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Poisson : Les bienfaits l’emportent sur les effets néfastes du mercure

Manger du poisson une ou deux fois par semaine demeure recommandé, car cela protège des maladies cardiovasculaires, même avec la présence de mercure.
 
Ces dernières années, on mentionnait que le mercure augmentait les risques d’infarctus, mais selon la nouvelle étude suédoise effectuée sur 900 adultes et publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les effets protecteurs des oméga-3 l’emportent sur les effets potentiellement néfastes du mercure.
 
Sur les 900 personnes étudiées, la moitié avaient déjà eu un infarctus. Ces participants ont été interrogés sur leurs habitudes de consommation de poisson (1,26 fois par semaine en moyenne). On a ensuite analysé le taux de mercure, de sélénium et d’oméga-3 dans leur sang.
 
Les personnes qui consommaient le plus de poisson avaient un taux de mercure sanguin plus élevé. Toutefois, elles ont eu moins d’infarctus du myocarde également. Cela démontre que les bienfaits des oméga-3 l’emportent sur les méfaits du mercure.
 
Par contre, il est toujours préférable de ne pas consommer en trop grande quantité certaines espèces de poisson particulièrement contaminées, comme le requin, l’espadon, le maquereau ou le flétan.
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Manger du poisson pour empêcher la perte de vision

Des scientifiques ont découvert qu’une alimentation riche en poisson gras, comme le saumon, le maquereau ou le thon, pouvait prévenir la cécité des personnes âgées.
 
Les oméga-3 contenus dans ces poissons aideraient à prévenir la forme la plus fréquente de la perte de vision.
 
Le journal Ophthalmology rapporte qu’on a interrogé 2 400 personnes de 65 à 84 ans sur leurs habitudes alimentaires. Les personnes qui mangeaient au moins deux fois par semaine du poisson gras étaient moins susceptibles de développer une dégénérescence maculaire, laquelle cause la mort des cellules de la rétine.
 
Les chercheurs croient que les oméga-3 protègent les cellules contre les dommages du soleil.
 
La dégénérescence maculaire est la perte progressive de la vision centrale. Cela a comme conséquence que la personne ne peut plus voir directement devant elle. Ainsi, écrire, lire, conduire ou écouter la télévision, par exemple, sont des activités qui deviennent impossibles.
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Les bébés ont aussi un grand besoin d’oméga-3

Le College of Agricultural, Consumer and Environmental Sciences de l’Université de l’Illinois a émis un communiqué indiquant que son équipe souligne l’importance des oméga-3 pour les bébés.
 
Il est en effet conseillé de donner des aliments pour bébés à base de saumon à votre petit, et ce, pour deux raisons importantes.
 
« Les bébés ont besoin de beaucoup d’acides oméga-3 du poisson pour leur cerveau, leurs nerfs et leurs yeux. Quand ils passent du lait maternel ou maternisé aux aliments solides, la plupart d’entre eux ne reçoivent pas assez d’oméga-3. De plus, le goût des petits se développe largement avant l’âge des cinq ans, j’invite donc les parents à aider leurs enfants à développer leur goût pour les fruits de mer », indique la diététicienne Susan Brewer.
 
Un poisson comme le saumon est riche en oméga-3 qui aident à prévenir les maladies coronariennes. Même les adultes devraient en manger plus souvent.
 
Pour la composition des aliments pour bébés, les fabricants ont choisi de privilégier le saumon à chair rouge. À ces aliments, on ajoute de la farine d’os broyés qui fourni le calcium et des œufs de saumon en purée pour un apport en vitamine D, en oméga-3 et en DHA.
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Les oméga-3 contre les maladies mentales

Les oméga-3 préviendraient plusieurs maladies mentales, comme la schizophrénie, si les personnes à risque en consommaient tous les jours.
 
Par le passé, l’Université de Californie avait démontré que consommer plus d’oméga-3 provenant des poissons prolongeait l’espérance de vie des patients ayant des maladies coronariennes.
 
Cette fois, les Archives of General Psychiatry rapportent qu’une équipe de l’Université de Vienne a découvert que les oméga-3 d’origine marine diminuent les risques de maladies mentales. Par contre, il est préférable de trouver des poissons qui n’ont pas été contaminés au mercure, mais qui sont riches en acides gras. Parmi les espèces recommandées, il y a le saumon, le maquereau, le hareng, la truite arc-en-ciel, les crustacés, les anchois et les sardines.
 
Toutefois, il est souvent plus simple de consommer des compléments alimentaires d’oméga-3. On s’assure ainsi de ne pas ingurgiter le mercure que l’on retrouve malheureusement très souvent dans les poissons.
 
Les oméga-3 sont reconnus pour avoir de nombreuses propriétés, notamment sur le cerveau. Leur efficacité contre les maladies mentales s’ajoute donc à la liste.
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Les femmes enceintes doivent-elles éviter le poisson?

Le débat entourant la consommation de poisson durant la grossesse se continue de plus belle. Alors que la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis recommande de ne pas dépasser 12 onces de poisson par semaine dans la diète des femmes enceintes, les scientifiques claironnent que sa consommation a des effets bénéfiques pour le développement du cerveau de l’enfant.

La FDA limite cette consommation en raison de la présence de mercure dans les poissons, alors que la communauté scientifique l’encourage à cause des oméga-3, éléments essentiels au développement du cerveau du foetus.

« Des données récentes nous démontrent que les femmes ne mangent toujours pas assez de poisson et c’est vraiment inquiétant », a déclaré Judy Meehan, directrice générale de la National Healthy Mothers, Healthy Babies Coalition, une organisation destinée à faire connaître les plus récentes études sur la santé des mères et des enfants.

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La caféine, mauvaise pour le coeur

Lors d’un congrès organisé par l’European Society of Cardiology, la Dre Anna Vittoria Mattioli, de l’Université de Modène en Italie, a affirmé que les personnes qui boivent beaucoup de café et qui ne suivent pas un régime méditerranéen sont plus à risque d’être touchées par la fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque.

Selon la chercheuse, les sujets ayant participé à son étude qui consommaient plus de trois tasses de café quotidiennement étaient plus fréquemment associés à la maladie cardiaque.

De plus, ils étaient moins enclins à suivre une alimentation riche en antioxydants, en fruits et légumes et grains entiers, car ils préféraient ajouter de la viande rouge à leur menu.

« Notre recherche suggère qu’une grande consommation de café fait augmenter le risque d’arythmie chez les gens qui n’ont pas nécessairement d’antécédents cardiaques », a conclu Mme Mattioli.

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La caféine, mauvaise pour le coeur

Lors d’un congrès organisé par l’European Society of Cardiology, la Dre Anna Vittoria Mattioli, de l’Université de Modène en Italie, a affirmé que les personnes qui boivent beaucoup de café et qui ne suivent pas un régime méditerranéen sont plus à risque d’être touchées par la fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque.

Selon la chercheuse, les sujets ayant participé à son étude qui consommaient plus de trois tasses de café quotidiennement étaient plus fréquemment associés à la maladie cardiaque.

De plus, ils étaient moins enclins à suivre une alimentation riche en antioxydants, en fruits et légumes et grains entiers, car ils préféraient ajouter de la viande rouge à leur menu.

« Notre recherche suggère qu’une grande consommation de café fait augmenter le risque d’arythmie chez les gens qui n’ont pas nécessairement d’antécédents cardiaques », a conclu Mme Mattioli.

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Du poisson contre la démence

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans l’American Journal of Clinical Nutrition, démontre que le déclin cognitif diminue de 19 % lorsque l’alimentation est riche en poisson.

Les travaux menés auprès de plus de 15 000 participants par le Dr Emiliano Albanese du King’s College de Londres suggèrent également que la consommation de viande rouge est associée à un risque accru de démence.

Le chercheur croit toutefois que d’autres recherches supplémentaires devront être effectuées afin de corroborer ses résultats, qu’il attribue aux oméga-3 que l’on trouve particulièrement dans des poissons gras comme le saumon, le thon et le maquereau.

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Un régime pour prévenir l’Alzheimer

Une alimentation riche en fruits, en légumes et en oméga-3 ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier font diminuer le risque d’être touché par la maladie neurodégénérative, nous apprend une récente étude publiée dans le Journal of the American Medical Association.

Le Dr Nikolaos Scarmeas, de l’Université Columbia à New York, et son équipe ont évalué les effets d’un régime méditerranéen et du sport sur l’apparition des premiers symptômes de l’Alzheimer auprès de 1 880 aînés, dont l’âge moyen se situait à 77 ans.

Les chercheurs en concluent que l’incidence de la maladie diminue de 60 % lorsqu’on associe ces deux habitudes de vie, comparativement aux participants plus sédentaires et n’ayant pas une alimentation méditerranéenne.

 

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Pourquoi adopter le régime méditerranéen?

L’équipe de chercheurs du Dr Benoît Lamarche de l’Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels de l’Université Laval (INAF) a présenté les résultats d’une recherche où l’on mesurait les vertus d’une diète méditerranéenne.

Selon eux, l’incidence de maladies cardiovasculaires chute, même chez les personnes obèses, si l’alimentation est riche en poissons, fruits et légumes, huile d’olive et antioxydants.

26 hommes âgés en moyenne de 50 ans ont participé à cette recherche. Lors des cinq premières semaines, ces patients ont consommé une diète typiquement canadienne, comme celle que la majorité des gens consomme tous les jours. Les cinq semaines suivantes, les chercheurs les ont nourris à un régime entièrement méditerranéen. Ensuite, ces derniers ont subi un régime amaigrissant qui leur a fait perdre près de 10 % de leur poids en moyenne.

Les scientifiques ont découvert que ce type d’alimentation a réduit de 22 % le taux de protéine C réactive, souvent associée aux maladies coronariennes.