qu’une destination prisée par les touristes.

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Le poisson plus efficace que les suppléments d’oméga-3?

Selon une étude publiée par le Dr Luc Djoussé et rapportée par nlm.nih.com, il serait plus bénéfique de consommer du poisson que des suppléments d’oméga-3.

Ce serait vrai en tout cas en ce qui concerne les risques de problèmes cardiaques, l’étude ciblant principalement les liens observables entre les effets du poisson sur le cœur.

Après avoir compilé les données provenant de 20 000 hommes, le chercheur croit pouvoir conclure que le poisson réduit les risques de problèmes cardiaques. Cependant, les effets des oméga-3 vendus en suppléments sont loin d’être aussi convaincants et clairs.

Ces résultats vont de pair avec les recommandations de l’American Heart Association, affirme le Dr Djoussé.

Ces recommandations suggèrent à la population de consommer deux portions de poisson dit « gras » par semaine. On retrouve dans cette liste le saumon, les sardines, le thon et le hareng.

L’étude démontre que le risque de problèmes cardiaques est, en moyenne, diminué de 30 % chez les hommes qui consomment régulièrement du poisson.

La polémique entourant la prise d’oméga-3 en suppléments se poursuit donc, et parions que les débats ne font que commencer.