Le Journal of Agricultural and Food Chemistry rapporte que des chercheurs coréens ont découvert que la pipérine, le composant qui donne le goût piquant au poivre noir, aurait la faculté de bloquer la formation de cellules graisseuses nommées les adipocytes.
Selon les tests en laboratoire et le modèle informatique, les chercheurs ont pu démontrer que la pipérine interférait avec l’activité des gènes à l’origine des cellules graisseuses.
Cette découverte pourrait donc être une avancée vers la lutte à l’obésité.
La médecine orientale utilise le poivre noir depuis des décennies pour soulager les maladies gastro-intestinales, les douleurs et les inflammations.
Déjà, contre l’obésité, nous savons que le piment rouge peut agir comme un coupe-faim, alors que le curcuma, la cannelle et le paprika, tout comme le poivre, peuvent bloquer les effets négatifs des repas gras.
Attention, il ne s’agit pas de remèdes miracles non plus.