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Le régime Paléo fait réagir

C’est une véritable polémique qui fait rage, alors que des spécialistes et nutritionnistes de partout s’échangent opinions et faits sur un nouveau type de diète : le régime Paléo.

Nouveauté relative (car il n’a pas vraiment été « inventé ») dans le monde de la nutrition, le régime Paléo propose de revenir aux sources de l’humanité et d’adopter une diète similaire à celle des hommes ayant vécus à l’ère paléolithique, d’où son nom.

Un concept qui n’est pas récent, donc, mais c’est sa popularité grandissante qui est nouvelle. Si certains experts saluent le concept, ce dernier soulève l’ire des autres.

C’est le cas du Dr Patrick Serog, rapporte lanutrition.fr, qui affirme que ce régime est une lubie, en plus d’être néfaste pour la santé. Il mentionne notamment les apports trop élevés en viandes ainsi que l’absence de lait, qui serait mauvaise pour les os.

Une donnée que plusieurs spécialistes rejettent, affirmant que l’humain du paléolithique ne buvait pas de lait, et que ses os s’en portaient bien.

De plus, ces derniers avancent que les statistiques en santé affichées par plusieurs pays qui mangent Paléo parlent d’elles-mêmes.

Un dossier à suivre, qui risque de continuer à faire jaser.

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Les médicaments génériques sont aussi efficaces que les autres

Plusieurs personnes hésitent à se tourner vers les versions génériques de médicaments, de peur d’acheter un produit de moindre qualité, moins efficace.

Pour la FDA, qui publie un rapport sur le dossier via son site www.fda.gov, les consommateurs peuvent se rassurer : les médicaments génériques sont aussi bons que les autres.

Il est tout de même tentant de garder ses habitudes et de faire confiance à un produit de marque. Après tout, si ce dernier est plus cher, il doit bien être meilleur… Faux, rétorquent les spécialistes de la FDA, qui assurent que les génériques passent tous les tests avec succès, et que ceux-ci font l’objet d’analyses aussi rigoureuses que les autres médicaments avant d’être mis en vente.

Brenda Stodart, pharmacienne à la FDA, affirme : « Nous passons chaque jour du temps à informer et éduquer les consommateurs et les professionnels sur la sécurité et l’efficacité des médicaments génériques. »

Pour Stodart, les consommateurs peuvent faire confiance à la rigueur démontrée par la FDA, et ainsi acheter des versions génériques sans inquiétude.

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Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.

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Le mauvais cholestérol serait-il un mythe?

Pour le professeur Philippe Even, le mauvais cholestérol pourrait bien relever du mythe et favoriserait plus la santé financière des industries pharmaceutiques que celle des citoyens.

On peut comprendre l’ampleur de la polémique qui se pointe à l’horizon avec ces propos, rapportés notamment par Top Santé.

Le professeur Even écrit dans son livre La vérité sur le cholestérol que certaines compagnies et certains individus auraient même été jusqu’à falsifier des rapports et mentir de façon éhontée afin de promouvoir la vente de médicaments et de traitements pour le cholestérol.

Du nombre, ces fameuses statines, qui prennent de plus en plus de place sur le marché et qui seraient si non inutiles, à tout le moins surprescrites.

De plus, il considère que les effets secondaires de ces traitements dépassent largement leurs effets bénéfiques, et que le public se fait avoir au final.

Il croit que plusieurs industries et compagnies pharmaceutiques font preuve de comportements irresponsables, et s’insurge contre de tels procédés.

Héros ou opportuniste, le professeur Even? Le temps nous le dira.

Le professeur Even est directeur de l’Institut Necker et biochimiste de formation.

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La vérité sur les statines

Les statines font de nouveau l’actualité, mais pour plusieurs, elles sont encore tout bonnement inconnues. Alors, que sont les statines? Selon ce qu’on comprend des éléments rapportés par Top Santé, il s’agit d’un traitement contre le mauvais cholestérol.

Plusieurs types et dérivés des statines sont donc offerts sur le marché afin de venir en aide aux gens qui ont des problèmes avec leur taux de cholestérol et ainsi abaisser les risques de développer des problèmes cardiovasculaires subséquents.

Le hic, c’est que plusieurs études et constats effectués sur des patients qui utilisent ce genre de traitement tendent à démontrer des effets pervers à cette solution.

C’est notamment ce que croit le professeur Philippe Even, qui vient tout juste de publier un livre sur le sujet (La Vérité sur le Cholestérol). Pour lui et plusieurs de ses collègues à travers le monde, la prescription de statines n’est pas justifiée lorsque les risques de problèmes cardiovasculaires sont faibles.

Pourquoi? Parce que les effets secondaires sont nombreux, parait-il. Plusieurs cas de décès ont aussi été liés à un traitement dérivé des statines.

Une polémique qui ne fait que grandir.

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Les scans seraient plus bénéfiques que mauvais pour la santé

Une polémique fait rage concernant les fameux CT Scans, ces tests par imagerie utilisés dans bon nombre de départements de médecine pour prévenir et diagnostiquer plusieurs maladies graves.

Le problème, pour certains, se trouve dans les radiations qu’émettent les grosses machines utilisées pour les scans, qui pourraient provoquer certains types de problèmes de santé.

Entrer à l’hôpital en santé et y ressortir en moins bon état après un test du genre, voici ce que dénonce le groupe du « contre ».

Une nouvelle étude sur le sujet vient contredire les détracteurs du CT Scan, alors qu’elle démontre que, statistiquement, les effets sont plus positifs que négatifs sur la population en général.

Ainsi, plusieurs des cas de décès ou de maladies graves rapportées à la suite de ces tests seraient explicables par le fait que ces patients connaissaient déjà des ennuis de santé à leur arrivée à l’hôpital.

« Il faut réaliser que plusieurs de ces personnes sont arrivées avec de sérieux problèmes de santé préalables. La perception des gens face aux risques peut être biaisée s’ils ne voient pas le portrait global de la situation », pense la Dre Susanna Lee, une radiologue de la Harvard Medical School.

Pour d’autres, dont un radiologue, cette étude est mince et n’apporte pas de preuves concluantes.

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Des médecins bientôt pharmaciens ?

Les médecins québécois veulent que le gouvernement leur permette de vendre eux-mêmes les médicaments qu’ils prescrivent, rapporte notamment Huffington Post.

C’est via la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) que la demande sera officiellement déposée.

Le président de la section Nord-Ouest du Québec de l’association, M. Jean-Yves Boutet, indique qu’il s’agit d’une réponse concrète au dépôt de la loi 41, qui permet aux pharmaciens de prescrire eux-mêmes certains types de médicaments.

« Il faut être prudent, et la Fédération a voulu faire du chemin là-dessus en disant : “Écoutez, si on modifie la loi médicale, on va modifier la loi des pharmaciens” », lance M. Boutet.

« Selon moi, il y a assez de pharmacies pour répondre à la demande des patients », ajoute Sébastien Côté, pharmacien.

D’un autre côté, certains spécialistes soulignent qu’il s’agit d’une belle mesure proactive (la loi 41) qui pourrait venir en aide à plusieurs personnes sans médecin de famille, une réalité de plus en plus frappante au Québec.

La FMOQ réplique que le droit de l’un devrait alors s’appliquer à l’autre.

Un dossier chaud à suivre.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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Une étude relance le débat sur la marijuana thérapeutique

Des chercheurs israéliens viennent de jeter de l’huile sur le feu du débat concernant l’usage de la marijuana chez des patients souffrant de divers troubles, dont des maladies chroniques, annonce Santé Log.

On le sait, l’usage thérapeutique de cette drogue douce n’est pas vu d’un bon œil par tous les spécialistes et commentateurs, mais elle connait néanmoins des hausses impressionnantes de popularité, en pratique.

En effet, plusieurs praticiens n’hésitent plus à prescrire du cannabis à certains de leurs patients, et ce serait une bonne chose si l’on en croit les conclusions de l’étude proposée par l’Université de Tel-Aviv.

Les chercheurs en tête de l’étude ont noté une panoplie d’effets bénéfiques dans le traitement ou l’apaisement de plusieurs troubles et maladies chroniques ou autres, parlant même parfois de « résultats remarquables ».

Ce serait particulièrement vrai dans plusieurs cas de patients aux prises avec de la douleur, des troubles du sommeil, des problèmes d’appétit ou encore des problèmes musculaires (comme des spasmes ou des douleurs dorsales).

On note par ailleurs une baisse conséquente des autres traitements chez ces mêmes patients. Cela signifie que pour plusieurs, un traitement parallèle au cannabis permet de réduire les prescriptions de certaines drogues beaucoup plus fortes.

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Polémique concernant les « bracelets magiques » de Disney

Disney fait beaucoup parler d’elle ces temps-ci, alors qu’elle annonce l’implantation prochaine d’un tout nouveau système de bracelet technologique dans ses parcs d’attractions.

On le sait, ces parcs thématiques Disney sont très populaires et gizmodo.fr rapporte que l’organisation veut se tourner vers une technologie appelée RFID pour permettre à ses visiteurs de pratiquement tout faire avec un seul outil.

Cet outil, c’est justement ce fameux « bracelet magique » qui fait couler beaucoup d’encre.

C’est qu’avec ce bracelet, les touristes et visiteurs pourront accéder à leurs chambres d’hôtel, se procurer des objets, faire des achats, payer aux kiosques de nourriture et bien plus.

Cependant, là où le bât blesse, c’est que les autorités du parc pourront également suivre pas à pas tous les clients, exactement comme un système GPS.

Plusieurs sont déjà montés aux barricades pour dénoncer ce comportement et cette intrusion évidente dans la vie privée des gens. Plus que cela, on prétend que ceci permettrait à Disney d’analyser les comportements des visiteurs ainsi que leurs dépenses, et d’ainsi ajuster les stratégies de marketing en conséquence.

Du côté de Disney, on affirme que les visiteurs ne seront aucunement forcés de porter le bracelet, le système de billets demeurant aussi en place. Un code de sécurité de quatre chiffres sera nécessaire pour « protéger » le public.

L’implantation de ce système dans tous les parcs de Disney s’évalue à près d’un milliard de dollars.